|
108/246
Date : 21-09-2025 15:21:17
essentiel.news/ces-jeunes-detruits-par-les-vaccins-covid/
20/09/2025
Ces jeunes détruits par les vaccins Covid
Ce reportage allemand (sous-titré en français), réalisé par Patricia Marchart et Georg Sabransky, est consacré aux enfants et aux jeunes ayant subi de graves effets secondaires liés à l’injection contre le Covid19, tant sur le plan sanitaire, physique et psychologique que social, et met en lumière leur difficile réalité. Il donne aussi la parole à des spécialistes reconnus en pédiatrie et en infectiologie.
Ces témoignages poignants révèlent des situations de souffrance profonde, souvent ignorées ou minimisées, et rappellent que ces effets indésirables ne concernent pas qu’une minorité, et touchent des populations dans divers pays.
Ces jeunes victimes vivent avec des séquelles durables, plus ou moins invalidantes, voire mortelles, qui bouleversent leur quotidien, leur santé mentale et leur avenir. Ces effets indésirables post-injection, bien que peu médiatisés, méritent une attention particulière pour soutenir les personnes en souffrance.
Il ne faut pas oublier toute cette douleur, ces vies brisées, et la détresse de ces victimes, qu’elles soient enfants, adolescents ou adultes.
Ce film réunit notamment Ella, Felicitas, Selin, Aylin, Julia, Sofie, ainsi que le professeur Pietro Vernazza, le professeur Reinhold Kerbl, le docteur Margarete Daiber-Helmbold et d’autres intervenants, et a pour objectif d’inciter à la réflexion et au débat. Il mérite également d’être soutenu, puisqu’il a été réalisé sans subventions ni fonds publics.
youtu.be/tdnaQllvz50?si=mmjA6CSCKMh_VsvI
1ère partie 1h19
youtu.be/-3fnDNM8DDk?si=fppN_GSCCjmHVZmE
2ème partie 1h28
Pour activer les sous-titres en français sur Youtube: cliquer sur paramètres (roue en bas à droite), sous-titres, traduire automatiquement, français.
www.francesoir.fr/politique-monde-societe-sante/etats-unis-l-acip-met-fin-la-recommandation-universelle-du-vaccin
21/09/2025
Etats-Unis - L’ACIP met fin à la recommandation universelle du vaccin COVID-19 : une décision aux répercussions mondiales
Contexte et décision de l’ACIP
Le vendredi 19 septembre 2025, l’Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP), le comité consultatif américain sur les immunisations, a pris une décision historique en votant à l’unanimité (12-0) pour mettre fin à la recommandation universelle du vaccin contre le COVID-19 pour tous les adultes aux États-Unis. Selon le communiqué officiel du Département de la Santé et des Services sociaux américains (HHS), cette recommandation s’applique désormais à toutes les personnes âgées de six mois et plus, en privilégiant une « prise de décision individuelle » ou « décision clinique partagée » avec un professionnel de santé, tel qu’un médecin, un infirmier ou un pharmacien. Cette approche remplace l’ancienne politique de vaccination annuelle systématique, comparable à celle du vaccin antigrippal. Le communiqué met l’accent sur le fait que le rapport bénéfice-risque est le plus favorable pour les personnes à risque accru de formes graves de COVID-19 (selon la liste des facteurs de risque du CDC), et le moins favorable pour celles qui ne le sont pas.
Cette décision, rapportée par la BBC (« Le comité américain de vaccination ne recommande plus le vaccin Covid-19 aux adultes »), marque un tournant majeur dans la politique vaccinale américaine. Elle s’inscrit dans un contexte de bouleversements au sein des institutions de santé américaines, notamment sous l’influence du secrétaire à la Santé, Robert F. Kennedy Jr., connu pour sa volonté de faire la transparence sur les données scientifiques dans l’intérêt des patients. Ce que les médias mainstream considèrent comme des positions sceptiques envers les vaccins sans déclarer leurs liens d’interets économiques avec l’industrie pharmaceutique qui finance des campagnes de publicité.
En juin 2025, dans une réforme audacieuse, Kennedy a remplacé l’ensemble des 17 membres de l’ACIP par des membres alignés sur sa vision, suscitant une vive controverse, notamment sur les liens d’intérêts des membres débarqués. Lors des débats de vendredi, des figures comme le Dr Robert Malone, allié de Kennedy, ont remis en question l’efficacité du vaccin pour prévenir les infections graves, tandis que des experts comme le Dr Cody Meissner, ancien membre du panel des vaccins de la FDA, ont défendu l’existence de données solides sur sa protection.
Malgré ces divergences, le vote final a acté un changement radical, abandonnant même la recommandation pour les populations à haut risque, comme les personnes de plus de 65 ans.
Une décision attendue par les experts : enquêtes et biais révélés
Cette évolution n’a surpris personne parmi les observateurs experts, qui y voyaient l’aboutissement logique d’enquêtes en cours et d’un corpus scientifique croissant remettant en cause l’équilibre bénéfices-risques des vaccins COVID-19. Aux États-Unis, le sénateur Ron Johnson, président du Permanent Subcommittee on Investigations, mène depuis des mois une enquête approfondie sur la sécurité des vaccins, demandant des documents à Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson, mais sans obtenir les informations complètes promises, menaçant même de recourir à des subpoenas (assignations) contre le HHS, le CDC, les fabricants pour obtenir des données sur les origines du virus et les effets secondaires. Il mène depuis des mois une enquête sur la corruption de la science et des agences de santé américaines.
Parallèlement, la montée dramatique des signalements d’effets secondaires graves – comme la myocardite, la thrombose ou des troubles neurologiques – documentée dans des études internationales, a alimenté les doutes : une analyse multicentrique de dix sites dans huit pays a identifié un risque accru d’événements indésirables d’intérêt spécial (AESI) post-vaccination, soulignant que les bénéfices pourraient être moindres que les risques pour certaines populations. Les études initiales ayant permis l’autorisation d’urgence des vaccins regorgent de biais méthodologiques, comme le « healthy vaccinee bias » (biais du vacciné en bonne santé), où les personnes les plus vulnérables ou déjà malades sont sous-représentées parmi les vaccinés, surestimant artificiellement l’efficacité. De plus, la règle des 14 jours – considérant une personne comme « vaccinée » seulement 14 jours après l’injection – masque les effets indésirables immédiats survenus dans cette fenêtre critique, tandis que l’absence de suivi à long terme omet les risques chroniques. Les données critiques manquaient initialement, et les études postérieures, basées sur des milliards d’injections et vantant des millions de vies sauvées (comme l’estimation de l’OMS de plusieurs millions), ont été réanalysées par des chercheurs indépendants tels que Raphael Lataster.
Ce dernier démontre dans une série de metacritiques que ces modélisations sont excessives, biaisées par des hypothèses optimistes et ignorant les AESI rares mais graves, rendant les bénéfices souvent inférieurs aux risques pour les populations à faible risque.
Conséquences potentielles pour l’EMA et l’Europe
Cette décision américaine devrait avoir des répercussions significatives sur les politiques vaccinales en Europe, où l’Agence européenne des médicaments (EMA) joue un rôle central dans l’approbation et la recommandation des vaccins. L’EMA, qui s’appuie sur des données scientifiques et collabore avec les autorités nationales comme l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) en France, pourrait être confrontée à une pression croissante pour réévaluer sa position sur le vaccin COVID-19.
En France, cependant, des médias comme le Parisien et son journaliste covidiste Nicolas Berrod ont récemment signalé une recrudescence des cas de COVID-19, évoquant la possibilité d’avancer le calendrier de vaccination pour la saison à venir (automne 2025) sans rapporter les décisions de l’ACIP aux États-Unis.
|