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Date : 06-08-2024 22:24:52
Bon. D'un côté j'ai appris que les antibiotiques, dont l'Azithromicine, n'avaient jamais été interdits. L'expérience que j'en ai.
Mais de l'autre, je lis que certains médecins ont été empêchés, par leurs ARS de prescrire des antibiotiques.
Comment voulez vous que je m'y retrouve. J'ai bien précisé que je ne voulais des infos et témoignages que sur LA SEULE PRESCRIPTION d'AZITHROMICINE. Rien d'autre, ni le protocole Raoult ni tel ou tel autre.
Dès lors, je ne parviens toujours pas à me faire une opinion.
On aurait laissé mourir quantité de gens quand il suffisait de prescrire un antibiotique existant sur le marché (à condition qu'il soit prescrit avant qu'il ne soit trop tard, ce qui est bien le minimum). Donc on n'aurait pas parlé, voire on aurait empêché ce traitement archi basic ? Et chacun y serait allé de SON protocole ?
Je me rappelle bien, Doune, qu'on nous disait de rester chez soi avec du Doliprane. Mais quand tu te rends RAPIDEMENT compte que tu es trop malade pour que ça passe avec du doliprane, tu appelles ton médecin, à défaut un médecin, à défaut le SAMU.
Et c'est là que je n'ai toujours PAS ma réponse : des centaines, des milliers de médecins auraient méconnu l'efficacité de l'AZI, ou AURAIENT EU PEUR de le prescrire ??? Cela me dépasse.
Mon questionnement s'arrête là. Je ne veux en aucun cas entrer dans "le grand merdier" qui a suivi.
J'essaie juste de comprendre pourquoi on n'a pas utilisé, EN PREMIERE INTENTION, cet antibiotique efficace sur ce type de pathologie respiratoire.
Pourquoi les médecins, "lambda" mais nombreux, n'ont pas réussi à se faire entendre. Pire, à prescrire.
Ou alors, c'est moi qui fait un mauvaise analyse, qui généralise mon cas et qui CROIT que l'AZI guérissait à coup sûr (sauf...) mais que ce n'était pas le cas ? Ou encore que "mon" COVID n'était pas spécialement grave et que j'avais de la chance de pouvoir être guérie par l'AZI ?
Ne vous prenez pas le chou. Je reste avec mes doutes, c'est pas très grave, ça le serait si j'avais perdu un être proche et que ça aurait pu être évité. Mais ça n'est pas le cas, pas plus que je n'ai perdu quelqu'un à cause du vaccin.
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