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Date : 17-01-2025 20:17:40
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13/01/2025
263 études confirment la toxicité de Spike
Nous avions déjà pointé du doigt les nombreuses pathologies liées aux vaccins COVID[1]. Désormais, 263 études revues par les pairs confirment que la protéine spike, composant clé des vaccins à ARNm, agit comme un pathogène indépendant, capable de provoquer des dysfonctionnements cellulaires et systémiques graves. Cette situation est d’autant plus préoccupante que la production de spike lors des injections est plus intense chez les jeunes, et que la quantité produite varie considérablement d’un individu à l’autre, rendant le vaccin encore plus toxique… ou encore moins efficace.
Protéine spike de la COVID‑19 : pathogénicité
Bibliothèque de recherche compilée par le Dr Martin Wucher, MSc Dent Sc (équivalent DDS), Erik Sass, et al.
DOI : 10.5281/zenodo.14269255
Dernière mise à jour : 3 décembre 2024.
À l'origine partie de l'enveloppe externe du virus SARS‑CoV‑2, où elle fonctionne comme une « clé » permettant de « déverrouiller » (infecter) les cellules, la protéine spike est également produite en grande quantité par les vaccins à ARNm, déclenchant une réponse immunitaire de courte durée sous forme d'anticorps. Cependant, un nombre croissant de preuves montre que la protéine spike est nocive en elle‑même, indépendamment du reste du virus.
La liste regroupe 263 études scientifiques évaluées par des pairs confirmant que la protéine spike est hautement pathogène par elle‑même. La plupart des études in vitro citées ici ont utilisé des protéines spike recombinantes ou des protéines spike dans des vecteurs pseudoviraux, produisant des effets pathologiques non dépendants de la machinerie virale du SARS‑CoV‑2.
Les études sont regroupées par pathologie en 32 sections, incluant les tissus et systèmes organiques affectés, les mécanismes, et les preuves issues de la pathologie clinique. Étant donné que ces domaines se chevauchent, certaines études parmi les 263 peuvent apparaître dans plusieurs sections.
Il convient de souligner qu’un tel florilège d’études distingue ce vaccin de la majorité des autres vaccins et devrait, d’un point de vue scientifique et rationnel, conduire à l’abandon de ce procédé dans le cadre d’une utilisation indiscriminée. Ce mécanisme, basé sur la production de l’immunogène par un procédé génétique directement chez le vacciné, représente une approche totalement inédite dans l’histoire des vaccins. S’écartant radicalement des méthodes traditionnelles, il s’avère que l’expérience acquise dans le domaine de l’immunothérapie du cancer était largement insuffisante pour en comprendre ou anticiper les implications.
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