Auteur : Bigben  

post 218 = nouvelle échappatoire devant les arguments ironiques de son "adversaire" ...
--> si je comprends bien, on doit remercier dame Rosalie de donner le tempo du forum et d'en orchestrer les discussions...

en guise de modeste participation au nouveau "débat" , ben, je répondrai un peu comme pour le télétravail :
--> = à chacun(e) son appréciation personnelle, m'dames !
--> pit'être ben que voui, pit'être ben que non !
--> c'est, un peu, comme les "coups et les douleurs" ...
N.B. : c'est indéniable que le "couple à résidence" risque de s'éteindre dans la routine du quotidien (malgré les meilleures intentions de part et d'autre) ...
--> mais "vivre chacun(e) chez soi" réclame des moyens financiers (que tous n'ont pas) , et l'existence (ou pas) d'enfants (surtout en bas âge) est un paramètre dont il faut tenir compte.
--> du coup, la solution "idéale" ne résiderait-elle pas dans un "panachage" des deux modes de vie -- à savoir dans le choix commun et partagé de s'offrir, chacun(e) , des temps (variables) de "solitude" pour faire "respirer" le couple qui aura(it) alors, au terme (convenu à l'avance) de ces périodes, tout plaisir à se retrouver ?
P.-S. : encore que l'usage de l'expression "faire un break" révèle souvent que le couple (qui est, en fait, une troisième personne entre les deux conjoints) commence à "battre de l'aile" ...

Il me semble qu'il suffit de communiquer calmement, avec amabilité, en usant d'ironie pour exprimer un souhait, une volonté, tout comme on le fait dans ce forum.

Les couples "non-cohabitants " ( living apart together ) le sont pour plusieurs raisons :

• les jeunes (entre 20 et 30 ) le sont souvent provisoirement, le temps de consolider leur couple et pour des raisons économiques (c'est aussi une "période d'essai" )
• les personnes séparées qui entament une nouvelle relation, se trouvent souvent dans la même situation que les couples en première longue relation.
• les personnes séparées avec enfants, peuvent adopter cette solution jusqu'à ce que l'équilibre de la famille se stabilise et que le bien-être de chacun n'en souffre pas.
• le milieu social influe : les diplômés sont plus ouverts à des formes de couple alternatives et les plus modestes ne peuvent se permettre de gérer financièrement deux domiciles.
• Chez les seniors, les femmes sont majoritairement pour une relation non cohabitante.

[url]https//www.cairn.info/revue-population-et-societes-2019-5-
page-1.htm[/url]

www.cairn.info/revue-population-et-societes-2019-5-page-1.htm

Auteur : EBONYMAY  

Ci-dessus : hum hum
"les jeunes entre 20 et 30 ans... " peut on considérer que ce sont des couples ?
"les personnes séparées avec enfants... n'en souffre pas" j'ai de gros doutes. Un choix ?

"... des formes de couples alternatives" mais encore ? Je ne trouve pas que ne pas cohabiter s'apparente à une forme de couple alternative : en vérité, c'est d'un banal. Pour moi "alternatif" a une autre connotation (plus originale, nouvelle, singulière, différente, quoi !)

"Le milieu social influe" on peut même aller jusqu'à dire qu'ils n'ont pas le choix : deux domiciles c'est impossible.

D'accord pour LES FEMMES séniors.

Globalement j'aurais tendance à penser qu'il s'agit plus de contraintes que de choix. Et si choix il y a, cela ne nous éclaire pas vraiment sur les motivations des uns et des autres.

Oui Fabienne. Ce serait intéressant d'avoir des avis mais peu de participation à la discussion, dommage 😊

Auteur : Bigben  

Ah bon,... il me semblait pourtant avoir contribué au "débat"
--> par un avis "étoffé" sur la question (cf. post 220) ! ...
P.-S. : à quoi ça sert, alow, que Ducros y se décarcasse
--> pour faire avancer le schmilblick ?!? ...

Auteur : SandyWhy  

Bonjour tout le monde

je contribue également mais avant tout chose je dois avouer que je n'ai pas lu le post de BigPat.
Mon avis concernant un couple non cohabitant: l'un des deux est heureux d'avoir une forme de liberté et d'autonomie, et l'autre est frustré par un manque de partage et ce qu'il peut ressentir comme un rejet. Le choix de cette organisation a peu de chance d'être véritablement partagé de mon point de vue mais j'espère me tromper pour le bonheur de tous les couples concernés. Je vois plutôt ça comme un espèce de chantage affectif, l'un veut garder logement et quotidien indépendant, et si l'autre refuse, la relation meurt. Bien que malheureux, pour ne pas perdre la personne aimée, le deuxième se soumet et souffre au fond.
Pour moi, un couple partage la vie. Je suis vieille France? Oui, très certainement! Je crois au voeux du mariage aussi, même si beaucoup les trouvent démodés ou les bafouent et les trahissent.
pauvre de moi, n'aurais je rien compris à la société moderne??
Peu importe! Le meilleur et le pire, et surtout le pire, c'est bien à deux qu'on arrive le mieux à faire face.

Bonne journée à toutes et tous!