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CORONAVIRUS
Auteur : Napi  
129/157

Date :    30-03-2024 14:14:11


www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/de-nombreux-journaux-allemands-font-pression-pour-plus-de-transparence-sur
29/03/2024 37 min.

La manipulation covid dévoilée en Allemagne, les médias mainstream obligés de revoir leur narratif et d’adhérer aux thèses dites complotistes qu’ils attaquaient il y a encore un an


Silvano Trotta, lanceur d'alerte, suit l'actualité par passion depuis plusieurs années. Malgré le fait que de nombreux articles lui ont réservé le titre de désinformateur et complotiste, il continue à informer. Il est aussi très suivi sur X et télégram.

Dans ce debriefing, Silvano Trotta décrypte la situation actuelle en Allemagne. Depuis le 19 mars 2024, l’Allemagne est en proie à des révélations importantes sur la gestion de la crise covid. Le magazine Multipolar, qualifié de complotiste pendant toute la pandémie, a obtenu plus de 1000 pages des comptes rendus du RKI (l’Institut Robert Kock) en charge de la gestion de la crise sanitaire en Allemagne. Il s'agit de procès-verbaux de réunions s'étant tenues pendant la première année de la crise covid entre le gouvernement allemand et le RKI, ces procès-verbaux ayant été classés sous le secret défense.148 pages sont caviardées et Multipolar continue d'ester en justice afin d’obtenir la transparence totale sur cette gestion de la crise covid.

Devant ces révélations, les médias et les politiques ont dû se rendre à l’évidence que Multipolar avait eu raison. Les révélations sont relayées par de nombreux journaux, mais le Berliner Zeitung, un grand journal berlinois, est allé plus loin en tirant des conséquences pour les journalistes et le journalisme hautement subventionné en Allemagne.

Multipolar a fait des analyses identiques à celle de France-Soir en France qui a subi le même sort. Rappelons qu’en aout 2020, France-Soir présentait un calcul des décès qui auraient pu être évités en France si l’on avait appliqué la même thérapie qu’en Allemagne sur la période. Ceci confirmait l’analyse faite par le Professeur Perronne dans son premier livre – 25 000 décès en trop.

En 2021, Patrice Kiener, dans une tribune, présentait le match France-Allemagne sur la crise covid et concluait que la France avait une large avance par rapport à l’Allemagne qui en 2020 a eu une année presque normal. Rappelons que le protocole en France demandait aux français de rester chez eux, de prendre du paracétamol et d’appeler le 15 en cas de problèmes. Les patients n’ont donc pas été pris en charge et soignés comme ils l’ont été à l’IHU Méditerranée qui déplorait en 2020 5 fois moins de morts qu’à Paris. En 2024, une étude scientifique sur base des données des 30 423 patients soignés à l’IHU méditerranée confirmait que les décès et hospitalisations étaient réduits de 58% avec la prise en charge et le traitement précoce des patients (connu comme la bithérapie du Pr Raoult).

Une estimation faite à partir de ces chiffres concluait que 90 000 décès en France auraient pu être évités et plus de 4 millions dans le monde avec la systématisation des traitements précoces. Cela a été fait dans l’État du Para au Brésil qui a compté 5,5 fois moins de décès covid que l’État voisin d’Amazonie.

Des réponses que ne manqueront pas de chercher à obtenir les journalistes et politiques français. Affaire à suivre

Auteur : Napi  
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Date :    15-04-2024 21:06:41


www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/le-vaccin-etait-un-dieu-tour-d-horizon-sur-les-actions-juridiques-autour-du
11/04/2024 44 min.

“Le vaccin était un dieu” - Tour d’horizon sur les actions juridiques autour du covid en Italie avec la journaliste Maddalena Loy


Maddalena Loy, journaliste ayant travaillé à Bruxelles pendant de nombreuses années est aujourd’hui à La Verita, le quotidien Italien de Maurizio Belpietro. Dans ce debriefing, elle fait un tour d’horizon sur l’Italie et la gestion de la pandémie ainsi que les commissions d’enquêtes et actions juridiques en cours.

Elle passe en revue le confinement, les traitements précoces, et le green pass.

Dès que le vaccin est arrivé :  « le vaccin a été un dieu », aucun droit à la contestation n’était possible. Les médecins et enseignants non vaccinés ont perdu leur droit à travailler. Malgré des informations scientifiques inexistantes, le vaccin a été imposé aux personnes de plus de 12 ans.

« Le critère juridique pour imposer cela était sur une base scientifique fausse. »

Maddalena a d’ailleurs publié un fil twitter complet pour démontrer les contradictions du ministre de la Santé.

Elle évoque aussi le conflit d'intérêt du mari de Mme Von der Leyen, PDG du laboratoire Orgenesis choisi dans un projet de 320 millions d’euros financé par l’Union européenne et destiné au centre de thérapie génique de l’université de Padoue pour le développement de la technologie ARN Messenger. Heiko Von der Leyen avait alors dû démissionner.

Auteur : Napi  
131/157

Date :    18-04-2024 14:18:18


www.francesoir.fr/politique-monde/rkifiles-allemagne-les-dossiers-rki-meritent-la-croix-federale-du-merite
17/04/2024

#RKIFiles - Allemagne - Les dossiers RKI méritent la Croix fédérale du mérite


L’Allemagne est ébranlée depuis plusieurs semaines par les révélations des documents du Robert Koch Institute (RKI) obtenus par le magazine Multipolar-Magazin.de. Toute la pandémie durant, le magazine, édité par Stefan Korinth et Paul Schreyer, a été dénigré et subi l’étiquetage de complotiste. Sans se décourager, Multipolar a été jusqu’à obtenir les documents du RKI par décision de justice. L’affaire du #RIKFiles a été rapportée dans France-Soir dès 29 mars 2024. Un véritable séisme de magnitude importante en Allemagne qui ne trouve pas pour le moment écho dans les médias français. Ces derniers étant toujours asservis aux subventions importantes du gouvernement français qu’ils ont contribué à élire. En Allemagne, les médias et députés ont d’ores et déjà retourné leur veste ou changé de bord à ce sujet. Le Berliner Zeitung titrait qu’il fallait donner à Multipolar-Magazin, la Croix fédérale du Mérite (la plus haute décoration) pour avoir œuvré sans relâche à accéder au dossier. Michael Andricks journaliste et membre de l’équipe éditoriale au Berliner Zeintung a écrit une lettre ouverte au président fédéral Steinmeier que nous reproduisons ci-dessous.

Cher Monsieur le Président fédéral Steinmeier,

Ils existent toujours : des journalistes intrépides qui font tout ce qui est en leur pouvoir pour découvrir la vérité sur les actions du gouvernement. Le petit magazine Multipolar a forcé la publication des protocoles du RKI par une action en justice et a ainsi déclenché une réflexion collective sur la crise du Covid. Je propose de décerner la Croix fédérale du mérite aux rédacteurs Paul Schreyer et Stefan Korinth.

Leur travail rend finalement intenable le grand récit de la pandémie « mortelle », dont la « défense » aurait justifié tous les moyens et permis de ne respecter « aucune ligne rouge » (Olaf Scholz). Certaines personnes ont noté dès 2020 qu’une grande partie de la pandémie semblait étonnamment planifiée.

Dans le best-seller « Chronique d'une crise annoncée », Paul Schreyer a raconté l'histoire d'exercices de préparation à la gestion de crise comme « Event 201 » en 2020, au cours desquels un comité international a répété sur comment réagir à la propagation d'un nouveau type de coronavirus fin 2019. Une réflexion a été menée sur la manière d’obtenir l’obéissance et de lutter contre la « désinformation », c’est-à-dire les informations susceptibles de compromettre l’obéissance. Schreyer décrit également en détail comment la question du virus a été portée au premier plan dans la presse, même si elle n'était pas objectivement justifiable à l'époque, mais était néanmoins mondiale et coordonnée.

En mars 2020, le RKI a modifié son évaluation des risques liés au coronavirus de modéré à « élevé », ouvrant ainsi la voie politique à faire subir à la population un martyre de trois ans de « mesures corona » destructrices. Comme nous le savons désormais, cette décision était ainsi objectivement infondée, mais politiquement coordonnée et contraire à l’évaluation professionnelle des experts du RKI : le facteur décisif a été le « signal » d’un inconnu « au cours du week-end » pour « intensifier » l’affaire.

Le nom en question est masqué, comme de nombreux passages des protocoles âprement réclamés par Multipolar. Selon le cabinet d'avocats RAUE du RKI, aucun document ne prouve qu’il y ait eu une évaluation scientifique « au cours du week-end ». La plongée du pays dans un régime de « mesures » toujours nouvelles qui violaient les droits fondamentaux et ruinaient de nombreuses personnes sur le plan économique ou sanitaire était arbitraire et sans aucune raison objective.

La Cour constitutionnelle fédérale, dirigée par un ancien député de la CDU, a ensuite approuvé le régime Corona : le RKI avait déterminé un risque « élevé » lié au Sars-CoV-2. Avec cette référence, les tribunaux à tous les niveaux se sont abstenus de clarifier eux-mêmes les faits et ont suivi la voie du gouvernement. Arbitraire et infondé, comme chacun le sait désormais… et avec toujours des conséquences catastrophiques pour les citoyens qui réclamaient leurs droits.

L'attribution de la Croix fédérale du mérite à Schreyer et Korinth peut être le début d'une re-légitimation de la République fédérale aux yeux de millions de citoyens qui ont été arbitrairement et sans fondement lésés par l'État pendant des années, insultés par des hommes politiques et des journalistes et exclus par de nombreux partisans désinformés de l’État.

J'espère votre soutien pour ce geste de réparation. Cordialement, Dr. Michael Andrick.

Et en France, un frémissement

En France, c’est par le CNRS que pourrait venir le virement de bord. Ce dernier publiait hier un article sur le bilan d’une surveillance massive et des mesures draconiennes liées au confinement, donnant ainsi raison au sociologue chercheur Laurent Mucchielli. Longtemps montrés du doigt par ses collègues et mis en cause par l’institution, cet article lui donne enfin raison.

"La France fait partie des pays qui ont adopté en mars 2020 les règles de confinement les plus strictes pour lutter contre la pandémie de Covid-19. Historien et sociologue, Nicolas Mariot s'est interrogé sur cette expérience d’obéissance de masse."


Dans l’article du CNRS, l'historien et sociologue Nicolas Mariot déclare : « J’ai été très étonné de voir qu’aucun grand média, mais également qu’aucune équipe de recherche, en France et même, sauf erreur, en Europe, ne se soit intéressé à dresser un bilan de cette période du point de vue non pas sanitaire, mais réglementaire. Il y a pourtant beaucoup de leçons à tirer de cette expérience, car nous ne sommes pas à l’abri d’une nouvelle pandémie » avant d’ajouter « Enfin, en tant qu’historien spécialiste de la guerre de 14-18, j’ai déjà étudié une telle expérience d’obéissance à grande échelle. Et j’ai été surpris qu’une nouvelle forme d’union sacrée justifiant la suspension des libertés et gouvernement sans contrôle ait pu se répéter presqu’un siècle après à l’identique. »

Visiblement, Nicolas Mariot n’est pas lecteur de France-Soir où nous questionnions, par une analyse de comparaisons entre pays, les aberrations du confinement dans un article publié en juin 2020 : « Le confinement, tout ce que l’on ne vous a pas dit : aberration humaine, sanitaire, économique ». Cependant, il aurait pu dialoguer avec son collègue Laurent Mucchielli et lui apporter son soutien. Il a été interviewé à plusieurs reprises par France-Soir.


L’article du CNRS a été Immédiatement salué par le Professeur Philippe Parola :

"À lire !
Laurent Mucchielli du CNRS a été harcelé très tôt après ses premières analyses… comme moi, et ça continue … Pourtant, les études à travers le monde ont montré que le confinement ça ne sert à rien…"

Auteur : Napi  
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Date :    21-04-2024 13:56:55


nypost.com/2024/04/19/us-news/fbi-got-tip-that-fauci-funded-virus-research-at-wuhan-lab-would-leave-no-trace-of-human-manipulation/
19/04/2024

Le FBI a trouvé « alarmant » que la recherche sur les virus financée par Fauci au laboratoire de Wuhan ne laisse aucune trace de « manipulation humaine »



Le FBI a été informé en avril 2020 d’une recherche sur le virus en Chine, financée par l’agence anciennement dirigée par le Dr Anthony Fauci, qui « ne laisserait aucune signature de manipulation humaine délibérée », selon des courriels d’agents du bureau.

Au moins un agent du FBI du bureau de Newark a qualifié la révélation d'« alarmante ».

Un autre agent a qualifié l’information d'« intéressante » et a promis de faire un suivi avec d’autres agents du FBI.

Les cinq pages de courriels ont été obtenues par le groupe de surveillance conservateur Judicial Watch via une demande de la loi sur la liberté de l’information et publiées vendredi.

« Ces documents fumants ont montré que le FBI a rapidement compris que l’agence de Fauci finançait la recherche sur le gain de fonction qui pourrait déguiser le coronavirus résultant en 'naturel' », a déclaré le président de Judicial Watch, Tom Fitton, dans un communiqué.

« Ces nouveaux documents démontrent une fois de plus la nécessité d’une enquête criminelle approfondie sur le scandale de gain de fonction de Fauci », a-t-il ajouté.

Dans un échange d’e-mails du 23 avril 2020, dont l’objet est « Appel de suivi », une personne dont le nom est expurgé transmet des détails et des analyses à plusieurs responsables du bureau du FBI de Newark liés à l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses Subvention de 661 000 $ à EcoHealth Alliance pour la recherche sur le coronavirus des chauves-souris à l’Institut de virologie de Wuhan.

« La raison pour laquelle j’écris est que la stratégie expérimentale proposée dans l’objectif 3 ('technologie des clones infectieux'), si elle était réalisée en utilisant la synthèse de gènes commerciale ou interne pour préparer les clones infectieux, ne laisserait aucune signature de manipulation humaine délibérée », a informé l’individu anonyme au FBI.

La personne qui a envoyé l’e-mail – qui semble avoir déjà été interrogée par des agents du bureau de Newark – a examiné les détails du projet liés à la subvention d’EcoHealth Alliance du NIAD (détails qui sont accessibles au public) et a traduit le jargon en « langage profane » pour que les agents du FBI puissent mieux comprendre, semble-t-il.

« Hé, allez-vous être au bureau demain ? » a écrit un agent alors qu’ils transmettaient la missive à une autre personne du bureau. « Nous venons d’interviewer notre personne de [censuré] et il nous a fourni de nouvelles informations alarmantes. Appelez-moi si vous le pouvez.

« C’est intéressant, je fais un suivi avec l’équipe demain matin », écrit ensuite un agent spécial adjoint anonyme en charge de la sécurité nationale à l’agent spécial en charge du bureau de Newark, Gregory Ehrie.

Ehrie répond : « [Caviardé] Détails quand vous le pouvez. »

Des courriels précédemment obtenus par Judicial Watch indiquent que le FBI a ouvert une « enquête » sur la subvention des National Institutes of Health pour le coronavirus liée à l’Institut de virologie de Wuhan vers mai 2020.

Le FBI a déterminé l’année dernière qu’une fuite accidentelle de laboratoire était l’explication la plus probable de la pandémie de COVID-19.

« Le FBI a évalué depuis un certain temps maintenant que les origines de la pandémie sont très probablement un incident de laboratoire potentiel à Wuhan », a déclaré le directeur du FBI, Christopher Wray, en mars 2023.

Le Post a contacté EcoHealth Alliance pour obtenir des commentaires.

Auteur : Bigben  
133/157

Date :    21-04-2024 17:00:07


Perso, je m'étonne que des "apprentis sorciers" puissent se livrer à ces recherches de "gain de fonction" des virus pathogènes ( = accroître leur virulence) ...
P.-S. : sauf que l'on sait que, sur une cinquantaine de labos bactériologiques P4 (prétendument ultra-sécurisés... comme celui de Wuhan) existant et opérationnels dans le monde (sur tous les continents, excepté l'Amérique latine) ,
--> 11 sont sous gouvernance... militaire étatique (et 2 d'ordre privé) !

N.B. : et avoir nommé " Mr Covid" , aux USA (pour contrecarrer la pandémie) le... Dr Anthony Fauci (directeur de l'Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID) et membre de la cellule de crise de l'administration Trump sur le coronavirus, dénommée "White House Coronavirus Task Force" ) ,
--> n'est-ce pas risquer de faire "entrer le loup dans la bergerie" ?!? ...
/ /
Auteur : Bigben  
134/157

Date :    21-04-2024 18:38:17


(suite) ... et la "tragi-comédie" se poursuit, comme si de rien n'était :
www.planet.fr/societe-retour-du-covid-19-quel-est-ce-nouveau-variant-xdk-qui-circule-en-france.2963095.29336.html
Auteur : Napi  
135/157

Date :    22-04-2024 13:56:14


www.covid-factuel.fr/2024/04/21/covid-faites-ce-que-je-dis-mais-pas-ce-que-je-fais/
21/04/2024

« Dicunt enim et non faciunt », que l’on retrouve dans l’Évangile de Saint Matthieu, est devenu proverbe français puis doctrine politique française, de gauche comme de droite : « faites ce que je dis, mais pas ce que je fais ». C’est malheureusement une règle politique bien française, qu’appliquent la plupart des élus, et Dieu sait qu’il y en a ( 567 222 ) ! La politique du covid n’a pas dérogé à la règle.

On se souvient de la ruée des hommes politiques à l’IHU de Marseille lorsqu’ils tombaient malades en 2020, pour ignorer ensuite ceux qui les avaient traités. Le summum aura été Sabrina Agresti-Roubache, secrétaire d’État, soignée en mars 2020, qui avait fait un témoignage très élogieux sur l’hydroxychloroquine et le professeur Raoult sur BFMTV le 23 mars 2020 : «Je ne suis pas médecin […] mais moi, en tout cas, j’ai vu mon état avant et mon état après. Ça n’a rien à voir ». On l’a vue en 2023 prendre la tête de la bataille pour faire passer « l’Article 4 » du projet de loi visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires, permettant de mettre à l’amende voire en prison ceux qui ne sont pas dans la ligne gouvernementale s’ils ne se taisent pas. Les français ne doivent pas savoir qu’il peut y avoir d’autres alternatives aux directives gouvernementales, directives dont s’excluent les élus.

Les députés et sénateurs se sont exemptés de l’obligation vaccinale de manière indirecte. En effet lors de l’examen du texte sur le pass vaccinal, un amendement (N°226) obligeant à le présenter pour entrer dans l’hémicycle a été rejeté par les députés le 5 janvier 2022, puis non présenté au Sénat. Sur France Inter, on a pu admirer la position très roublarde du Président du Sénat : « La loi est la même pour tous, députés, sénateurs et autres citoyens,.. Le pass sanitaire est exigé au Sénat pour toutes les activités pour lesquelles la loi le prévoit, il est donc exigé de tous, y compris des sénateurs, pour l’accès au restaurant, aux visites du Palais du Luxembourg ou aux colloques. Néanmoins, comme dans les entreprises, qui ne sont pas soumises par la loi à cette obligation, il n’est pas demandé de pass sanitaire à l’entrée du Sénat pour ses membres, ses agents ou les personnes auditionnées. Il en va de même pour l’accès à l’hémicycle ». Conclusion : c’est obligatoire, mais non vacciné, vous pouvez avoir accès à notre restaurant et partout, car on vous ne demandera pas votre pass, ce n’est pas obligatoire ! Par contre pour le Français qui voulait aller à son restaurant, pass obligatoire, sinon dehors. Faites ce que je vote, mais pas ce que je fais.

Le 5 février 2021 lorsqu’une de ses anciennes Ministres demande en début de soirée au Président Macron si elle peut lui transmettre par voie directe une lettre que nous avions concocté avec des confrères pour défendre les traitements précoces, la réponse sur son WhatsApp est immédiate, dans le quart d’heure : « Formidable. Je crois beaucoup à cela vraiment depuis longtemps mais « le système » y croit trop peu c’est fou. Je m’en saisis. Merci. Je vous embrasse ». Rien n’en sortira, il laissera les traitements précoces aux hospitaliers et aux élus, rien pour les français.

Agnès Buzyn, ex ministre démissionnaire en début de crise, la mairie de Paris étant plus importante que la santé des français, raconte sans scrupule, honnêtement (et bêtement) que sa mère a eu droit à l’hydroxychloroquine, passant alors du stade de mourante à ressuscitée, que ses patients à l’hôpital du Percy étaient tous sous hydroxychloroquine et qu’elle renouvelait les prescriptions. Ceci ne l’empêchait pas d’affirmer que pour les Français, ce traitement ne devait pas être prescrit. Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais.

Il en va de même pour notre bonimenteur professionnel, le bon docteur Olivier Véran. Son confrère grenoblois et neurologue comme lui (et un de mes anciens correspondants) touché par le virus se fait prescrire de l’hydroxychloroquine, mais avant de le prendre, il demande son avis à son collègue ministre, qui lui donne le feu vert « à titre compassionnel ». Les Français n’auront pas droit à la même compassion car le jour même (ou le lendemain, je n’étais pas là), il signait un décret interdisant la distribution de ce produit par les pharmacies pour les autres Français. Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais.

Quant à un certain traitement antibiotique qui a été pris au plus haut niveau à l’Elysée, au moins par une personne après s’être renseignée auprès d’une consoeur convoquée par l’Ordre des médecins, c’est devenu un secret de polichinelle.

Que dire aussi de cet ancien ministre, très au courant de l’efficacité de l’ivermectine, qui téléphone à un confrère ami pour en avoir au cas où. Ledit confrère lui ayant répondu qu’il n’avait pas pour habitude de prescrire sans avoir vu les patients, et qu’il le verrait volontiers en consultation, ne l’a jamais vu arriver. Il a dû trouver une autre bonne âme. Coïncidence, au même moment, j’étais sollicité pour écrire un projet d’article que cet ancien ministre aurait accepté de passer en « tribune libre » dans un grand quotidien. Mission accomplie, mais il n’y a eu aucune suite. Ces traitements sont réservés à certains et ne doivent pas être divulgués. Prenez du Doliprane, mais pas ce que moi-même je prends.

Tous ces honnêtes gens, soucieux de notre santé, ont-ils tous été vaccinés ? J’ai des doutes. Peu de gens l’avaient remarqué à l’époque, mais au tout début des vaccinations, monsieur Albert Bourla, PDG de Pfizer, avait voulu rendre une visite en Israël, pays pionnier qui avait démarré le premier et à grande échelle une grande campagne nationale de vaccination. C’était la moindre des choses d’aller les saluer. Il y a eu un hic : le déplacement prévu a dû être différé car il n’était pas à jour de sa vaccination, il ne pouvait donc rentrer sur le territoire israélien en vertu des lois de l’époque.

On aurait pu penser que le PDG de Pfizer aurait donné l’exemple en se faisant vacciner le premier pour montrer que son vaccin était sans danger, eh bien non, il n’était pas vacciné ! Avait-il quelques craintes ? Voulait-il voir préalablement ce que cela donnait sur les autres ? Il faut dire que par la suite il a donné de sa personne pour montrer que le vaccin était inefficace puisqu’il a attrapé le covid plus souvent que d’autres, et qu’il a même voulu montrer l’efficacité de son Paxlovid en faisant un rebond infectieux nécessitant une seconde dose de Paxlovid ! Maintenant était-il vraiment vacciné ? J’ai des doutes, mais lui seul le sait.

Quant à nos chefs d’État là encore j’ai des doutes, mais j’ai aussi une explication qui justifie cette dérogation. Vous savez qu’un président et un vice-président ne monteront jamais dans le même avion, de même qu’en France vous ne verrez jamais le président de la République et le président du Sénat faire de même. Les services de sécurité veillent, pour qu’en cas d’accident, l’État ne soit pas décapité. Il y a plein de mesures de ce type, et d’empêchements imposés aux chefs d’État par mesure de précaution. Il me paraît impossible de faire courir un risque vital en permettant à un président, quel qu’il soit, de prendre un traitement non encore éprouvé, dont personne ne connaît les risques. Pour moi, ce n’est pas une excuse mais une chose normale. Autrefois les rois avaient des goûteurs pour s’assurer qu’il n’y avait pas de poison dans les plats, aujourd’hui pour les traitements, les « goûteurs » sont les citoyens. Maintenant ai-je raison ou ai-je tort ? Secret défense.

Nous assistons à ces pratiques dans tous les domaines sans exception. Les passe-droits et les problèmes financiers sont monnaie courante chez nous. On l’a vu encore récemment, alors qu’il nous faut trouver 10 milliards (pour combler 160 milliards de dettes !) qui seront pris entre autres sur les remboursements de médicaments et les prestations chômage, la note sera pour les français. En revanche, députés et sénateurs, eux, viennent de se voter une augmentation significative, et à l’Elysée, on ne réduit pas le train de vie, on fait bombance avec une commande de 11 000 bouteilles de champagne (et l’on n’a pas la note des autres boissons et spiritueux !). Serrez votre ceinture, moi je desserre la mienne.

Il semble que ce comportement, assez méprisant à l’égard des citoyens, plus courant dans les royaumes et dictatures, soit une spécialité française dans les démocraties occidentales. Il est vrai que certains pensent encore que nous devons assumer une descendance de Louis XIV, avec des présidents vivant dans un palais de 365 pièces, avec une garde républicaine forte de 480 chevaux et 40 musiciens, uniquement pour l’apparat, et en cuisine une brigade de 30 personnes dirigée par un MOF. Et quand ils convoquent le parlement, c’est sous les ors de Versailles. Nous sommes bien loin d’Angela Merkel avec son 4 pièces et de sa soupe de pommes de terre, ou du général, qui payait de sa poche quand il invitait.

En Suède on ne badine pas non plus avec l’argent public. Il y a 10 ans, une ministre avait pris quelques libertés avec sa carte bleue, en achetant entre autres 2 barres de Toblerone, qui ont conduit à sa démission. Quant aux USA, si on peut trouver leur système parfois délirant, c’est au moins avec leur propre argent, pas celui des contribuables. Chez nous, c’est plus simple, « ça ne coûte rien, c’est l’État qui paye », et tout cela dirigé par des personnes qui confondent servir l’État et se servir de l’État.


Docteur Gérard Maudrux
Auteur : EBONYMAY  
136/157

Date :    22-04-2024 18:32:05


C'est curieux quand même tous les détracteurs (pour faire simple) du vaccin à ARN messager contre le covid que tu cites sont d'extrême droite
Comment ça se fait ?

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