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politique gouvernementale sur les vaccins
Auteur : Napi 
257/328

Date :    11-02-2024 18:18:29


www.globalresearch.ca/prime-minister-slovakia-links-covid-19-vaccines-cardiovascular-deaths/5849141
10/02/2024

Le Premier ministre slovaque établit un lien entre les vaccins contre la COVID-19 et les décès cardiovasculaires


L’une des caractéristiques notables du monde post-pandémique a été la manière effrontée dont les dirigeants politiques mondiaux ont continué à promouvoir les vaccins contre la COVID-19 comme étant sûrs. Une rare exception à cet égard est le Premier ministre slovaque Robert Fico, qui, dans un récent discours parlementaire, a admis que les décès dus à divers événements cardiovasculaires dans son pays avaient augmenté en raison des vaccinations. Décrivant les vaccins contre la COVID-19 comme « expérimentaux » et « inutiles », M. Fico a courageusement engagé son gouvernement à dire au peuple slovaque la vérité sur ce qui s’est réellement passé pendant la pandémie.

Le discours du Premier ministre slovaque est intervenu quelques semaines seulement après avoir annoncé que son parti politique ne soutiendrait pas le renforcement des pouvoirs de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans la gestion de la lutte contre les futures pandémies. Expliquant cette décision, Fico a déclaré que « de telles absurdités n’ont pu être inventées que par des sociétés pharmaceutiques cupides, qui ont commencé à percevoir la résistance de certains gouvernements contre la vaccination obligatoire ». À la suite de son annonce, l’OMS a admis que les plans de son accord mondial controversé sur la pandémie risquaient de s’effondrer. Facilitée par les amendements proposés au Règlement sanitaire international de 2005, la ratification de cet accord transformerait essentiellement l’OMS en une dictature mondiale de la santé.


Qui a organisé le cirque COVID-19 ?

Le discours parlementaire de Fico aborde un certain nombre de questions clés, telles que le nombre de vaccins périmés qu’il reste à la Slovaquie et le gaspillage d’argent pour ces vaccins. Il fait également ouvertement référence à la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et à des SMS secrets qu’elle aurait échangés avec le président-directeur général de Pfizer, Albert Bourla. Un accord de plusieurs milliards d’euros sur les vaccins a ensuite été conclu avec Pfizer, le plus important achat de ce type dans toute l’histoire de la Commission européenne. « Nous ne saurons tout simplement jamais la vérité sur le rôle joué par les sociétés pharmaceutiques », suggère Fico, « et qui a réellement organisé tout le cirque autour du COVID-19. »

Fico pense que le peuple slovaque a besoin de réponses à des questions importantes telles que pourquoi les gens ont été vaccinés avec divers vaccins expérimentaux et pourquoi toutes sortes de médicaments ont été utilisés sur eux. Un Bureau de plénipotentiaire du Gouvernement a donc été créé pour traiter de ces questions. Ce plénipotentiaire a été habilité à obtenir des informations auprès de diverses institutions slovaques.

M. Fico se dit « absolument convaincu » que cette enquête aboutira à des résultats et que son gouvernement sera finalement en mesure de dire aux citoyens slovaques ce qui s’est réellement passé pendant la pandémie. Dans le même temps, il allègue que les gouvernements précédents de son pays sont responsables de 21 000 décès excédentaires depuis 2020 et les accuse ouvertement de gagner « une énorme somme d’argent sur l’achat inutile de divers équipements médicaux et vaccins ».

L’enquête slovaque permettra-t-elle de découvrir au moins une partie de la vérité sur le cirque du COVID-19 ? Et si c’est le cas, réussira-t-il à le rendre public ? L’avenir nous le dira, mais les enquêtes menées dans d’autres pays ont jusqu’à présent laissé de nombreuses questions sans réponse. Le coût total de l’enquête en cours au Royaume-Uni devrait finalement s’élever à plus d’un demi-milliard de livres (630 millions de dollars), par exemple, mais il est déjà en train de se transformer en blanchiment. Dans sa tentative louable de découvrir ce qui s’est réellement passé pendant la pandémie, le Premier ministre Fico va probablement avoir un combat à mener.

Auteur : Bigben  
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Date :    12-02-2024 03:15:11


"Monsieur Vaccin, cela désignerait la personne qui décide de la politique vaccinale. Je n’ai décidé de rien, zéro. Le conseil d’orientation de la stratégie vaccinale n’avait qu’un rôle consultatif, comme doivent l’être les comités d’experts", se défend à présent ce... "monsieur Virus" ...
Ben moi, j'adôôôre voir, avant le naufrage,
--> les rats quitter le navire !
--> nous n'en sommes plus à la glorieuse époque de ces petits chefs et de leurs affirmations péremptoires nous ayant imposé tant de contraintes alarmistes et inutiles,
--> mais à l'heure présente de... leurs penaudes tentatives de justification pro domo improvisées, bredouillées et pitoyables, na !
Auteur : Napi 
259/328

Date :    14-02-2024 21:31:36


www.nexus.fr/actualite/entretien/melanie-maupas-charcot/
13/02/2024 4 min.

« Avant d’être injectée, j’étais en très bonne santé » (Mélanie Maupas, atteinte par la maladie de Charcot) – Vidéo

Le 3 février 2024, Nexus était présent lors des Rencontres citoyennes autour des effets indésirables du Covid long et des vaccins organisées par l’association Cher Atout Cœur. Plusieurs dizaines de collectifs, associations et intervenants étaient présents. Parmi eux, l’association AAVIC TEAM, représentée par sa vice-présidente, Mélanie Maupas, atteinte par la maladie de Charcot depuis sa seconde injection Pfizer en 2021. Nous avons pu nous entretenir avec elle et partager avec elle sa douloureuse expérience.

◆ Une femme d’exception

En 2021, la santé de Mélanie Maupas, 34 ans, a commencé à se détériorer après la seconde injection Pfizer. Il aura fallu peu de temps pour qu’une femme en très bonne santé ait besoin d’un fauteuil roulant pour se déplacer. C’est dans celui-ci que Mélanie nous a raconté son histoire et la dégradation progressive de ses capacités causée par la sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou maladie de Charcot. Malgré sa douloureuse expérience et le peu de temps que les médecins lui donnent, Mélanie garde la tête haute, le sourire, de l’humour et un cœur grand ouvert. Aujourd’hui, alors qu’elle a déjà à gérer ses protocoles de santé et ses difficultés au quotidien, elle est vice-présidente de l’association AAVIC TEAM qui réunit des victimes des vaccins anti-Covid et des victimes de Covid long. Les objectifs de l’association ? Œuvrer pour que ces victimes soient reconnues en tant que telles, et réunir, informer, échanger et accompagner juridiquement les malades

👉Pour visionner notre entretien avec Mélanie Maupas :
www.nexus.fr/actualite/entretien/melanie-maupas-charcot/





lemediaen442.fr/temoignage-bouleversant-de-marie-charlotte-macha-sur-les-effets-secondaires-des-injections/
14/02/2024

Témoignage bouleversant de Marie-Charlotte « Macha » sur les effets secondaires des injections
L'émission Touche Pas à Mon Poste (TPMP) a mis en lumière un témoignage poignant, encore rare sur les écrans français. Marie-Charlotte, surnommée Macha, a dénoncé les effets secondaires dévastateurs des injections, pointant du doigt une réalité douloureuse et ignorée par beaucoup.

Marie-Charlotte, plus connue sous le nom de Macha, a courageusement pris la parole lors de l’émission TPMP pour révéler les conséquences dramatiques des injections qu’elle a subies. Ce témoignage, aussi rare que bouleversant, met en lumière une réalité trop souvent ignorée : les souffrances des personnes affectées par les effets secondaires des vaccins.

Son récit est alarmant : depuis son inoculation, elle lutte contre une maladie neurologique impliquant une dégradation de ses organes, de son système immunitaire, et affichant un caractère incurable. De plus, elle souligne une augmentation significative du nombre de cas similaires en France depuis le déploiement des injections, passant de 250 000 à 300 000.

Le témoignage de Macha révèle une réalité occultée par les médias mainstreams. Elle est désormais affligée d’une maladie incurable qui affecte gravement sa santé. Ce drame, conséquence de son inoculation forcée, met en lumière les dangers méconnus des injections. Son courage à dévoiler cette vérité brutale mérite d’être salué.

Les conséquences des injections sur la vie de Marie-Charlotte, évoquées lors de l’émission TPMP, sont terrifiantes. Son espérance de vie est réduite, ses organes sont endommagés, et elle est confrontée à de multiples pathologies menaçant sa vie. Son calvaire témoigne des risques associés aux injections, un sujet qui nécessite une attention urgente.

Auteur : Napi 
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Date :    15-02-2024 17:42:33


bam.news/science/sante/vaccins-arn-les-lecons-tirees-des-essais-cliniques-et-de-la-campagne-de-vaccination
14/02/2024

Vaccins ARN : les leçons tirées des essais cliniques et de la campagne de vaccination

Professeur Rentier


Ce 24 janvier, la plateforme de publication scientifique Cureus publiait un article fouillé sur la vaccination ARN.
Celui‑ci énumère tout ce qui a été anormal, dissimulé, frauduleux et méthodologiquement erroné dans la démarche de mise sur le marché et de généralisation “forcée” de la vaccination ARN.

L'article se présente comme une analyse critique et approfondie des essais de vaccination contre le COVID‑19, mettant en évidence à la fois les réalisations et les défis rencontrés lors du développement, de l'autorisation et de la distribution des vaccins à ARNm contre le COVID‑19. L'article est notable pour sa revue exhaustive de la littérature existante, y compris les études récentes qui mettent en lumière les lacunes et les omissions tant dans les premiers essais cliniques que dans les dissimulations ultérieures de résultats.

Les auteurs de cet article, parmi lesquels figurent Stephanie Seneff et Peter McCullough, sont connus pour leur position critique envers les campagnes de vaccination anti‑Covid. Ils ont souvent été au centre de controverses pour leurs opinions, ce qui rend leur travail sujet à débat dans la communauté scientifique. Cependant, la publication de leur revue dans un journal associé à la famille Nature ajoute un niveau de reconnaissance académique qui pourrait atténuer certaines critiques.

Reprenons les points importants.

1. Rapidité du processus d'autorisation
Le développement et l'autorisation des vaccins à ARNm contre le COVID‑19 ont été réalisés à une vitesse sans précédent. Alors qu'il faut normalement environ 10 ans pour développer un vaccin antiviral, les vaccins contre le COVID‑19 ont été autorisés en seulement 7 mois, battant le record historique de 4 ans établi par le vaccin contre les oreillons de Merck en 1967. Cette rapidité soulève des inquiétudes quant à l'évaluation complète de l'innocuité des vaccins sur le long terme, y compris les risques de maladies auto‑immunes et de cancer.

2. Absence de tests pour les rappels
L'impossibilité de réaliser des essais cliniques pour les doses de rappel compromet la compréhension de leur efficacité et de leur sécurité.

3. Conception des essais cliniques
Les objectifs des essais cliniques se sont principalement concentrés sur la réduction de l'infection symptomatique, plutôt que sur des critères plus significatifs tels que la réduction de la mortalité ou des cas graves. Cette lacune doit être mise en perspective avec des exemples historiques tels que les vaccins contre la polio en 1955 et la grippe en 1976 et 2009, pour lesquels les infections post‑vaccination et la transmission n'avaient pas été adéquatement contrôlées, soulignant l'importance de ces mesures dans l'évaluation de l'efficacité vaccinale..

4. Intérêts économiques
L'article examine comment les intérêts économiques ont pu influencer la prise de risque dans le développement et la distribution des vaccins. La cession de la responsabilité aux États acheteurs par les compagnies pharmaceutiques allège les conséquences financières pour ces dernières, tout en posant des questions sur la prise de décision en matière de santé publique.

5. Terminologie et sécurité
Le terme "vaccin" utilisé pour désigner les produits à ARNm soulève des problèmes de confusion, car ils ont été initialement conçus et testés pour des traitements de cancers en stade avancé, et non pour une population saine. Cette approche, relevant davantage de la thérapie génique que de la prophylaxie vaccinale traditionnelle, amène à questionner la pertinence de la terminologie et les implications potentielles en termes de sécurité et d'efficacité pour une utilisation de masse.

6. Contrôle de toxicité
L'article soulève l’absence complète de contrôle de l’immunogène produit par l’organisme “vacciné” et de la toxicité maintenant connue et documentée de cet immunogène (Spike) ainsi que de ses effets imprévisibles.

Omissions et dissimulations
Cette revue approfondie et largement citée offre une analyse critique des premiers essais cliniques sur les vaccins contre le COVID‑19, mettant en évidence des omissions et des dissimulations significatives.

Elle constitue une contribution importante à l’examen objectif de la vaccination anti‑Covid et devrait contribuer à percer les carapaces du monde scientifique et médical.

Toutefois, il faut noter que de nombreuses informations étaient parfaitement connues avant la crise sanitaire. Le fait que certains scientifiques souffrent d’amnésie ces dernières années soulève des questions sur leurs compétences ou leur probité.



Pr Bernard Rentier, virologue et recteur honoraire de l'Université de Liège

Marc‑Henri Wouters, journaliste pour BAM!

Auteur : Napi 
261/328

Date :    20-02-2024 13:11:32


youtu.be/JlTucfITvUg?si=j65jmmtOgA5wSovJ
20/02/2024 22 min.

Les vaccins - Partie 1

Professeur Didier Raoult




infodujour.fr/sciences/73342-covid-19-les-degats-des-rappels-vaccinaux
19/02/2024

Covid-19 : Les dégâts des rappels vaccinaux

Une nouvelle étude suggère que les rappels vaccinaux anti Covid-19 fréquents chez les personnes immunodéprimées pourraient causer plus de dommages que de bénéfices.


Selon une étude scientifique publiée le 27 janvier 2024 dans Clinical and Experimental Medicine, et reprise par la revue Epoch Health, les injections vaccinales anti-Covid-19 répétées peuvent augmenter le risque d’être infecté par le virus SRAS-CoV-2 et provoquer ou aggraver d’autres pathologies. En outre, la réception de doses multiples chez les vaccinés peut entraîner des taux beaucoup plus élevés d’anticorps IgG4 et altérer l’activation des globules blancs (cellules du système immunitaire) qui aident à protéger l’organisme contre les infections microbiennes et le cancer.

« Pas d’efficacité prouvée »
Les immunoglobulines (IgG), ou anticorps, sont des protéines fabriquées par des globules blancs spécialisés appelés lymphocytes B. Bien que les anticorps IgG aient généralement un effet protecteur (à l’exception des anticorps « facilitants »), la production des anticorps de type IgG4, augmentée au fur et à mesure des injections vaccinales de rappels « anti-Covid-19 », est impliquée dans la tolérance immunitaire. De plus en plus de preuves montrent que des niveaux anormalement élevés de IgG4 dus à des injections vaccinales répétées peuvent provoquer des maladies liées aux IgG4 impliquant une inflammation multi-organique, des maladies auto-immunes, des cancers à apparition rapide et une myocardite auto-immune. Ces pathologies sont en fait directement induites par une suractivation du système rénine-angiotensine (SRA) et de son récepteur délétère AT1R qui est pro-inflammatoire, pro-angiogénique, et qui pilote l’immunité innée.

Des preuves de l’altération des lymphocytes
« Bien que des doses de rappel aient été recommandées pour renforcer et étendre l’immunité, en particulier face aux variants émergents (du SRAS-CoV-2), cette recommandation n’est pas basée sur une efficacité prouvée et les effets secondaires ont été négligés », écrit l’auteur de l’article, le chercheur Alberto Boretti. En revanche, il a trouvé des preuves que plusieurs rappels de vaccin à ARNm altèrent l’activation des lymphocytes T CD4+ auxiliaires et CD8+ cytotoxiques. Ces cellules immunitaires constituent la majorité des lymphocytes T qui protègent l’organisme humain en détruisant les agents pathogènes nocifs et en l’aidant à répondre aux infections, aux allergènes et aux tumeurs. Les lymphocytes T CD4+ auxiliaires sont particulièrement essentiels, car ils activent d’autres cellules immunitaires, coordonnent la réponse immunitaire contre les infections microbiennes et aident les lymphocytes B à produire des anticorps.

Les inquiétudes précoces de Jean-Marc Sabatier
Dans une interview de Marc Moustacakis pour le média Allemand Oval Media, enregistrée le 19 mai 2023, Jean-Marc Sabatier évoque déjà l’immunodéficience induite par les rappels vaccinaux.
Dans un article (censuré) intitulé « Covid-19 : Les dangers de la troisième dose du vaccin ! » publié le 11 août 2021 dans infodujour.fr et que l’on peut relire sur le site contre-pouvoir, Jean-Marc Sabatier rappelle qu’il existe des anticorps ‘’facilitants’’ qui, contrairement aux anticorps ‘’neutralisants’’, vont favoriser l’infection des cellules par le virus. Ce sont ces anticorps qu’il faut éviter de produire lors d’une vaccination, dit-il. Il existe aussi des anticorps « neutres ». Il mentionne que les anticorps « facilitants » se retrouvent avec les injections vaccinales contre le SRAS-CoV-2, d’où les dangers des rappels « vaccinaux ». En effet, « Si le phénomène ADE voire ERD (de facilitation de l’infection) existe dans le cas de la vaccination actuelle, il est probable que ces rappels vaccinaux (3ᵉ et 4ᵉ doses) augmentent la proportion d’anticorps « facilitants », ce qui conduirait à un effet potentiellement opposé à celui recherché. Le remède serait alors pire que le mal.

Enfin, le 15 décembre 2021, dans un article intitulé « La troisième dose avant l’overdose », nous écrivions : « Le Dr Jean-Marc Sabatier, Directeur de recherches au CNRS et Docteur en Biologie Cellulaire et Microbiologie, émet des doutes sur la vaccination obligatoire. Il précise que les effets secondaires de la troisième dose (voire la 4ᵉ dose probablement programmée) ne s’arrêtent pas aux effets indésirables immédiats. Il est fortement à craindre que les effets secondaires rapportés à ce jour ne représentent que la partie émergée de l’iceberg, dit-il.
Jean-Marc Sabatier poursuit : « En effet, l’impact réel des rappels multiples (outre les phénomènes ADE/ERD de facilitation de l’infection) pourrait mettre des mois ou des années à apparaître (notamment maladies auto-immunes ou cancers)…
Les autorités doivent tenir compte de ces dangers dans les décisions prises. »
Enfin, l’auto-immunité systémique semble être la conséquence inévitable de la sur-stimulation du « système » immunitaire de l’hôte par une immunisation répétée avec l’antigène, à des niveaux qui dépassent la criticité auto-organisée du système. Voir l’étude infodujour.fr/sciences/73342-covid-19-les-degats-des-rappels-vaccinaux
Auteur : Napi 
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Date :    21-02-2024 13:10:07


youtu.be/p0I2jWOSuGg?si=7hw9CEOwuLnL_Ek5
19/02/2024 16 min.

Marie Charlotte raconte son enfer à cause des EFFETS SECONDAIRES du vaccin !

Effets secondaires du vaccin : la vie de Marie-Charlotte est devenue un enfer, elle témoigne dans TPMP ! Ancienne sportive, elle relate l'impact négatif sur sa santé suite à la vaccination
Auteur : EBONYMAY  
263/328

Date :    21-02-2024 16:29:34


Sur TPMP ?! difficile de croire quoi que ce soit !
Auteur : Napi 
264/328

Date :    21-02-2024 17:20:00




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