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Date : 06-08-2024 13:32:29
@Fabienne / P.283
L'IHU Méditerranée Infection a utilisé une palette de médicaments (hydroxychloroquine, azithromycine, ivermectine, zinc, vitamine D) pour soigner de manière adaptée chacun des 30 423 malades.
Certains patients (le couple Estrosi, Sabrina Agresti-Roubache) ne se semblent plus se souvenir de leur prise en charge...
Mais sont toujours vivants !
Concernant la liberté de prescrire des médecins, voici quelques pistes :
france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/covid-19-une-autre-voie-defendue-par-un-collectif-de-medecins-liberaux-1938325.html
04/02/2021
COVID-19 : une autre voie défendue par un collectif de médecins libéraux
Ils sont soignants et ne sont pas dans la ligne du discours médical dominant. En rupture avec les stratégies de l’exécutif dans la gestion de la crise sanitaire, ils dénoncent ce qu'ils appellent une médecine d'Etat.
Le collectif "COVID 19-laissons les médecins prescrire" est né au tout début de l’épidémie en raison de l'interdiction de prescription de l'hydroxychloroquine (décret du 23 mars). À l’origine, ces praticiens de première ligne avaient deux objectifs : retrouver la liberté de prescription et échanger leurs expériences entre médecins libéraux pour être plus efficace face à un virus émergeant. Aujourd'hui, le collectif regroupe plus de 2 000 médecins.
Selon "laissons les médecins prescrire" le zinc associé à un antibiotique -Ivermectine ou Azithromicine- aiderait à limiter les risques d’hospitalisation chez les personnes symptomatiques. « Le zinc est un antioxydant dont l’intérêt face au virus a été évoqué dans certaines publications internationales. La gestion actuelle de la crise est très anxiogène, on vous dit tous les jours « vous risquez de mourir du COVID 19", mais il faut aussi donner des clés pour faire face à l’épidémie» poursuit Eric Menat.
Un protocole qui est loin de faire l'unanimité dans la communauté médicale déchirée en deux camps. D'autres professionnels estiment au contraire qu'il n'a rien de scientifique et que l'efficacité de ces traitements n'a pas été prouvée.
Des praticiens en rupture avec le discours médical officiel
Membre du collectif et praticien dans le Var, le docteur Laurent regrette que leur parole soit marginalisée : "Mon sentiment, c'est que lorsque l'on n'est pas dans la pensée dominante, que l'on s'interroge sur la prise en charge, on est vite catalogués de complotistes. Avant d'ajouter : "Je suis pour une meilleure coordination entre soignants. Chacun a son niveau de compétence, médecins généralistes, médecins hospitaliers en service d’infectiologie et médecins-réanimateurs, c’est une chaîne, on est tous interdépendants les uns des autres. Nous les médecins libéraux, nous avons des traitements en phase précoce de la maladie pour éviter que l’état de nombreux patients ne se dégrade. On peut ainsi diminuer la pression sur l’hôpital."
www.whatsupdoc-lemag.fr/article/covid19-le-dr-jean-jacques-erbstein-blanchi-par-le-cdom-moselle
01/10/2020
Covid19 : le Dr Jean-Jacques Erbstein blanchi par le Cdom Moselle
Accusé d'avoir mené des expérimentations sur ses patients Covid+ parce qu'il leur avait prescrit de l'azithromycine en avril dernier, le Dr Jean-Jacques Erbstein n'a pas été sanctionné par la chambre disciplinaire du Cdom de Moselle. Il a néanmoins tiré de cette mésaventure un récit amer, où il relate son expérience de médecin de terrain face au Covid19.
Nous étions en avril et la France, confinée, était désemparée face à un virus qui faisait plusieurs centaines de morts chaque jour. Au Sud, à Marseille, le professeur Didier Raoult avait décrété la « fin du game » contre la Covid19, grâce à l’hydroxychloroquine, qui reste controversée. À l’Est, dans la région la plus touchée de France, après l’Ile-de-France, deux médecins, désemparés face au désespoir de leurs patients atteints de Covid, ont décidé de tester l’azythromycine, un antibiotique aussi utilisée par le professeur Raoult à Marseille.
Forts de leurs résultats encourageants, ils ont publié une étude pour exposer le résultat de leurs recherches. Que n’avaient-ils faits ? Ils furent aussitôt convoqués par le conseil département de l’Ordre de Moselle : on leur a reproché d’avoir mené des études sans autorisation sur leurs patients.
Convoqué fin juin devant l’Ordre des médecins de Moselle, les Dr Jean-Jacques Erbstein et Denis Castaldi ont été blanchis par leur conseil départemental fin juillet. Et même félicités.
Quoi qu’il en soit, de cette aventure, le Dr Erbstein en a tiré un court récit poignant*. Dans ce texte de 55 pages, le Dr Erbstein revient sur la genèse de sa stigmatisation, non sans décocher ses flèches au passage. Contre l’Europe qui n’a rien vu venir et qui a été incapable, aussi, de soigner. Contre l’Etat, incapable d’équiper de masques ses soignants et ses médecins. Contre la bureaucratie sanitaire, qui regardait avec mépris les médecins généralistes se démener dans leur coin pour soigner sans moyens leurs patients.
Alors, un soir, face à un patiente en détresse respiratoire, le Dr Jean-Jacques Erbstein lui prescrit de l’azithromycine. Et la patiente s’en sort. Le Dr Erbstein, en compagnie d’autres médecins, récidivent et rencontrent de nouveaux succès. Mais ils ont eu le tort de publier leurs résultats, et d’être mediatisés. Très vite, il se font insulter : « Charlatan, escroc, zozo, après la bouillabaisse marseillaise, voilà la choucroute de Moselle ». Jusqu’au reveil « du censeur ordinal » qui a été « brutal », « non pour défendre les médecins ayant osé prescrire, mais pour leur demander de se taire ». S’il est une leçon que tire le Dr Erbstein de cet épisode sanitaire, c’est la suivante : « Nous devrions avoir un État stratège, pas un mauvais tacticien qui gère à la petite semaine les urgences sans y répondre. »
* Dr Jean-Jacques Erbstein. Je ne pouvais pas les laisser mourir ! Le cri d'un généraliste en guerre. JDH Editions. Collection Uppercut.
www.tribunejuive.info/2020/06/30/docteur-guy-bellaiche-covid-19-temoignage-dun-chef-de-service-en-gastro-enterologie/
30/06/2020
Docteur Guy Bellaïche. Covid-19. Témoignage d’un Chef de Service en gastro-entérologie
[b]Les ARS ont empêché certains de mes collègues de prescrire des antibiotiques, le Conseil National de l’ordre des Médecins les a même convoqués en vue d’une radiation.
Ceci fut choquant, notre liberté de prescrire a été bafouée.[/b]
www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/02/05/plusieurs-medecins-alertent-contre-un-protocole-anti-covid-19-criminel_6068945_4355770.html
05/02/2021
Plusieurs médecins alertent contre un protocole anti-Covid-19 « CRIMINEL » inventé par un collectif médical
->(On retrouve le jeune interne Nathan Peiffer-Smadja, co-signataire du "PuceauGate" frauduleux, averti pour avoir insulté le Professeur Christian Perronne)
Ce protocole du collectif de médecins Coordination santé libre mêle homéopathie, substances contestées et traitements lourds, en dehors d’une surveillance hospitalière.
Que dit ce protocole ?
Il s’agit d’un tableau de prescriptions « ambulatoires » – c’est-à-dire hors hôpital – à destination des personnes atteintes du Covid-19, lesquelles sont déclinées en fonction de la gravité des symptômes et des facteurs de risques.
Pour les asymptomatiques ou symptomatiques légers, le protocole préconise un traitement préventif empruntant aux médecines douces. Il recommande ainsi le recours aux compléments alimentaires (vitamines C et D, zinc) et aux médecines parallèles (phyto-aromathérapie, homéopathie, acupuncture), le tout associé à la prise d’ivermectine (un antiparasitaire) ou d’azithromycine (un antibiotique).
Pour les malades avec symptômes persistants ou respiratoires, le document recommande le « protocole Raoult ». Le collectif préconise de fait des traitements très prisés de la mouvance rassuriste – soit l’association d’ivermectine avec de la doxycycline (un autre antobiotique), ou celle, recommandée par l’infectiologue Didier Raoult, d’hydroxychloroquine avec de l’azithromycine. Pour les patients à risque, ce dernier ajoute de la prednisolone (un corticoïde) ainsi qu’un anticoagulant à dose préventive.
Pour rappel, les consignes du gouvernement étaient :
"Restez chez vous"...
Jusqu'à ce qu'il soit trop tard...
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