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CORONAVIRUS
Auteur : Napi  
113/157

Date :    21-02-2024 13:03:41


www.francesoir.fr/societe-sante/une-analyse-independante-des-donnees-des-30423-patients-soignes-l-ihu-mediterranee
19/02/2024

Une analyse indépendante des données des 30423 patients soignés à l’IHU-Méditerranée Infection donne des résultats encore meilleurs que ceux initialement annoncés par les équipes de l’IHU


Réunis autour du Professeur Christian Perronne, Valère Lounnas (PhD de chimie théorique appliquée aux protéines et ancien chercheur à l'EMBL-Heidelberg), Pr. Eleftherios Gkioulekas (PhD, School of Mathematical and Statistical Sciences, University of Texas), Dr Marc Rendell, (MD Rose Salter Medical Research Foundation), Dr Alexis Lacout et Xavier Azalbert (économétricien, directeur de la rédaction de France-Soir) ont analysé de manière autonome et indépendante les données des 30 423 patients pris en charge par l’IHUM ( Institut Hospitalo-Universitaire-Méditerranée Infection). Deux faits marquants :

La bithérapie utilisée à l'IHUM diminue de 58 % le passage en soins intensifs et décès, montre l'étude indépendante des données des 30423 patients soignés à l’IHUM.
L'AP-HM, sous la responsabilité de François Crémieux, a donné son accord à l'exploitation des données dans un but de publications scientifiques. Ce qui vient mettre un terme aux affirmations non étayées du Pr Molimard qui a qualifié cette étude "d'essai sauvage".
Le Professeur Perronne déclare :

"L’équipe a fait un travail très précis alliant la rigueur mathématique et méthodologique nécessaire à l’analyse d’une base de données de type Big data avec les compétences cliniques essentielles."

Une étude autorisée par l’AP-HM dirigé par François Crémieux

Les patients analysés sont ceux du pôle de maladies infectieuses de l’AP-HM (Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille) soignés à l'IHU-Méditerranée pendant la phase aiguë de l'épidémie (de mars 2020 à décembre 2021). Cette clarification importante permet de resituer les responsabilités des uns et des autres notamment en matière de soins et de recherche clinique. L’AP-HM est donc le responsable administratif des soins, de la collecte des données et de leur utilisation. Et c’est dans cette optique que l’AP-HM, aujourd’hui représentée par son directeur général François Crémieux, a donné son accord pour l’exploitation des données à but de publications scientifiques dans l’intérêt de la science médicale. Les autorisations 2020-151 et 2020-152, que France-Soir a pu consulter, établit que les études des Pr Million et Pr Lagier sur la Covid sont inscrites au registre des activités de traitements de l’AP-HM pour la période du 27 avril 2020 étendue jusqu’au 31 décembre 2021. Ceci est bien sûr une des missions d’un pôle d’expertise internationalement reconnu comme celui de l’IHUM. Ces éléments contredisent les affirmations non étayées du Pr Molimard de l’université de Bordeaux, opposant affiché aux travaux de l’IHU, qui a déclaré sans l’étayer factuellement que ces données constituaient un "essai sauvage". Contactés par France-Soir à plusieurs reprises, François Crémieux et Mathieu Molimard n'ont jamais été disponibles pour répondre à ces points spécifiques.

Les résultats de l’étude indépendante confirment les résultats des chercheurs de l’IHUM

Les données de 30 423 patients, après contrôle par huissier, ont été publiées sur un serveur et téléchargées par l’équipe pluridisciplinaire qui a passé plusieurs mois à les analyser en passant en revue méthodiquement les divers biais potentiels ainsi que tous les facteurs qui peuvent affecter l'évaluation du traitement dans la limite des données fournies. Rappelons que c’est en octobre 2023 que les chercheurs de l’IHU avaient republié leur étude montrant des résultats clairement en faveur des traitements précoces.

Les résultats sont sans appel en faveur des traitements précoces mis en place à l'IHU-Méditerranée (hydroxychloroquine + azithromycine ou azithromycine avec ou sans ivermectine) sur le critère principal d'évaluation combinant transfert en réanimation et décès.

L’efficacité de la bithérapie s'est élevée à 58 % de réduction du risque de passage en soin intensif ou décès.

Il s'agit de la première analyse critique publiée dans une revue à comité de lecture qui vient donc confirmer les résultats obtenus par la publication des chercheurs de l’IHU-Méditerranée.

Résumé de l'article, traduit en français

"Une cohorte de 30 423 patients atteints de covid-19, traités entre mars 2020 et décembre 2021 à l’IHU-Méditerranée Infection de Marseille (France), a été analysée rétrospectivement en termes d'intention de traiter et de facteurs d’aggravation de la maladie, afin de quantifier l’efficacité par rapport au critère d’évaluation composite du transfert en réanimation ou du décès, dans les deux mois (56 jours) suivant l’admission.

Dans la limite des données et des modèles statistiques utilisés, après ajustement pour tenir compte des biais d’échantillonnage, des analyses de régression logistique multivariée ont été effectuées pour déterminer l’efficacité mesurée par un rapport de risque relatif (OR ou odds ratio : rapports de cotes) non ajustés et ajustés pour le sous-ensemble de patients ayant reçu le traitement combiné hydroxychloroquine plus azithromycine (HCQ-AZ) ou aucun traitement spécifique (c’est-à-dire pas d’HCQ, pas d’AZ et pas d’ivermectine) (24 943 patients).

L’azithromycine sans hydroxychloroquine, mais associée à l’ivermectine dans 31,3 % des cas était significativement active en l’absence de traitement spécifique (OR non ajusté = 0,720, IC à 95 % = [0,574 ; 0,905] p = 0,005 et OR ajusté = 0,727, IC à 95 % = [0,608 ; 0,870] p < 0,001).

Les interactions entre la bithérapie (HCQ-AZ) et les covariables du modèle ont été systématiquement explorées. Aucune interaction entre le traitement par HCQ-AZ et la vaccination n’a été détectée. Des interactions favorables statistiquement significatives ont été détectées entre le traitement par HCQ-AZ et le sexe masculin, les catégories d’âge ≥ 50 ans, le variant britannique et lorsque le variant n’a pas été déterminé, l’obésité, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), le cancer et l’immunodéficience, confirmant la grande efficacité de ce traitement précoce. Aucune interaction défavorable statistiquement significative de l’HCQ-AZ avec une autre covariable n’a été détectée.

Les limites des modèles et leurs implications pour les résultats sont discutées en détail ainsi que les limitations des données de l’IHU.

L’étude conclut : "L’analyse statistique des données de l’IHU-Méditerranée avec les méthodes en vigueur en matière d'évaluation rétrospective du bénéfice d'un traitement a démontré l’efficacité du traitement empirique utilisant une association d’hydroxychloroquine et d’azithromycine, administrée en traitement précoce. La très grande taille de la cohorte observationnelle de patients traités de manière cohérente dans un seul établissement, ainsi que la qualité de l’approche statistique que nous avons utilisée, posent un sérieux défi à ceux qui ont continuellement nié l’efficacité potentielle du traitement à base d’hydroxychloroquine des patients Covid pendant la pandémie. Nous avons confirmé la validité de l’approche en intention de traiter, en cas d’urgence, avec une association de médicaments dont on pouvait raisonnablement penser, au début de 2020, qu’elle avait une efficacité potentielle sur la maladie en question. Ce travail devrait inciter d’autres chercheurs indépendants à mener des analyses plus approfondies, éventuellement avec des méthodes encore plus avancées."

L’association Bonsens.org a financé les frais de publication et un ordinateur à 829 euros pour effectuer les travaux.



Note : Questions posées à Monsieur François Crémieux étaient les suivantes :

Je prépare un article sur la publication sur les 30000 patients traités au CHU de Marseille qui a fait l’objet d’une première publication rétractée et d’une seconde publication par les professeurs de l’IHUM. Le professeur Molimard s’est exprimé dans les médias en expliquant que cette étude aurait nécessité un agrément RIPH1 et déclare « que c’est un essai sauvage ».

1 – Cette étude étant effectuée sur des patients de CHU et donc sous votre entière responsabilité, avez-vous donné l’autorisation pour exploiter cette base de données rétrospectives ? si oui à quelle date ?

2 – Est-ce que l’IGAS vous a interrogé à ce sujet et fait des recommandations à ce sujet ?

3 – Les professeurs de l’IHUM ont été attaqués pour cette étude, est-ce que le CHU prend leur défense en tant que responsable de l’institution AP-HM, l’institution qui les emploie ?

4 – Quand Monsieur Molimard déclare que c’est « un essai sauvage », que pouvez-vous dire à ce sujet ? Etant donné qu’il remet ainsi en cause votre responsabilité et les conclusions de l’IGAS ?

5 – Est-il envisagé par le ministère de la Santé de faire un audit pour répondre à la question député Dupont-Aignan au ministre de la Santé sur la validité des résultats de l’IHU en termes de soins et performance du traitement à l’hydroxychloroquine et azithromycine ?

Ndlr : une version préliminaire de cet article a été publiée ce matin.

Auteur : Napi  
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Date :    25-02-2024 13:06:44


www.francesoir.fr/videos-videos-ne-pas-manquer/pr-perronne-bonsensorg-creee-pour-repondre-aux-fraudes-scientifiques
24/02/2024

Pr Perronne : « BonSens.org créée pour répondre aux fraudes scientifiques par des contre-expertises et des actions juridiques »


Le Professeur Christian Perronne a été invité à la cinquième édition de l’International Covid Summit qui se tient à Washington aux États-Unis du 23 au 25 février 2024.
Hier, lors de la première journée, il a fait une présentation très remarquée sur l’association BonSens.org, dont il est le vice-président. Il a présenté le travail scientifique et juridique de l’association qui contribue à répondre aux nombreux challenges d’intégrité scientifique ainsi qu’aux dérives liberticides apparus depuis 2020.

Le Professeur Perronne a aussi évoqué deux études très importantes, qui viennent juste d’être publiées. L'analyse indépendante des données des patients soignés à l'IHU méditerranée confirme :

-L’efficacité significative de la bithérapie hydroxychloroquine et azithromycine, résultats déjà publiés par l’étude des chercheurs de l’IHU méditerranée (Brouqui et al),
-L’absence d’efficience de la vaccination, politique sanitaire vaccinale mise en place et imposée par le gouvernement.
De nombreux autres scientifiques et juristes internationaux ont évoqué divers aspects de la crise sanitaire et les conséquences de la politique sanitaire dont les effets se sentent encore aujourd’hui.

Emmanuelle Darles et Vincent Pavan représentent aussi la France à cette conférence internationale. Leurs présentations sont prévues pour le dimanche 25 février 2024 au matin.

Auteur : Napi  
115/157

Date :    27-02-2024 21:04:32


www.francesoir.fr/opinions-tribunes/christian-perronne-ics-5-un-tournant-le-retour-de-la-lumiere-et-la-liberte
27/02/2024

Christian Perronne : ICS-5 et Sénat US, un tournant, le retour de la lumière et la liberté.


Chers amis,

Mon séjour à Washington s’achève, mais quel séjour !

Après ces années de ténèbres, de corruption, de manipulation, de diffusion d’articles médicaux et scientifiques frauduleux, de suppression des libertés, de mesures autoritaires totalement illégales, de contrôle des médias et de censure généralisée, de destruction méthodique de la santé, des hôpitaux, de l’économie, du potentiel industriel, de l’agriculture, de l’éducation, de l’armée, de la diplomatie, de la culture, des valeurs familiales, la lumière et la vérité se propagent sur la planète. Les peuples s’éveillent et ne lâcheront rien.

Les deux jours du congrès de l’International Crisis Summit (cinquième édition, ICS-5) ont mis au grand jour les mesures terribles prises contre les peuples du monde. Les échanges ont été très riches.

La France était dignement représentée par Emmanuelle Darles (chercheuse en informatique) et Vincent Pavan (mathématicien de haut niveau) qui ont fait deux exposés remarquables sur les publications frauduleuses et les méthodes utilisées pour la fabrication de fausses données.

J’ai eu le plaisir de retrouver des médecins américains exceptionnels combattants de la première heure, devenus amis, Pierre Kory, Harvey Rich, Meryl Nass (qui a été accusée de désinformation puis radiée pour avoir sauvé des vies) et Ryan Cole (médecin anatomo-pathologiste qui a effectué un grand nombre d’autopsies chez les victimes décédées des pseudo-vaccins Covid-19, pour en démontrer la dangerosité). Le Dr Simone Gold, pionnière de la résistance, a témoigné. Le professeur australien, Raphael Lataster, a exposé les techniques de désinformation et de création d’infox, particulièrement utilisées par les fact-checkers.

Le témoignage des routiers canadiens qui ont subi une violence inouïe et à qui on a bloqué les comptes bancaires était poignant. Des médecins et autres soignants, des parlementaires, des policiers (notamment un policier du renseignement de la Police Montée canadienne), d’anciens militaires, des journalistes, qui ont eu un immense courage de résister à la tyrannie et qui ont été victimes de cette répression terrible, ont pu raconter le cauchemar qu’ils ont vécu.

Le témoignage d’un routier canadien d’origine roumaine, qui avait connu dans sa jeunesse la tyrannie communiste de Ceaucescu, et qui pensait ne plus jamais revoir ça, a été très émouvant. Il a été battu sévèrement et blessé pour avoir simplement manifesté pacifiquement contre le passe sanitaire obligatoire. Il a été exposé les techniques de manipulation des populations, de lavage de cerveau, de propagande, dignes d’un film de science-fiction. Les techniques de fraude financière ont été abordées.

Des parents ont témoigné, certains en larmes, en évoquant la mort de leur enfant quelques jours après l’inoculation expérimentale. Des statistiques sur les effets secondaires et la mortalité liés aux pseudo-vaccins ont été montrées, notamment par le Dr Jessica Rose, experte canadienne ayant analysé la base de données des effets secondaires VAERS. Les avocats ont rappelé que l’injection forcée de produits expérimentaux était totalement illégale et contraire à toutes les conventions internationales, assimilable à un crime contre l’humanité. La médaille que portaient les juges lors du procès de Nuremberg a été exposée.

Le Dr Malone a présenté la mainmise de la CIA sur le monde. Mon ami et avocat suisse alémanique, Phillip Kruse a démontré de façon remarquable la menace extrême pour nos démocraties du projet de Traité de l’OMS qui supprimerait le pouvoir des états. L’OMS ayant changé la procédure pour que ce vote puisse être adopté à la majorité simple des pays, il y a un énorme risque que ce traité soit adopté en mai prochain.

Il faut saluer la présence de trois députés européens fantastiques que je connais bien, Christine Anderson (Allemagne), Cristian Terhes (Roumanie) et Rob Roos (Pays-Bas) qui, avec une poignée de collègues à Bruxelles et à Strasbourg, se battent comme des lions pour défendre nos libertés au sein du Parlement européen. Pour survivre, les démocraties doivent impérativement rétablir l’indépendance du Parlement, de la justice et des médias et refuser la tyrannie supranationale de l’OMS.

La table ronde organisée au Sénat des États-Unis, dans la célèbre salle Kennedy, diffusée en direct dans le monde entier, a été d’une richesse incroyable. Beaucoup de professions étaient représentées, y compris des anciens repentis de la finance ou de l’industrie pharmaceutique qui ont pu dévoiler les manipulations cachées. J’étais fier d’y représenter la France.

J’ai été frappé d’entendre de la part de nombreux participants américains, européens, canadiens, mexicains et australiens qu’ils avaient beaucoup d’admiration pour les résistants français, qu’ils considèrent comme des combattants de la première heure dans cette crise covido-ubuesque.

Beaucoup d’experts de pays étrangers comptent sur nous pour montrer la voie. Ils m’ont dit que :

"La France devait reprendre son rôle de pays des lumières."

Lors de cette table ronde, j’ai exposé les données fausses ou carrément frauduleuses dans les publications scientifiques et comment nous les dénonçons, avec mes amis de l’association BonSens.org, en publiant des réponses ou des contre-expertises dans les journaux médicaux internationaux référencés. J’ai aussi parlé des menaces et des sanctions exercées contre les médecins dissidents et de la censure dans les médias de grands chemins, mais aussi sur les réseaux sociaux. J’ai terminé en exposant la volonté des autorités de supprimer nos libertés médicales et scientifiques.

J’ai remercié chaleureusement le Sénateur Ron Johnson et le Dr Robert Malone, organisateurs de la table ronde, pour leur engagement fantastique pour faire éclore la vérité.

Cette table ronde au Sénat américain, par sa qualité et sa diffusion mondiale, représente pour moi un tournant magnifique vers le retour de la lumière et de la liberté.

Washington, le 26 février 2024

Christian Perronne

Auteur : Napi  
116/157

Date :    08-03-2024 13:24:46


www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/debriefing-avec-le-senateur-americain-ron-johnson-il-faut-se-battre-contre
07/03/2024 26 min.

Débriefing avec le sénateur américain Ron Johnson : “Il faut se battre contre le cartel Covid pour que la vérité émerge “


DEBRIEFING - Le sénateur Johnson a été très actif dans l’évaluation de la pandémie de Covid aux Etats-Unis. Le lundi 26 février 2024, se tenait au Sénat américain, une table ronde réunissant des scientifiques et juristes du monde entier pour évoquer ce que tient à cacher le cartel du Covid.

Dans ce débriefing, Ron Johnson revient sur ces quatre heures de meeting où se sont succédé les présentations des meilleurs scientifiques mondiaux et où ont été abordés des sujets tels que les traitements précoces, les effets secondaires de la vaccination, la fraude scientifique, les politiques sanitaires ainsi que les nouvelles dispositions juridiques du traité de l’OMS et l’article 4 de la loi sur les dérives sectaires en France.

Auteur : Napi  
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Date :    14-03-2024 14:10:08


www.covid-factuel.fr/2024/03/12/la-plus-grosse-etude-financee-pour-demonter-linefficacite-de-livermectine-ny-parvient-pas/
12/03/2024


La plus grosse étude financée pour démontrer l’inefficacité de l’ivermectine n’y parvient pas.
Docteur Gérard Maudrux


CONCLUSIONS

Une étude montée avec tout ce qu’il faut pour rendre l’ivermectine peu efficace, démontre qu’elle est efficace. Ils ont échoué à démontrer le contraire.
Pour arriver à présenter des conclusions contraires aux constatations, il faut une étude randomisée et de bons biostatisticiens.
Pour avoir la vérité, il faut revenir aux études observationnelles, sans conflits d’intérêts.
Auteur : Napi  
118/157

Date :    19-03-2024 13:47:46


freefrancois.blogspot.com/2024/03/lhydroxychloroquine-un-complot-francais.html

L'Hydroxychloroquine, un complot français


Grâce à des analyses rétrospectives de prélèvements des eaux usées [1], pour le virus, et d’échantillons sanguins et d’urine de patients hospitalisés pour des pneumopathies atypiques[2], pour le virus et les anticorps, on sait aujourd’hui que le CoV-SRAS-2 circulait dès mars 2019. On sait de plus qu’en 2005, une équipe de chercheurs proches du directeur de l’Institut national des maladies infectieuses et allergiques états-unien (NIAID), le professeur Anthony Fauci, considérait sur la base de données in vitro et in vivo sur des animaux, que l’hydroxychloroquine (HCQ) était le meilleur traitement possible contre le CoV-SRAS-1.

Le rationnel clinique pour une efficacité attendue de l’HCQ associée à l’azithromycine (AZM) et au zinc tient en trois points principaux. En premier lieu, l’HCQ élève le ph des endosomes, ce qui inhibe l’entrée du virus dans les cellules et favorise l’activité antivirale intracellulaire de l’AZM. Ensuite, si le zinc, un virucide bien connu des médecins, passe difficilement la barrière membranaire des cellules, associé à l’HCQ et l’ivermectine (IVM), des ionophores, c’est-à-dire qu’ils font passer les ions zinc à travers cette barrière membranaire, son efficacité antivirale est augmentée.

Au 7 février 2024, il existe 419 études menées par 8 637 scientifiques et incluant 539 009 patients dans 58 pays. Environ les deux tiers sont positives et statistiquement significatives[3].

L’Algérie a traité ses patients à l’HCQ et l’AZM depuis le début de la pandémie. Elle a une population de 42 millions d’habitants dont des sujets âgés de 65 ans et plus en nombre sept fois inférieur à la France et a enregistré [4], sur les années 2020 et 2021, dix-huit fois moins de morts que la France.



Il est impossible de faire une estimation précise de la consommation d’HCQ dans le monde depuis soixante-dix ans. Toutefois une fourchette allant de dix à vingt milliards de doses semble réaliste.

Le 13 décembre 2019, une note[5] de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), proposait au Directeur général de la santé, le professeur Jérôme Salomon, de prendre un arrêté portant inscription de l’HCQ sur la Liste II des substances vénéneuses, uniquement accessibles sur ordonnance. L’Agence se justifiait ainsi : “Les données issues de la littérature ont montré un potentiel génotoxique de la chloroquine (CQN) in vitro et in vivo [La génotoxicité représente un risque de malformation du fœtus]. Les données disponibles sur la génotoxicité de l’HCQ sont quant à elles limitées. Toutefois, du fait des similitudes de structures et de propriétés pharmacologiques des deux molécules, le risque génotoxique de l’HCQ ne peut être exclu. » Puis trois lignes plus bas, l’Agence d’ajouter : « Il n’y a pas, à ce jour, d’impact clinique connu du risque génotoxique potentiel de l’HCQ ». On a donc une recommandation de l’Agence du médicament de placement sur la liste des produits soumis à prescription médicale du fait de « similitudes de structures et de propriétés pharmacologiques » avec la CQN, alors que les données de la science disponibles, soit environ 40 000 patients traités principalement en rhumatologie chaque année, dont les femmes enceintes, disent que ce risque n’existe pas. L’arrêté sera pris le 13 janvier 2020 par la ministre de la Santé, le professeur Agnès Buzyn.

Le 16 mars 2020, le professeur Didier Raoult, directeur de l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée infection publie une vidéo sur le site YouTube, dans laquelle il recommande, sur la base d’un essai clinique de son institut, l’utilisation de l‘HCQ et de l’AZM en traitement précoce du Covid. Dans les jours qui suivent, le professeur François Raffi, chef du service des maladies infectieuses du CHU de Nantes, l’appelle anonymement pour le menacer de mort et autres avanies[6]. Le professeur Raffi, qui figure dans le trio de tête des médecins français bénéficiant des largesses financières du laboratoire Gilead Sciences, fabricant du remdesivir, a depuis plaidé coupable, se voyant du coup dispensé d’avoir à s’expliquer publiquement, et s’est vu condamné à quelques centaines d’euros d’amende et de dommages et intérêts. Ses motivations à agir n’ont fait l’objet d’aucun débat ni d’aucune question dans les rares médias qui ont fait état de sa condamnation.

Le 23 mars 2020, le successeur de Mme Buzyn, le Dr Olivier Véran, prend une mesure tout à fait exceptionnelle dans l’histoire de la médecine sous la forme d’un arrêté [7] interdisant aux pharmacies « d’honorer les ordonnances d’HCQ en dehors de leur usage habituel…/… afin de garantir l'approvisionnement approprié et continu des patients sur le territoire national ». Le rationnel, avancé par le directeur de l’ANSM, le Dr Dominique Martin, était de protéger les stocks pour ces patients devant l’afflux de demandes en traitement du Covid. Or on sait, grâce au Spiegel[8], d’une part, qu’à la même époque, le ministre fédéral allemand de la Santé, M. Jens Spahn, expliquait avoir commandé des millions de doses d’HCQ au laboratoire Bayer qui venait d’en relancer la production (le fabricant habituel de l’HCQ en Europe est le Français Sanofi…), d’autre part qu’au cours des mois de mars, avril et mai 2020, les médecins allemands ont massivement prescrit l’HCQ (+40%). Entre le 5 janvier et le 1er juin 2020, l’Allemagne a connu une mortalité Covid de 111 par million d’habitants, la France de 298[9].

Le 24 mars 2020, le Dr Olivier Véran, s’en justifie en alertant les députés sur le parterre de l’Assemblée nationale d’une toxicité de l’HCQ : « Aujourd’hui, une personne qui en avait utilisé en automédication a été victime d’un arrêt cardiaque qui lui a été fatal. » La veille, un couple arizonien, manifestement terrorisé par ce virus, s’était saisi d’une dose inconnue de phosphate de chloroquine utilisée pour déparasiter l’eau de leur aquarium qu’ils avaient diluée dans de l’eau avant de l’ingérer. Seule l’épouse, hospitalisée, s’en était sortie. Quel rapport entre la sécurité d’un dosage de trois fois 200 mg de sulfate d’HCQ en vingt-quatre heures tel que préconisé par le protocole du prof. Raoult et celle d’une dose inconnue mais possiblement massive de phosphate de chloroquine ? Aucun. Et M. Véran ne pouvait l’ignorer.

Le 10 avril 2020, l’Agence du médicament communique[10] sur une alerte lancée par l’Agence espagnole des médicaments et des produits sanitaires (AEMPS)[11] selon laquelle l’HCQ provoquerait cette fois des psychoses et des passages à l’acte suicidaires. Le tout sans aucune donnée clinique sinon quelques rapports de cas ni détaillés ni référencés.

Le 14 mai 2020, le Data Safety Monitoring Board[12] (DSMB) du « grand essai français DisCoVeRy » conclut, au vu des données de sécurité et d’efficacité, qu’il faut continuer l’inclusion des patients dans le bras HCQ.

Le vendredi 22 mai 2020, le Lancet publie une étude, Mehra et al, qui, sur la foi d’une base de données de 96 000 patients Covid hospitalisés dans 671 centres hospitaliers dans le monde, attesterait que 8% des quelque 15 000 malades traités à l’HCQ ou la CQN sont décédés d’une cardiopathie.

Le lendemain, samedi 23 mai 2020, le Dr Véran saisit le Haut Conseil en santé publique lui demandant de réexaminer les conditions d’utilisation de l’HCQ. Le dimanche 24, le HCSP rend son verdict[13] recommandant « de ne pas utiliser l’HCQ en traitement du Covid et d’évaluer le bénéfice/risque de son utilisation dans les essais thérapeutiques ». Le lundi 25, l’ANSM annonce[14] suspendre l’inclusion de nouveaux patients dans les essais sur l’HCQ, « par mesure de précaution ».

Le 3 juin 2020, l’INSERM annonce qu’au vu des données de sécurité et d’efficacité internes de DisCoVeRy, son DSMB recommande la poursuite de l’essai[15] « dès que les autorités l’auront autorisée ».

Le 4 juin, l’étude publiée dans le Lancet est rétractée à la demande de trois de ses auteurs qui se déclarent « n’être plus en mesure d’assurer l’authenticité des données primaires », c’est-à-dire reconnaissent s’être fait bernés et avoir travaillé sur une base de données imaginaire fournie par M. Sapan Desaï fondateur de la société Surgisphere, dotée, au plus, d’une demi-douzaine d’employés, dont une directrice du marketing, Mme Arianne Anderson, ancien modèle de photos érotiques.

Le 5 juin, les investigateurs principaux de l’essai Recovery, les professeurs Peter Horby et Martin Landray, en publient des résultats partiels [16] indiquant qu’il y aurait un effet négatif sur la mortalité de l’utilisation de l’HCQ, +11%, mais statistiquement non-significatif. L’essai Recovery était un essai sur des patients hospitalisés dans un état grave, donc avec une charge virale proche de zéro[17], à qui on avait prescrit des doses possiblement mortelles d’HCQ (2g, pour les premières 24 heures, là où, en France et au Royaume-Uni, la dose maximale autorisée est de 0,6g). Le professeur Martin Zizi, ancien médecin chef de l’armée belge, en conclut qu’on a voulu faire mourir des patients avec des doses connues comme mortelles, « des meurtres sur ordonnance[18] », pour prouver la toxicité de l’HCQ. Dix pour cent des patients de cette étude n’avait même pas eu de diagnostic Covid confirmé par test PCR.

Enfin, le 14 juin 2020, le DSMB de DisCoVeRy annonce l’arrêt du bras HCQ pour « futilité », c’est-à-dire dont les données intermédiaires permettent déjà de conclure que l’HCQ ne peut pas être efficace.

On a donc : le 14 mai, le DSMB de DisCoVeRy qui conclut qu’au regard des données de sécurité et d’efficacité, il faut continuer le bras sur l’HCQ, le 25 sa suspension par l’ANSM, le 3 juin le DSMB qui annonce vouloir reprendre l’inclusion des patients et le 14 juin, soit onze jours plus tard, le même DSMB qui suspend l’essai pour futilité !

De même, on aurait raisonnablement pu espérer du ministre de la Santé ainsi que des « experts » du HCSP et de l’ANSM qu’ils aient lu l’étude Mehra et al, finalement rétractée par le Lancet, avant de recommander la suspension des essais sur l’HCQ. Or dans cette étude que pouvait-on y lire ? Que les patients africains étaient autant diabétiques et obèses que les Nord-Américains ! autant fumeurs que les Asiatiques ! que les patients australiens étaient plus nombreux à y avoir succombé du Covid que dans tous les hôpitaux australiens depuis le début de la pandémie ! et que les patients français y étaient classés selon leur origine ethnique ! N’y aurait-il pas quelques stagiaires au ministère de la Santé et au Haut Conseil en santé publique qui auraient été au courant que les statistiques ethniques sont interdites en France ?! Et que dire d’une base de données de 96 000 patients établie, enregistrée et analysée en quelques semaines alors que le moindre connaisseur des données médicales sait qu’obtenir l’accord d’un seul des 671 centres hospitaliers référencés et répartis dans des dizaines de pays, dont de nombreux états fédéraux disposant, pour chacun de leurs états fédérés, de législations du droit de la santé et des données personnelles différentes, demande des semaines de négociation ?

Pour résumer, on peut donc dire que l’HCQ a été consommée à des milliards de doses jusqu’à janvier 2020, où elle est devenue génotoxique en France alors que les seules données de la science disponibles y attestaient du contraire, qu’en avril 2020, elle était cette fois devenue neurotoxique en Espagne sur la base d’anecdotes, et en mai 2020, cardiotoxique dans le monde sur la foi d’une base de données imaginaire !


À l’automne 2020, le professeur Raoult déposera deux demandes d’essais dans les EHPAD, soit auprès des populations vraiment à risque, qui seront toutes les deux refusées par l’ANSM.


En mars 2021, l’IHU-MI publie les résultats de ses thérapeutiques Covid sur l’année 2020[19]. Soit 10 429 patients non-sélectionnés dont 16 décès (0,15%), et 8 315 patients traités à l’HCQ ou l’IVM parmi lesquels on dénombre 5 décès (0,06%). Au 31 décembre 2020, la France compte 63 534 morts du Covid[20] pour 2,34 millions de tests positifs. Si on tient compte du fait que la première épidémie a donné lieu à très peu de tests et qu’on ajoute un tiers des tests au chiffre global pour avoir une meilleure estimation, on trouve 3,2 millions de tests positifs, soit une létalité de 1,67%. Les autorités et les médias ignoreront cette étude de cohorte rétrospective.

En avril 2023, l’IHU présente cette fois ses résultats[21] compilés pour l’ensemble des patients traités sur les années 2020 et 2021. Les données publiées viennent de la base de données de la pharmacie des hôpitaux de Marseille pour les traitements et de l’INSEE pour le principal critère d’évaluation, la mortalité. Chaque dossier de patients a été vérifié par un huissier de justice afin de s’assurer d’une part, de leur exactitude, d’autre part, qu’aucun patient n’a été laissé de côté. L’étude atteste, entre autres, que chez les sujets de 65 ans et plus hospitalisés, la mortalité à l’IHU était de 7% contre 20% pour une population comparable d’une étude de l’AP-HP.

Le 28 mai 2023, à l’initiative du professeur Molimard, est publiée dans le quotidien Le Monde, une tribune libre[22] dans laquelle le pharmacologue et ses cosignataires dénoncent la publication de cette étude, accusant à mots couverts les médecins de l’IHU d’avoir prescrit HCQ et AZM illégalement et en cachette. Reçu le lendemain même sur la toujours serviable émission C à Vous[23], le pharmacologue ponctuera même sa diatribe d’un dantesque : « Les bras nous en sont tombés ! ».

François GÉRALD


Auteur : Napi  
119/157

Date :    20-03-2024 13:55:08




"C’est nous les gentils !
Enfin, un film qui décrypte comment on a empêché d’utiliser l’hydroxychloroquine pour le #COVID19.
Enquête américaine fouillée en anglais mais sous titrée en français.
Impressionnant !"

Professeur Didier Raoult, le 19/03/2024

twitter.com/raoult_didier/status/1770130673854026032
1h58


francesoir.fr/videos-les-debriefings/epidemie-de-fraude-la-verite-est-une-pilule-amer-interview-avec-john
19/03/2024 45 min.

"Epidemie de fraude", la vérité est une pilule amer - interview avec le réalisateur John Davidson

Dans le paysage actuel du documentaire américain, "Épidémie de Fraude" se démarque comme une enquête percutante sur les dessous de la gestion de la pandémie de COVID-19. Le réalisateur John Davidson plonge dans les arcanes de la controverse médicale et politique, mettant en lumière les débats autour de l'hydroxychloroquine, en rappelant l'histoire de ce traitement et son importance stratégique dans le contexte militaire dans les années 40-50 en protégeant les troupes du paludisme en zones endémiques.

Davidson, ne se contente pas de critiquer ; il cherche à démêler l'écheveau complexe des intérêts financiers et politiques qui ont influencé les directives de santé publique. Remettant en question l'intégrité des décisions prises en haut lieu.
Le film se veut un appel à la vigilance et à l'engagement citoyen, encourageant le spectateur à questionner les narratifs officiels et à rechercher une vérité souvent masquée par la censure et la manipulation médiatique. Avec des témoignages poignants de professionnels de la santé et une analyse approfondie des événements, John réussit à transformer ce qui pourrait être une analyse sombre en un message d'espoir et de mobilisation. En explorant les mécanismes de pouvoir et d'influence qui façonnent notre réalité, "Épidémie de Fraude" n'est pas seulement un documentaire ; c'est un cri de ralliement pour tous ceux qui aspirent à un avenir où la transparence, la science et la liberté d'expression prévalent sur les intérêts.

Auteur : Napi  
120/157

Date :    21-03-2024 14:15:06


www.dailymotion.com/video/x8v8one
21/03/2024 26 min.31

Professeur Didier Raoult

« Nous avons évité 58% de morts chez ceux qui ont pris de l’hydroxychloroquine par rapport à ceux qui n’en ont pas pris ! »

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