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Auteur : Napi 
161/174

Date :    08-04-2024 17:43:52


www.lexpress.fr/monde/ursula-von-der-leyen-la-nouvelle-affaire-qui-fragilise-la-presidente-de-la-commission-europeenne-Y3XTNFKAOBFEZD7O6TTIQSMFOQ/
08/04/2024

Ursula von der Leyen : la nouvelle affaire qui fragilise la présidente de la Commission européenne
Europe. À tout juste 65 ans, Ursula von der Leyen a officialisé le 19 février son souhait de briguer un deuxième mandat à la tête de la Commission européenne. Mais à quel prix ?



Eviter les maladresses, les couacs de communication. Se tenir à distance des scandales. Tel est l’agenda d’un candidat à quelques mois d’une élection qu’il compte briguer. Ainsi, à moins de douze semaines du renouvellement de la présidence de la Commission européenne, Ursula von der Leyen raréfie sa parole : pas un tweet depuis plus d’un mois. Elle pèse ses mots. Mais n’échappe pas aux controverses.

Après s’être pris les pieds dans le Pfizergate, voilà que la présidente de la Commission se trouve enkystée dans une nouvelle affaire, le "Piepergate", selon la formule des journalistes David Carretta et Christian Spillmann sur leur blog La Matinale Européenne. Le scandale serait né d’une lettre adressée à la présidente de la Commission européenne par une partie du collège des commissaires : le vice-président et haut représentant Josep Borrell, et les commissaires Thierry Breton, Paolo Gentiloni et Nicolas Schmit.

Dans ce courrier en date du 17 mars, les hauts fonctionnaires européens contestent la récente nomination de Markus Pieper. Ce député européen allemand, patron de la délégation de la CDU-CSU au sein du Parti populaire européen (PPE), a été désigné le 31 janvier envoyé de l’UE pour les petites et moyennes entreprises. Un poste censé suppléer celui du commissaire au Marché intérieur. Mais le choix de Markus Pieper suscite "des questions sur la transparence et l’impartialité du processus de nomination", étrillent les quatre commissaires dans leur lettre.

Un précieux soutien pour rempiler à la tête de la Commission ?
Plus généralement, au sein des institutions européennes, nombreux s’interrogent sur le flou qui entoure cette nomination. Primo, celle-ci a été actée en l’absence du commissaire responsable, qui n’est autre que Thierry Breton, co-auteur de la lettre. Le haut fonctionnaire français avait notamment fait part de ses préférences pour un autre visage. Deusio, d’après La Matinale Européenne, cette nomination n’a été précédée d’aucune discussion entre les chefs de cabinet des commissaires. Tertio, Markus Pieper a été choisi alors même que ses adversaires pour occuper le poste ont obtenu une meilleure note lors de l’évaluation des comités de sélection indépendants. Sur les trois personnalités figurant sur la "liste restreinte" dressée en interne, Markus Pieper est arrivé dernier, derrière la Tchèque Martina Dlabajová et la Suédoise Anna Stellinger.

En somme, tous les ingrédients sont réunis pour nourrir les soupçons de favoritisme. D’autant qu’Ursula von der Leyen et Markus Pieper ne partagent pas seulement une nationalité. Ils appartiennent également à la même famille politique : la CDU, le parti conservateur allemand. Ainsi, pour une partie du collège des commissaires, aucun doute : Ursula von der Leyen a offert cette position généreusement rétribuée – entre 15 000 et 20 000 euros par mois – à Markus Pieper afin d’obtenir le soutien de son parti en juin lors de l’élection du nouveau président de la Commission.

Markus Pieper maintenu à son poste (pour l’instant)
Le 1er mars, déjà, 14 députés européens, verts, socialistes et démocrates, avaient épinglé la promotion de Markus Pieper. Au détour d’une question écrite prioritaire, les élus interrogeaient la Commission : quels sont les résultats des évaluations internes et externes de Markus Pieper ? Quelles qualifications supplémentaires ont justifié ce choix au détriment de meilleures candidatures ? Et, bien évidemment, l’affiliation à la CDU a-t-elle joué un rôle dans cette nomination ? Une demande de clarification restée lettre morte.

Lors d’un point presse le 4 avril, le porte-parole en chef de la Commission a tenté de minimiser ce que de nombreux observateurs désignent comme un scandale politique : "La présidente [Ursula von der Leyen] a pleinement confiance dans le fait que le processus [de nomination] a été mené conformément à toutes les procédures pertinentes". Autrement dit, tout a été fait selon les règles de l’art, circulez, y a rien à voir, Markus Pieper reste en poste. Ce qui n’est, pour l’heure, pas chose assurée pour Ursula von der Leyen.

Auteur : Bigben  
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Date :    11-04-2024 15:46:10


A propos des "forces vives" de la nation :
www.ledauphine.com/faits-divers-justice/2024/04/11/legion-d-honneur-un-general-et-un-senateur-soupconnes-de-corruption
Auteur : Napi 
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Date :    12-04-2024 18:59:25


francesoir.fr/politique-france/restrictions-des-libertes-individuelles-et-numeriques-le-gouvernement-met-les
11/04/2024

Restrictions des libertés individuelles et numériques : le gouvernement met les bouchées doubles


Se dirige-t-on en France, et dans l’indifférence générale, vers un régime autoritaire ? Si l’on assiste depuis 2015 à une boulimie législative sur tout ce qui a trait à la sécurité et au terrorisme, la Macronie met les bouchées doubles quant à la restriction des libertés individuelles, publiques et même numériques. En l’espace de quelques semaines, une dizaine de textes ou de mesures, controversées et jugées liberticides, ont été adoptées par le Parlement ou appliquées par les autorités. Censure sur les réseaux sociaux, criminalisation de la liberté d’expression et des opinions divergentes, instauration de nouveaux délits ou restriction du droit à la grève… Si certaines dispositions, comme l'état d’urgence sanitaire pendant la pandémie de COVID, sont justifiées par les Jeux olympiques de Paris cet été, d’autres laissent peu de place à de l’optimisme.

Ardemment souhaitée par le gouvernement, la censure sur les réseaux sociaux en France tient l’un de ses premiers cas, depuis le 15 février 2024. Quelques jours après la publication par l’organisme français de lutte contre les ingérences étrangères d’un rapport sur un “vaste réseau de propagande russe” à destination des États-Unis et de l’Europe, au moins une vingtaine de canaux Telegram ont été supprimés pour avoir publié, selon la version officielle, des contenus “pro-russes”.

Censurer et contrôler, en public ou en privé

Le rapport, réalisé par Viginum, organisme chargé de lutter contre les ingérences numériques étrangères, présentait ces 20 canaux comme étant les principales sources de portails russophones. Trois jours après la révélation de cette publication, les habitués de ces fils d’actualités ne pouvaient plus les retrouver et leurs membres apprenaient que “ces canaux ne peuvent être affichés, car ils ont enfreint la législation locale”.

Cette mesure suscitait l'inquiétude, car elle s’inscrivait dans un contexte plus large, marqué par une pression croissante des institutions de l’État sur la liberté d’expression et de l’information. Le lendemain de la publication du rapport de Viginum, le Conseil d'état ordonnait à l’ARCOM de contrôler le contenu des programmes de CNews en “réexaminant, dans un délai de six mois, le respect par la chaîne CNews de ses obligations en matière de pluralisme et d’indépendance de l’information”. L’Autorité de régulation se retrouve alors dotée du pouvoir d’apprécier “le pluralisme des courants de pensée”.

Ce même mois de février, le Digital Service Act (DSA), règlement européen sur les services numériques, est entré en vigueur en France. Certaines dispositions du texte sont jugées comme étant trop restrictives pour les plateformes, notamment la modération de contenus sur les réseaux sociaux, ce qui peut entraîner une restriction des libertés de parole et de communication en ligne.

Le mois de mars a apporté son lot de lois jugées liberticides. Une proposition de loi, votée le 6 mars en première lecture à l'Assemblée nationale, entend réprimer les propos à caractère discriminatoire tenus en privé. Il s’agit de la loi contre l'antisémitisme et le racisme, qui transforme en délit la provocation, la diffamation ou l’injure à caractère raciste ou discriminatoire, particulièrement dans la sphère privée, y compris dans une messagerie privée comme WhatsApp ou Telegram.

Le texte instaure également le délit d’apologie non publique des crimes de guerre, puni d'un an de prison et de 45 000 euros d’amende, ou encore le délit de contestation non publique d’un crime contre l’humanité, qui sera puni de 3 750 euros d'amende.

Praticiens de la Santé, journalistes ou citoyen lambda

Fin mars, l’Assemblée nationale votait en première lecture, après un débat pour le moins intense et houleux, la proposition de loi visant à "prévenir les ingérences étrangères en France". Son article phare vise à recourir à une technique de renseignement actuellement utilisée dans le cadre de la lutte antiterroriste.

Après la loi contre l'antisémitisme et le racisme, c’est au tour du projet de loi visant à sécuriser et réguler l’espace numérique (SREN) d’instaurer un nouveau délit. Adopté durant l’été 2023, le texte est passé par une commission mixte paritaire adoptée par le Sénat le 2 avril et par l’Assemblée ce mercredi 10 avril 2024. La nouvelle version instaure alors le "délit d'outrage en ligne", ajouté à l’article 5 bis du texte, qui vise à punir, par une amende et un an d’emprisonnement, sans passer par un tribunal, quiconque diffuse en ligne un contenu à “caractère injurieux”.

A cela s’ajoute l’autre pouvoir dont est désormais dotée l’ARCOM, à savoir ordonner, avant même de passer par un juge, le blocage et le déréférencement, par les opérateurs télécoms, de sites pornographiques ou surtout, des médias faisant l’objet d’une interdiction dans l’espace européen.

La veille, mardi 9 avril, c’est cette fois-ci un texte restreignant les libertés syndicales qui a été adopté par le Sénat. Il s’agit d’une proposition de loi visant à limiter, à quelques mois des Jeux olympiques, les grèves des transports pendant certaines périodes à définir.

Le même jour, les députés ont définitivement adopté le projet de loi "visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires”. Déposé en novembre 2023 au Sénat par le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, le texte, qui instaure d’autres délits, a été adopté par la chambre haute du Parlement en février dernier. L'article de la discorde, le numéro 4, réintroduit par la commission des lois et visant aussi bien les praticiens de la santé, est le plus inquiétant.

L’exécutif affirme ne pas avoir “l’intention d’interdire la critique médicale” mais de “mettre hors d’état de nuire les gourous 2.0” mais peine à calmer la crainte que cette disposition ne restreigne la liberté du débat scientifique, en particulier médical, ainsi que pour la liberté des patients en matière de choix thérapeutiques.

Après cette liste à la Prévert, le gouvernement peinera à faire croire que tout ceci est pour le bien des citoyens... de plus dans la plupart des cas de ces projets de lois liberticides, les représentants des français, sénateurs comme députés, auront brillé par leur absentéisme et leur manque de sérieux, concernant un sujet qui est cher, en ces temps troublés, la liberté. Une denrée qui fond comme neige au soleil, au pays des droits de l'Homme et qui peu à peu se transforment en devoirs.

La mobilisation lors des prochaines élections pourrait être la meilleure réponse à apporter aux représentants des français, pour leur signifier que sans voix à leur égard, ils ne seront plus leurs représentants.
Auteur : Napi 
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Date :    13-04-2024 20:28:39


france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/loire-atlantique/affaire-de-la-viande-avariee-chez-castel-viandes-de-chateaubriant-le-licenciement-du-lanceur-d-alerte-pierre-hinard-juge-illegal-2953514.html
10/04/2024

Affaire de la viande avariée chez Castel Viandes à Châteaubriant, le licenciement du lanceur d'alerte Pierre Hinard jugé illégal


L'affaire avait débuté en 2008 lorsque le responsable qualité de chez Castel Viandes, à Châteaubriant, en Loire-Atlantique, avait dénoncé des ventes de viande avariée à de grandes enseignes de la restauration rapide et de la grande distribution.


C'est parce qu'il n'avait pas voulu être complice de pratiques illicites et dangereuses que Pierre Hinard avait été licencié.

En 2008, ce responsable qualité de la société Castel Viandes, un abattoir installé à Châteaubriant, dénonce une pratique de "remballe" dont se rend coupable l'entreprise qui vend des lots de viande avariée à la restauration rapide et à la grande distribution.

Pour avoir alerté les services vétérinaires, Pierre Hinard a été licencié par Castel Viandes pour faute grave et a été très critiqué à Châteaubriant, accusé de mettre en danger un gros employeur local.

Condamnation de Castel Viandes
Pierre Hinard attendra 2022 pour que la Justice reconnaisse l'infraction de Castel Viandes et condamne l'entreprise et son dirigeant pour "tromperie et mise sur le marché de denrées préjudiciables à la santé".

Pierre Hinard écrira un livre sur son combat : "Omerta sur la viande".


Le 15 février dernier, la cour d'appel des prud'hommes de Rennes s'est penchée sur la question de son licenciement. La décision est tombée ce mercredi 10 avril. Les juges ont annulé ce licenciement.

"Une victoire totale"
La Cour d’Appel reconnait le statut de lanceur d’alerte de Pierre Hinard qui a dénoncé la remballe. Son licenciement pour faute grave était un prétexte, selon les juges. La Cour prévoit une indemnisation de Pierre Hinard à hauteur de 30 000 euros.

S'il n'y a pas de recours en cassation, le jugement devient définitif et mettra fin à 15 ans de bataille judiciaire pour Pierre Hinard.

"C’est une victoire totale" dit-il.

Satisfaction également de son avocate, Maître Eva Joly : "Je le vis comme un grand soulagement, déclare-t-elle. La justice reconnaît le statut de lanceur d’alerte".

Aujourd’hui Pierre Hinard est éleveur à Saint-Aubin-des Châteaux, près de Châteaubriant.


Auteur : Napi 
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Date :    26-04-2024 13:55:06


www.voici.fr/news-people/actu-people/laura-tenoudji-et-christian-estrosi-posent-avec-didier-raoult-leur-message-de-soutien-au-professeur-controverse-680569
16/05/2020

Laura Tenoudji et Christian Estrosi posent avec Didier Raoult : leur message de soutien au professeur controversé

Testée positive au coronavirus en mars dernier, Laura Tenoudji a été soignée avec un traitement à base de chloroquine. Une fois guérie, la journaliste a affiché son soutien à Didier Raoult. La compagne de Christian Estrosi lui a de nouveau témoigné son admiration après une rencontre à Marseille.


www.ouest-france.fr/provence-alpes-cote-dazur/nice-06000/une-situation-inacceptable-estrosi-reclame-la-fin-des-manifestations-anti-passe-sanitaire-a-nice-7436143
23/09/2021

« Une situation inacceptable ». Estrosi réclame la fin des manifestations anti-passe sanitaire à Nice
Christian Estrosi a réclamé, mercredi 22 septembre, la fin des manifestations organisées contre le passe sanitaire chaque samedi à Nice (Alpes-Maritimes). Dans un communiqué de presse, le maire de la ville dénonce une « situation inacceptable » qui « pénalise la vie de la cité ».


www.nicematin.com/faits-de-societe/christian-estrosi-veut-supprimer-lassurance-chomage-aux-non-vaccines-et-les-reconfiner-739223
13/11/2022

Christian Estrosi veut supprimer l'assurance chômage aux non-vaccinés et les reconfiner
Ce jeudi matin, le maire de Nice, Christian Estrosi, était l'invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV. L'édile niçois a déclaré être favorable à l'obligation de la vaccination et à ce que les non-vaccinés soient pénalisés.


www.lemonde.fr/societe/article/2024/04/24/les-derapages-financiers-du-grand-prix-de-formule-1-de-christian-estrosi_6229493_3224.html
24/04/2024

Les dérapages financiers du Grand Prix de formule 1 de Christian Estrosi
Organisé entre 2018 et 2022 sur le circuit Paul-Ricard (Var), l’événement, dont la structure légale vient d’être placée en liquidation, accuse une dette de plus de 32 millions d’euros. Le parquet de Marseille a ouvert une enquête pour « favoritisme » et « détournement de fonds publics ».

Auteur : Bigben  
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Date :    26-04-2024 18:07:05


@post précédent : tout le monde sait, en effet, que le "motodidacte" niçois
--> est un opportuniste qui change souvent d'idées (toujours dans son intérêt personnel) ...
P.-S. : m'étonne(rai) pas que, lui aussi,
--> actuellement "inquiété" dans l'affaire du Castelet,
--> confirme (bientôt) son arrêté municipal d'instauration dans "sa" ville d'un couvre-feu pour les mineurs non accompagnés
--> afin de s'attirer les bonnes grâces de Darmanin, qui s'est dit favorable à cette mesure !
www.ladepeche.fr/2024/04/23/couvre-feu-pour-les-mineurs-que-dit-la-loi-comment-une-telle-mesure-est-elle-appliquee-par-le-maire-dune-commune-11907833.php
Auteur : Napi 
167/174

Date :    27-04-2024 14:21:26


www.liberation.fr/sports/tennis/djokovic-en-australie-nen-faisons-pas-un-martyr-de-la-cause-antivax-20220106_F7WTP4GSRJFANKAWY24ZCMJABA/
06/01/2022

Djokovic en Australie : n’en faisons pas un martyr de la cause antivax

Le numéro 1 mondial est retenu jusqu’à lundi dans un hôtel de Melbourne, en attendant que son visa soit examiné pour participer à l’Open d’Australie. Le refus de prouver son statut vaccinal et l’exemption dont il a bénéficié ont provoqué une vive polémique dans le pays.


www.lequipe.fr/Tous-sports/Actualites/Trophees-laureus-novak-djokovic-elu-sportif-de-l-annee/1462818
23/04/2024

Trophées Laureus : Novak Djokovic élu sportif de l'année

Auteur : Bigben  
168/174

Date :    27-04-2024 14:35:01


(en effet, ce "revirement" , Serge, m'a bien fait sourire !
--> comme quoi, y'a une justice... parfois )

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