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CORONAVIRUS
Auteur : Napi  
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Date :    26-10-2023 19:05:02


youtu.be/n5am4KkPAAU?feature=shared
26/10/2023 30 min.

Pr Perronne: «Les chiffres français sur la mortalité s’apparentent encore à du secret défense! »


Le Professeur Christian Perronne, ancien chef de service des maladies infectieuses et tropicales à l'hôpital Raymond-Poincaré de Garches, était l’invité de Nicolas Vidal dans la matinale Tocsin. Il est revenu sur le scandale sanitaire qui prend de l’ampleur suite à la crise. Le Professeur Perronne a communiqué également de nouveaux éléments et s’est réjoui que ses analyses médicales d’avant crise sanitaire, qui lui ont beaucoup été reprochées, se révèlent vraies aujourd’hui. Il s’est également exprimé sur les plaintes en cours notamment contre Aurélien Rousseau le Ministre de la santé actuel.
Auteur : Napi  
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Date :    05-11-2023 14:50:23


www.youtube.com/live/v9OsobhhawI?feature=shared
04/11/2023 1h28

Un médecin résistant face à la tyrannie sanitaire : Parcours du Dr David Bouillon !


"J'ai eu le plaisir de pouvoir m'exprimer librement au sujet d'une mission médico-sociale qui a aidé, informé, protégé, soigné, et sauvé des milliers de de séniors confrontés à la Maltraitance par privation de soins."

Dr David Bouillon, Mons (Belgique)
Auteur : Napi  
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Date :    07-11-2023 13:57:14


www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2052297523001075
Octobre 2023

Résultats après un traitement précoce par l’hydroxychloroquine et l’azithromycine : analyse d’une base de données de 30 423 patients atteints de COVID-19
Philippe Brouqui, Matthieu Million, Philippe Parola, Peter A. Mccullough, Didier Raoult

Abstrait
Arrière-plan
De nombreuses études ont évalué l’utilisation de l’hydroxychloroquine dans le COVID-19. La plupart des études observationnelles rétrospectives démontrent un avantage de l’utilisation de l’HCQ sur la mortalité, mais pas la plupart des essais cliniques randomisés.

Méthode
Nous avons analysé les données brutes recueillies auprès d’une cohorte de 30 423 patients atteints de COVID-19 pris en charge à l’IHU Méditerranée Infection à Marseille, France et extraites de la plateforme de données ouvertes DRYAD. Nous avons effectué des régressions logistiques univariées et multivariées avec mortalité toutes causes confondues dans un délai de six semaines. Les régressions logistiques multivariées ont été ajustées en fonction du sexe, du groupe d’âge (50 <, 50 à 69 ans, 70 à 89 ans et > 89 ans), des périodes (ou variantes) et du type de prise en charge des patients.

Résultats
Parmi les 30 202 patients pour lesquels des informations sur le traitement étaient disponibles, 191/23 172 (0,82 %) patients traités par HCQ-AZ sont décédés, contre 344/7030 (4,89 %) qui n’ont pas reçu de traitement par HCQ-AZ. Le traitement par HCQ-AZ a été associé à une mortalité plus faible que le traitement sans HCQ-AZ (odds ratio (OR) 0,16 ; intervalle de confiance (IC) à 95 %, 0,14-0,19). Après ajustement pour tenir compte du sexe, de l’âge, de la période et de la prise en charge du patient, l’HCQ-AZ était associée à un taux de mortalité significativement plus faible (RC ajusté (RC (aOR) 0,55, IC à 95 % 0,45-0,68). Sur un sous-échantillon de 21 664 patients disposant d’informations sur les variants, les résultats sont restés robustes après ajustement sur le sexe, l’âge, la prise en charge du patient et le variant (aOR 0,55 ; IC à 95 % 0,44-0,69). Sur un sous-échantillon de 16 063 patients, l’HCQ-AZ était toujours associée à un taux de mortalité significativement plus faible (aOR 0,47, IC à 95 % 0,29-0,75) après ajustement pour le sexe, l’âge, les règles, la prise en charge du patient, le statut vaccinal et les comorbidités.

Conclusion
L’analyse de cette grande base de données en ligne a montré que l’HCQ-AZ était systématiquement associée à la mortalité la plus faible.
Auteur : Napi  
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Date :    12-11-2023 13:26:24


qg.media/blog/laurent-mucchielli/lihu-demontre-que-son-protocole-anti-covid-aurait-pu-sauver-de-tres-nombreuses-vies/
11/11/2023


« L’IHU démontre que son protocole anti-covid aurait pu sauver de très nombreuses vies »
Laurent Mucchielli

L’équipe de l’IHU de Marseille vient de publier le résultat de la plus grande étude monocentrique du monde sur 30.423 patients adultes infectés par le Covid-19 et soignés en 2020 et 2021. L’analyse clinique, cosignée par un célèbre médecin américain ayant appliqué un protocole thérapeutique comparable, dresse le constat suivant : la prescription conjointe d’Hydroxychloroquine et d’Azithromycine (deux médicaments tombés depuis longtemps dans le domaine public), à des doses bien précises, réduirait partout la mortalité liée au Covid-19 de façon importante. Dans la presse française, on fait toujours la sourde oreille

Avant-propos

Quatre professeurs de médecine d’Aix-Marseille Université, travaillant à l’Institut Hospitalo-Universitaire de Marseille (Philippe Brouqui, Matthieu Million, Philippe Parola et Didier Raoult), viennent de publier dans une revue scientifique anglo-saxonne bien connue (New Microbes and New Infections) un article qui présente le résultat de l’analyse statistique des 30 423 patients adultes infectés par le Sars-Cov-2 et soignés à l’IHU, en hospitalisation ou en ambulatoire, entre le 2 mars 2020 et le 31 décembre 2021. Ceci en fait la plus grande étude monocentrique du monde sur ce sujet. La publication est cosignée par Peter A. Mccullough, professeur de médecine à l’Université du Texas (USA), qui a appliqué durant la crise sanitaire un protocole thérapeutique comparable, et constaté le même résultat : la prescription conjointe d’hydroxychloroquine et d’Azithromycine (un antiviral et un antibiotique tombés depuis longtemps dans le domaine public et ne coûtant presque rien), à des doses bien précises, réduit partout la mortalité liée au COVID-19 de façon statistiquement très significative.

Des études consacrées à la gestion de l’épidémie de Covid-19 paraissent quasiment tous les jours pour qui suit de près la production scientifique. Et d’ordinaire, ces publications restent confidentielles. Mais, en France, tout ce qui concerne Didier Raoult et l’IHU de Marseille déclenche une tempête dans le petit monde médiatico-politique. Et cette dernière publication ne fait pas exception à la règle. En 48 heures, en ce début de deuxième semaine de novembre 2023, la publication d’une dépêche de l’AFP a été reprise des dizaines de fois dans les médias. Il suffit cependant de moins d’une heure de temps pour lire ces dizaines d’articles de presse (nationale et régionale) qui, sans exception : 1) paraphrasent la dépêche et se recopient les uns les autres, 2) citent exclusivement des sources gouvernementales (l’Agence Nationale de sécurité du médicament, les ministres Sylvie Retailleau et Aurélien Rousseau) ainsi que le même « expert » (Mathieu Molimard, président de la Société française de pharmacologie, pourfendeur acharné de Raoult et de l’IHU sur les réseaux sociaux), 3) ne disent pas un seul mot du contenu de l’article incriminé. En bref, ce sont exclusivement des articles à charge n’abordant jamais le sujet de l’étude en question, assurant la publicité du point de vue du gouvernement et ne donnant la parole qu’aux « experts » adoubés par ce même gouvernement, sans jamais questionner leurs liens d’intérêts avec les industries pharmaceutiques.

Un tel traitement médiatique bafoue les plus élémentaires principes de la déontologie journalistique. Le plus cocasse est qu’il évoque de façon centrale des « problèmes éthiques » que poserait l’étude de l’IHU de Marseille (sans jamais détailler lesquels). Or il y a bien en effet une question éthique majeure qui devrait traverser tout ce débat, mais c’est d’abord et avant tout celle que pose l’IHU et qui dérange tellement. Elle peut se formuler ainsi : et s’il s’avérait que l’on aurait pu soigner précocement la Covid-19 et éviter ainsi la majorité des très nombreux morts provoqués par la consigne officielle de ne rien faire (« Restez chez vous et prenez du Doliprane ») ?

La moindre des honnêtetés intellectuelles serait de lire l’article en question avant de prétendre avoir un quelconque point de vue. C’est pourquoi nous en avons traduit l’essentiel en Français, avec l’accord des auteurs. Pour les figures et les tableaux statistiques, les lecteurs se reporteront à l’article qui est intégralement et gratuitement en ligne.

Une dernière précision : contrairement à la plupart des « experts » médicaux que l’on peut entendre quasiment tous les jours dans les médias dominants, les médecins-chercheurs de l’IHU de Marseille n’ont aucun lien d’intérêt avec les industries pharmaceutiques. Et si ceci expliquait au moins en partie cela ?

Laurent Mucchielli
Auteur : Napi  
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Date :    12-11-2023 21:12:23


youtu.be/9ErAAAZeGpY?feature=shared
12/11/2023 20 min.

L'escroquerie de comptage démasquée

Pierre Chaillot

Précédemment nous avons montré comment l’utilisation massive des tests avait permis de faire croire à une pandémie et à des “vagues épidémiques” même lorsqu’il n’y a pas de malades. Nous avons vu que les résultats des tests Covid-19 n’ont aucun rapport avec aucune maladie. C’est simple, selon les propres résultats de ces tests, le SARS-COV-2 n’est pas un pathogène.
La deuxième face, et pas la moindre, de cette escroquerie est l’enregistrement par les médecins et les hôpitaux des “malades Covid-19”. Nous l’avons décortiqué dans le livre “Covid-19 : ce que révèlent les chiffres officiels” avec Jean-Luc Bozek. Il s’agit de comprendre comment ont été enregistrés tous ces malades. Dès le début de cette crise, j’ai été effaré par la vitesse avec laquelle les statistiques sont remontées pour alimenter tout un tas de tableaux de bord. Ces derniers ont joué un rôle crucial dans l’endoctrinement des décideurs et la panique propagée par les médias. Tout statisticien est confronté à la difficulté extrême qu’on rencontre lorsqu’on essaye de collecter de la donnée. Ici, tout s’est passé comme par enchantement. En fait, tout était prêt depuis longtemps.
Une statistique, c’est d’abord un comptage. On doit commencer par compter quelque chose pour en faire une statistique. Cela nécessite deux éléments : une définition et un protocole. On doit d’abord définir l’élément que l’on va compter. La définition doit être claire et sans ambiguïté. Ensuite on doit préparer un protocole de collecte, c’est-à-dire expliquer clairement comment on va compter cet élément. Avec quels moyens, où, quand et comment. C’est la personne qui décide de ces deux aspects qui décide déjà de la statistique finale. Une statistique n’a aucun pouvoir signifiant. Elle n’apporte rien à la connaissance à moins de savoir parfaitement la définition de ce que l’on a compté et les moyens mis en place. C’est dans ces deux aspects que se cache l’escroquerie de comptage Covid-19.
Auteur : Napi  
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Date :    15-11-2023 13:28:34


www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/pierre-chaillot-demonte-l-escroquerie-du-comptage-medical-dans-la-crise
14/11/2023 34 min.

L’OMS hypocondriaque ou paranoïaque  ? Questions à Pierre Chaillot sur fond d’escroquerie aux catégories révélées

Pierre Chaillot du site Décoder l’éco a publié un livre à succès : Covid-19, ce que révèlent les chiffres officiels. Il a aussi fait un tour de France en organisant des conférences afin d’aller au contact de ses lecteurs et expliquer les chiffres. Utilisant une approche grand public d’un système fort complexe, ses explications ont été vues et entendues par des milliers de personnes.

"La statistique crée la maladie d'une certaine manière, à partir du moment où on a décidé d'enregistrer les gens d'une certaine manière dans la case Covid-19, on a créé un phénomène qui s'est appelé la crise Covid-19."

Ses décryptages font de lui un statisticien influent. Il vient de mettre en ligne deux vidéos sur l’escroquerie de comptage démasquée et la codification ou classification des maladies préconisées à l’OMS (Organisation mondiale de la santé).

Dans ce debriefing, avec une certaine touche d’humour, il vient expliquer ces escroqueries tout en rappelant qu’en 2021, France-Soir avait publié une tribune Covid-19 (diagnostics, traitements, vaccins) : panorama d’une escroquerie. Pierre décrypte la classification des maladies à l'OMS qui a changé au fil du temps, passant d'un focus sur les patients à un focus sur les maladies, permettant ainsi une industrialisation de la médecine.

Pierre Chaillot évoque les autres "escroqueries " aux catégories comme, par exemple, remplacer le sexe par le genre dans certains questionnaires. Une déperdition d’information, puisque si l’on se déclare  "non genré" ou "non binaire" on oublie le sexe biologique pour des raisons sociologiques. Cela pose un réel problème pour réaliser des statistiques fiables.
Auteur : Napi  
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Date :    15-11-2023 20:53:45


www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/didier-raoult-ce-que-l-nous-fait-subir-est-immoral-et-doit-cesser
15/11/2023 37 min.

Didier Raoult  : “Ce que l’on nous a fait subir est immoral et doit cesser”

Nouvelle publication de l’étude démontrant l’efficacité des traitements précoces, qui fait trembler le pouvoir.

Le professeur Raoult et quatre autres chercheurs, les professeurs Brouqui, Million, Parola et Mc Cullough publient un nouvelle étude sur les 30 423 patients pris en charge et soignés à l’IHU-Méditerranée durant la crise Covid. Initialement publiée le 4 juin 2023, cette étude avait été rétractée suite aux pressions exercées par François Braun, ministre de la Santé à l’époque. Mais les ministres de la Santé se succèdent et Didier Raoult continue à faire de la science.

Dans ce débriefing, il revient sur cette publication. Les résultats de l’étude sont statistiquement en faveur des traitements précoces, ce qui paraît logique au regard du type de maladie qu’est le Covid. Non seulement, les résultats sont indéniablement en faveur de la bithérapie (rappelons que les cinq chercheurs associés à l'étude ont soigné avec ces traitements pendant la crise), mais les données ont été validées par huissier dans un souci de transparence et d’intégrité.

Parmi les 30 202 patients pour lesquels des informations sur le traitement étaient disponibles, 191 sur 23 172 (0,082 %) patients traités par hydroxychloroquine et aziththromycine (HCQ-AZ) sont décédés,contre 344/7030 (4,89 %) qui n’ont pas reçu de traitement par HCQ-AZ.

Le traitement par HCQ-AZ a généré une mortalité plus faible que le traitement sans HCQ-AZ.

Le rapport de chance relative, ou odds ratio en anglais (OR) est de 0,16. C’est un calcul statistique qui permet d'évaluer la dépendance entre des variables aléatoires qualitatives souvent utilisées pour mettre en évidence le degré ou la force d’une association entre des échantillons traités ou pas dans des études cliniques. Après redressement et ajustement pour tenir compte du sexe, de l’âge, de la période et de la prise en charge du patient, la bithérapie est toujours associée à un taux de mortalité significativement plus faible.

Laurent Mucchielli a proposé une analyse de cette étude et conclut : “L’IHU démontre que son protocole anti-Covid aurait pu sauver de très nombreuses vies”.

Citant Schopenhauer (“Toute vérité passe par trois étapes : elle est toujours ridiculisée puis violemment combattue avant d'être acceptée comme une évidence”), le professeur Raoult évoque son tweet sur l’aveu de l’ancien président du Conseil scientifique Jean-François Delfraissy qui reconnaît s’être trompé sur l’efficacité du vaccin. Il aurait d’ailleurs pu prendre connaissance du contrat Pfizer sud-africain qui indique noir sur blanc que le fabricant ne s’engage ni sur l’efficacité ni sur les effets secondaires.

De la même manière que Jean-François Delfraissy reconnaît ses erreurs, ne serait-il pas opportun que l’actuel ministre de la Santé, Aurélien Rousseau, reconnaisse aussi les siennes, par exemple quand il a osé déclarer qu’il n’y avait pas d’effets secondaires de la vaccination début octobre sur France Inter, et en réitérant ce message par un tweet.

Suite à cette étude, il est temps que les Français demandent une enquête publique. IL Y AVAIT MOYEN DE SOIGNER AUTREMENT !
Auteur : Napi  
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Date :    17-11-2023 19:02:55



"Un retour à la morale médicale est nécessaire
On est les gentils !
Nous avons publié l’analyse de notre banque de données sur la prise en charge des patients atteints de Covid 19 jusqu’en Décembre 2021.
Cette analyse rétrospective authentifiée par un huissier rapporte la mortalité identifiée par l’INSEE, des 30000 personnes traitées à l’IHU par différents traitements et à différents stades de leur maladie. Ceux qui ont reçu de l’hydroxychloroquine ont une meilleure espérance de vie que les autres qu’elle soit prescrite précocement ou tardivement. Il n’y a aucun accident cardiaque observé sous hydroxychloroquine. Notre approche thérapeutique était connue et analysée par la mission de 8 inspecteurs (ANSM, IGAS, IGNER) qui ont passé plusieurs mois pour rédiger un rapport à charge qui n’a jamais fait allusion à l’illégalité des soins pour le Covid, au contraire ce rapport plutôt malveillant ne pouvait que reconnaître la qualité des soins ! Pas plus de fautes que pour les soins donnés aux patients souffrants de tuberculose pour lesquels cette mission avait été déclenchée après un article de Mediapart.
Nous avons eu l’autorisationn du CHU de faire l’analyse rétrospective de notre expérience.
Nous avons eu la confirmation en 2023 du directeur général de la santé (le Pr Salomon) que la prescription d’hydroxychloroquine dans ce cadre était légale, le conseil de discipline du conseil de l’ordre des médecins a confirmé en décembre 2021 que je n’avais commis aucune faute en prescrivant de l’hydroxychloroquine dans ce cadre. Il n’y a rien d’illégal dans le traitement, ni dans cette étude rétrospective, mais il y a un démenti des prises de décisions de l’ANSM et du ministre de la santé. Il est temps de revenir à un peu de morale médicale, les résultats sont là ! Si c’est exact (j’avais demandé à l’ANSM et à l’IGAS d’évaluer ces résultats) cela doit amener à réviser clairement la position du gouvernement, à chercher la source de décisions non justifiées, et éventuellement à poursuivre ceux qui ont décidé d’éliminer des médicaments connus pour leur sécurité. La thèse de médecine du ministre précédent, le Dr Braun, montre que les doses que nous avons utilisées de 600mg par jour ne sont pas toxiques mais que celles de l’essai RECOVERY des anglais qui leur a servi de référence (2,4g) sont toxiques. Il est temps de faire mener une enquête indépendante pour clarifier le rôle de l’hydroxychloroquine dans le traitement du COVID et s’il est vrai que les décisions de l’ANSM ont pu être à l’origine d’une perte de chance de milliers de personnes. Le gouvernement menace et fait croire que cette étude est illégale pour cacher le fait qu’elle montre que nous avons sauvé des malades et que d’autres pouvaient l’être et qu’à ce titre ils pourraient être poursuivis et condamnés !
Je souhaite que ce pays revienne à une morale médicale de base et sans préjuger des conséquences de cette analyse se saisisse de cette question, et cesse de persécuter ceux qui ont fait le devoir que leur dictait leur métier.
Je souhaite que les erreurs du passé soient corrigées et reconnues comme a pu le reconnaître avec beaucoup de dignité le Pr Delfraissy sur les vaccins, rejoignant ainsi mon analyse que j’avais rapportée dès 2020.
C’est nous les gentils !
Je me suis exprimé sur ce sujet sur France Soir."

Professeur Didier Raoult, le 15/11/2023

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