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Date : 26-10-2025 19:00:24
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26/10/2025
«Avec les vaccins Covid, on fait de la manipulation génétique sans savoir où elle mène»
Professeur Didier Raoult
"Quelques éléments clés ressortiront à un moment ou à un autre de notre évolution, des éléments pour lesquels je trouve que nos sociétés sont assez malades. Le premier, c'est de continuer à penser que le but de l'industrie pharmaceutique est de soigner les gens. C’est faux. Les gens qui dirigent ces entreprises sont là pour gagner de l'argent. Ils ont des primes s'ils en gagnent plus. Ils le font à n'importe quel prix.
Pfizer, qui a quand même été condamné 107 fois à verser des amendes pour quelques milliards, est le pire des multirécidivistes. Globalement, à peu près tous sont coupables à un moment ou l’autre d’avoir corrompu les médecins, fait prescrire dans des conditions inadéquates, prescrit des matières dangereuses qui ont causé des morts. La crise des opioïdes, plus le Vioxx, plus l'anti-inflammatoire de Pfizer, ça fait plus de morts que tous les morts de l'armée américaine depuis la Deuxième Guerre mondiale. Il s’agit d’un crime contre l’humanité. C’est très sérieux.
Les puissances en jeu sont tellement colossales que je ne sais pas comment on peut lutter."
"Le capitalisme est un moteur quand il y a de l'innovation. Mais il a toujours besoin d'être borné par un contre-pouvoir, ce qui n'est plus le cas. Le pouvoir de l'argent, à ce niveau-là, n'a plus de contre-pouvoir. On le voit bien puisque vous pouvez tuer des centaines de milliers de personnes et ne pas aller en prison. On est arrivé à un niveau de protection des crimes en col blanc ahurissant. Il y a là une anomalie profonde.
Je serais très content que Bourla (Albert Bourla, patron de Pfizer, ndlr) aille en prison et pas que lui. Les pires de tous, c'est Johnson & Johnson, pour les mêmes raisons: les opioïdes. Pfizer est impliqué aussi, sans parler de Purdue. Ces gens-là devraient finir en prison, c'est ce que je souhaite de tout mon cœur en tant que témoin. En France, personne n’a été condamné."
"Je ne parle que de choses que je connais ou que j'ai lues. Je sais bien ce qu'il s'est passé sur le Covid, avec une complicité politique. Quand vous dites aux labos qu’ils peuvent faire des vaccins sans avoir besoin de se soucier des effets secondaires, parce que c’est l'État qui garantit leur sécurité, vous ouvrez une brèche.
Quand vous dites que l'on vaccine les femmes enceintes, par exemple – il n'y en a pas qui ont été vaccinées d’une part – et d'autre part, si vous voulez faire un vaccin en trois mois, vous ne pouvez pas garantir que les femmes enceintes vaccinées à trois mois n'auront pas de conséquences. Ça défie la nature. Comment on arrive à faire gober un truc pareil, cela dépasse l'entendement. C'est très étrange."
"Je vais vous donner un exemple du fonctionnement de l'industrie pharmaceutique. Ce qui a rapporté le plus ces dernières années – et le plus d'argent de tous les temps en une année d'ailleurs – c'est le vaccin de Pfizer. Jamais, rien n'avait rapporté autant d'argent. Et si vous regardez ce qui rapporte de l'argent, ce sont les vaccins, les nouveaux anticancéreux à des prix fous, et puis les médicaments SIDA-hépatites. Savez-vous comment ils sont commercialisés ?
On sait que les gens ont une hépatite chronique ou le SIDA parce qu'ils ont des virus dans le sang. Donc, si vous voulez savoir si votre médicament marche, il faut mesurer la charge virale et quand il n'y a plus de virus, il n'y a plus de virus. Éventuellement, vous pouvez attendre quelque temps pour voir si ça rechute, mais il n'y a plus de virus.
Donc, à quoi ça rime de faire des essais en double aveugle ? À quoi ça sert ? C'est une dérive de l'industrie pharmaceutique. Non seulement ça ne sert à rien, mais c'est une escroquerie qui permet de nourrir toute la population des prescripteurs."
"Ça avance petit à petit. Maintenant, la FDA a obligé Pfizer et Moderna à mettre sur les vaccins qu'il y avait des myocardites et des péricardites. Pfizer dit que c'est estimé à 1,2 pour 100’000, mais 2,7 pour 100’000 pour les hommes entre 18 et 24 ans. Les jeunes hommes sont les plus touchés. Ça, on ne peut plus le nier, même le laboratoire a fini par le reconnaître."
-Question : Il me semble qu'un des reproches qu'on vous fait souvent c'est d'avoir enjoint le personnel soignant à se faire vacciner. Environ 2000 soignants ont été suspendus, sans salaire, en France. Quel regard portez-vous là-dessus, avec le recul ?
"Vous ne pouvez pas dire aux gens de ne pas appliquer la loi. Et si c'était à refaire, je referais la même chose. Vous imaginez comment j'ai été emmerdé alors que je n'ai jamais dit un mot contre la loi, jamais ? Je n'ai rapporté que ce que je faisais, et vous voyez à quel point ils m'ont persécuté. Et deuxièmement, je ne me sentais pas capable de prendre la responsabilité de dire aux gens de ne pas le faire. Justement parce que, ce qu’il s’est passé, c’est que pendant deux ans ces gens n’ont pas eu un sou.
C’était aux syndicats de le faire. Mais il y a eu une absence totale de réaction politique et une absence quasi totale de réaction syndicale à cette folie. Ce n'est pas à moi de dire aux gens de désobéir à la loi et de se retrouver sans rien pendant deux ans."
-Question : Est-ce que la perte de confiance dans les autorités n'est pas la plus grave conséquence de ce chapitre Covid ?
"C'est une des conséquences, mais ça avait commencé avant. Je n’ai jamais eu confiance, peut-être parce que je les connais. Ce sont des gens qui, même moralement, sont un peu dégoûtants. Ils se trahissent. Ils n'ont pas de morale. Ce sont des sales types, des gens qui ne sont pas très dignes, qui jouent à très court terme, jusqu’à la prochaine élection. À cause de cela, on ne peut pas avoir de vision à longue échéance et la situation s'écroule de plus en plus."
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