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politique gouvernementale sur les vaccins
Auteur : Rosalie1334 
73/312

Date :    03-04-2024 19:26:38


Je ne sais pas qui va lire cet interminable post 345 mais juste deux remarques :

Hooker est connu pour son activisme anti-vaccin et ses allégations de conflits d'intérêts au sein des Centers for Disease Control and Prevention. Il était membre du conseil d'administration de Focus Autism, (maintenant appelé Focus for Health) une organisation qui croit en la "dissimulation continue du lien vaccin/autisme". Hooker n'a aucune formation ou qualification en épidémiologie.

Hélène Banoun, pharmacienne biologiste, membre du Conseil scientifique indépendant (CSI) étroitement lié à Réinfo-Covid (Désinfo-Covid) s’affichant comme des scientifiques indépendants exempt de tout conflit d’intérêt.
Il faut croire que vendre des livres et faire des conférences payantes qui font la promotion des théories complotistes ne font pas partie de leur définition de conflit d’intérêt.
Auteur : Napi  
74/312

Date :    04-04-2024 14:06:30


www.aussie17.com/p/austrias-alarming-press-conference
03/04/2024

Conférence de presse alarmante en Autriche : 17,5 % des 50 000 cas documentés de blessures liées aux vaccins (jusqu’à présent...)
« Sur ces 50 000 cas, 35 000 cas sont catalogués par âge, sexe et symptomatologie. Soit dit en passant, 17,5 % d’entre eux sont des cas de décès, ce qui signifie que le décès est survenu après la vaccination. "


En Autriche, la semaine dernière (23 mars 2024), une conférence de presse a suscité un débat et des inquiétudes considérables sur la sécurité des vaccins contre la COVID-19, révélant d’autres vérités indésirables sur un aspect de la thérapie génique expérimentale qui est rarement couvert par les médias grand public. La conférence a mis en vedette une brochette convaincante de conférenciers, y compris des victimes des effets secondaires des vaccins, des experts médicaux et des représentants légaux, chacun apportant ses observations et ses expériences en matière de vaccination contre la COVID-19.

Au cœur de la conférence se trouvait le récit saisissant de M. Rudolf Wagner, qui a décrit une réaction grave et alarmante à la suite de sa vaccination contre la COVID-19. L’histoire de Wagner a pris une tournure pénible avec des symptômes allant des étourdissements et de l’engourdissement à une embolie pulmonaire potentiellement mortelle. Bien qu’il ait cherché de l’aide, Wagner a affirmé que son état avait été rejeté comme psychologique par son médecin, qui lui a prescrit des antidépresseurs plutôt que de se plonger dans les liens possibles avec le vaccin.

Mme Maria Barnett, représentante de l’Association des victimes des vaccins, a souligné les efforts déployés par le groupe pour documenter les effets indésirables des vaccins. Selon Barnett, l’association a compilé une base de données de 50 000 cas depuis juin 2021, dont 17,5 % ont entraîné la mort après la vaccination. Base de données de cas disponible ici (https://www.impfopfer.info/)

Les professionnels de la santé présents à la conférence ont présenté leurs points de vue, ce qui complique davantage le discours sur la sécurité des vaccins. Le Dr Helmut Luck a souligné que le nombre de décès en 2021, après le déploiement du vaccin, a dépassé celui de 2020, lorsque le vaccin n’était pas encore disponible. Ce contraste, selon le Dr Luck, suggère des problèmes de sécurité entourant la vaccinalethérapie génique.

Le professeur d’université Hannes Strasser a offert un point de vue critique sur la campagne mondiale de vaccination, la dénonçant comme « la plus grande expérience humaine de l’histoire ». Strasser a critiqué le manque de connaissances approfondies sur les effets à long terme du vaccin et a condamné les décideurs pour avoir agi sans prudence.

Nous devons continuer à frapper à la porte des médias grand public soi-disant dignes de confiance et de ces agences gouvernementales, qui pensent apparemment qu’il est acceptable de balayer ces questions qui changent la vie sous le tapis comme si elles n’avaient pas d’importance. C’est absolument scandaleux de voir comment ils prétendent que tout va bien, ignorant les cris et la souffrance des personnes touchées. Je vous le dis, il est temps que nous fassions exploser cette vérité partout !

Auteur : Rosalie1334 
75/312

Date :    04-04-2024 15:58:38


Avec Napi, nous voyageons et faisons le tour du monde des fanatiques.

1 / Les anti-vax ont été particulièrement virulents en Autriche.
À tel point que le médecin Lisa-Maria Kellermayr, 36 ans, s'est suicidée en juillet 2022, au bout de sept mois de harcèlements incessants des milieux opposés aux mesures Anti-Covid et à la vaccination.

2 / je relève quelques expressions de ce nouveau long message de Napi:

conférence alarmante - inquiétudes considérables - brochette convaincante de conférenciers ( payants ?? ) - récit saisissant - réaction grave et alarmante ( deux fois plutôt qu'une ! ) - vaccinalethérapie génique. -

vaccinalethérapie ???

C'est franchement drôle.

L'intention appuyée de "faire peur" évoque ces films d'horreur, tellement délirants qu'ils en deviennent comiques.
Auteur : Bigben  
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Date :    04-04-2024 18:20:06


Ah bon ! "faire peur" ...
--> nous en connaissons d'autres, en haut lieu,
--> dont ce fut (et est toujours) le seul levier politique !
--> ... et, en effet, c'est en partie pour cela qu'ils en deviennent "comiques" aux yeux d'une majorité d'électeurs.
Auteur : Napi  
77/312

Date :    04-04-2024 19:14:45


youtu.be/G09H7v2vhjc?si=8YKEE9Y70smDWHQf
04/04/2024 21 min.

PfizerGate : des procureurs européens enquêtent sur les sms d'Ursula Von der Leyen

Auteur : Napi  
78/312

Date :    07-04-2024 14:02:45


edition.francesoir.fr/societe-sante/pfizer-accuse-de-jeter-le-discredit-sur-l-industrie-pharmaceutique-apres-les
07/04/2024


Pfizer accusé de « jeter le discrédit » sur l'industrie pharmaceutique après les publications de Covid sur les réseaux sociaux - analyses et conséquences


Aux Etats-Unis, la FDA (Federal Drug Administration) a signé un accord transactionnel sur l’ivermectine. La FDA devra supprimer tous ses posts et directives incitant à arrêter la prescription d’ivermectine pour prévenir et traiter la Covid-10. En Allemagne, Multipola Magazine a fait de nombreuses révélations sur la gestion de la pandémie, c’est au tour du Royaume-Uni de s’illustrer une nouvelle fois dans la controverse autour des vaccins.

C’est donc après de nombreux articles sur les risques non estimés associés avec les vaccins à ARNm, que l’organisme de surveillance britannique accuse Pfizer de « jeter le discrédit » sur l’industrie. En effet, elle estime que l’entreprise a « enfreint le code réglementaire à cinq reprises, notamment en faisant la promotion de médicaments sans licence » rapporte un article du Telegraph ce 6 avril 2024. Pfizer est donc accusé par le régulateur britannique de « jeter le discrédit » sur l'industrie après que ses hauts dirigeants ont utilisé les médias sociaux pour promouvoir un vaccin covid « sans licence ».

La décision a été prise par l’organisme de surveillance pharmaceutique (Prescription Medicines Code of Practice Authority (PMCPA)) et concerne une plainte au sujet d’un message publié sur X, en novembre 2020, par des cadres supérieurs de Pfizer. Ces derniers auraient fait un usage abusif des médias sociaux pour promouvoir de manière trompeuse et illégale le vaccin Pfizer.

En 2020, le Dr Berkeley Philips, directeur médical de Pfizer UK avait partagé un message sur X d’un employé de Pfizer aux États-Unis qui disait : « Notre candidat vaccin est efficace à 95 % pour prévenir le covid-19 et à 94 % chez les personnes de plus de 65 ans. Nous déposerons toutes nos données auprès des autorités sanitaires dans quelques jours. Merci à tous les volontaires de notre essai et à tous ceux qui luttent sans relâche contre cette pandémie ». Quatre autres employés de Pfizer, dont un à un poste élevé, ont publié le même message.

Le régulateur a ajouté que la

« publication sur les réseaux sociaux avait entraîné la diffusion proactive d’un « médicament sans licence sur Twitter auprès des professions de santé et des membres du public au Royaume-Uni ».

D’après le Telegraph, la société Pfizer, à travers un porte-parole, a déclaré « reconnaitre et accepter pleinement les problèmes mis en évidence par cette décision de la PMCPA » et en est « profondément désolé ». L’article omet de rappeler que Pfizer a fait des milliards de profits suite à la commercialisation de ce médicament, les investisseurs n’ont pas encore déclaré être désolés ! Cependant, Pfizer va plus loin en expliquant que « Pfizer UK a une politique complète sur l'utilisation personnelle des médias sociaux en relation avec les activités de Pfizer qui interdit aux collègues d'interagir avec les médias sociaux liés aux médicaments et aux vaccins de Pfizer – soutenue par des séances d'information et des formations pour le personnel. » Cette déclaration sera donc à mettre en perspective pour évaluer comment des salariés, incités ou pas à la performance de l’entreprise, ont enfreint les limites de la normalité et de la sécurité de communication sur les réseaux sociaux.

Pfizer a aussi ajouté « L'utilisation personnelle des médias sociaux par les employés de l'industrie pharmaceutique britannique dans le cadre des activités de l'entreprise constitue un défi pour les sociétés pharmaceutiques, dans lequel nous continuons de prendre toutes les mesures appropriées que l'on peut raisonnablement attendre d'une société pharmaceutique. »

Une autre manière de dire après coup, nous sommes désolés, nous allons faire une enquête et modifier nos pratiques.

N’est-il pas de bonne pratique éthique et médicale de « prévenir plutôt que de guérir » ?



Pfizer a déjà été épinglé à de nombreuses reprises par les régulateurs – Peut-on vraiment dire que cette communication est « accidentelle et involontaire » ?

Pfizer est épinglé six fois par le régulateur pour la simple promotion du vaccin Covid-19. En novembre 2022, l’organisme de surveillance avait conclu que le directeur général de Pfizer avait fait des déclarations « trompeuses » sur les vaccins pour enfants.

Suite à une plainte du groupe UsForThem, la PMCPA a donc estimé que Pfizer avait induit le public en erreur, formulé des allégations non fondées et omis de présenter les informations de manière équilibrée. Le directeur des affaires juridiques de UsForThem, Ben Kingsley s’est étonné de « constater combien de fois les hauts dirigeants de Pfizer ont été reconnus coupables d'infractions réglementaires graves – dans ce cas, y compris l'infraction la plus grave de toutes en vertu du Code de bonnes pratiques du Royaume-Uni. »

Dans une tentative de minimiser la situation, le Dr Phillips, directeur médical de Pfizer au Royaume-Uni, a déclaré que sa publication était « accidentelle et non intentionnelle ». politique et le code de bonnes pratiques de l’industrie lors de l’utilisation de leurs médias sociaux personnels.

Pfizer a dû payer 34 800 livres sterling d’amendes. Kingsley ajoute :

« , les conséquences pour Pfizer et les individus concernés restent dérisoires. Ce système de régulation désespéré pour une industrie de la vie et de la mort qui pèse plusieurs milliards de dollars est devenu une imposture, qui a cruellement besoin d’être réformé. »

En outre, la décision de la PMCPA fait état que les communications visées contenait des informations « limitées » sur l'efficacité du vaccin, aucune information sur la sécurité et aucune référence à des événements indésirables.

Les sanctions visant les laboratoires sont donc dérisoires quand ces derniers enfreignent les règles de bonnes pratiques puisque les amendes sont très faibles et même si les décisions sont annoncées dans la presse médicale, pharmaceutique, cela n’a que peu d’impact sur le grand public. Les bénéfices aux labos, les risques aux patients



Les régulateurs français avaient les moyens de savoir ayant été alertés

« Efficacité des vaccins, tout est une question de présentation » avait écrit France-Soir en mai 2021. Cette présentation trompeuse avait donc été expliqué dans un article de 2021. Une telle communication peut ainsi influencer les personnes à aller se faire vacciner, contribuant ainsi à biaiser le consentement libre et éclairé.

Dès 2020, le professeur Montagnier avait lancé l’alerte avec une étude qui démontrait que le virus était d’origine fabriquée avant d’évoquer « une erreur stratégique qui impacte l’avenir de l’humanité ». Il déclarait :

« il faut abandonner, et refuser la vaccination obligatoire, notamment des personnels médicaux déjà bien informés des effets secondaires des vaccins actuels ».

Et le Pr Montagnier, prix Nobel de médecine, allait plus loin en demandant aux autorités d’utiliser les traitements précoces : « Le traitement précoce de l'infection par ivermectine et antibiotique bactérien, car il existe un cofacteur bactérien amplifiant les effets du virus ».

En 2022, un rapport montrait les limites importantes des études liées au vaccin Pfizer. La biostatisticienne Christine Cotton concluait qu’ « il fallait suspendre de manière immédiate le vaccin Pfizer », le gouvernement n’ayant pas respecté le principe de précaution. De plus, le 9 juin 2022, le rapport provisoire de l’OPECST démontrait l’existence des effets secondaires après auditions de nombreux experts.

L’association BonSens.org, ainsi que d’autres, ont porté de nombreuses plaintes sur la non-transparence des contrats des vaccins ainsi que l’opacité sur les chiffres des effets secondaires ou encore les décès toutes causes avec statut vaccinal. Ces données sont toujours demandées, sans succès ni date d’audience, par le Pr Laurent Toubiana.

Une publication scientifique, de mars 2024, sur 30423 patients soignés à l’IHU méditerranée, conclut à l’inefficacité du vaccin covid-19 et à un effet aggravant de la vaccination sur la maladie dans de nombreux cas. Elle vient compléter une étude démontrant l’efficacité incontestée des traitements précoces.

Il est important de rappeler que les vaccins covid-19 devaient remplir 4 conditions pour être approuvés : la preuve d'une affection grave ou mettant la vie en danger,
la preuve d’efficacité, une analyse risques-avantages satisfaisante (preuve de sécurité) et le manque d'alternatives (Il n'y a pas d'alternative adéquate, approuvée et disponible au produit). Les régulateurs, autorités devront sans nul doute se poser la question rapidement du risque encouru par les patients atteints de Covid-19 dont la mortalité est très faible hormis pour certains types de patients, de la preuve d’efficacité du vaccin (efficacité de plus en plus contestable et contestée à travers des études et procédures juridiques), de risques importants avec des effets secondaires déclarés sans précédent. Enfin, les traitements précoces, comme l’ivermectine, l’azithromycine, l’hydroxychloroquine sont démontrés efficaces dans de nombreuses études, malgré le fait que certains experts s’opposent sur cela en invoquant un « consensus médical ».

Les données observationnelles devront être regardées, notamment celles qui comparaient l’état du Para au Brésil avec 296 décès covid par millions d’habitants en ayant systématisé les traitements précoces, ce qui est 5,5 fois mois que l’état voisin d’Amazonie (1645 décès par millions d’habitants).

La digue de la désinformation à ce sujet est de plus en plus ténue.



Au niveau européen, un horizon de plus en plus obscur pour von der Leyen

Le Belge Frédéric Baldan a déposé plainte contre Ursula von der Leyen au sujet des contrats des vaccins et des communications par SMS entre von der Leyen et Albert Bourla, PDG de Pfizer. Une information exclusive de France-Soir, relayée par la suite par Politico et de nombreux médias, dévoilait que la Pologne et la Hongrie s’étaient joints à cette plainte. Cependant, les médias relaient toujours des informations incomplètes et biaisées visant probablement à minimiser le rôle de von der Leyen au même titre que le Dr Philips déclarait sa communication accidentelle et non intentionnelle ! La levée de la transparence sur ces éléments de négociations demeure un prérequis pour restaurer la confiance.

En Australie, lors de la Commission Royale d’enquête covid, le Dr Brighthope a déclaré à propos du vaccin : « Cela n'aurait jamais dû être injecté à un seul être humain… Cela ne restera jamais dans le muscle, contrairement à ce que l'on nous avait promis. Ça se déplace dans tout le corps. Ça se propage dans le cerveau, le cœur, les vaisseaux sanguins, les testicules et les ovaires. C'est la raison pour laquelle nous voyons tant de personnes souffrir d'effets indésirables graves ».


Auteur : Bigben  
79/312

Date :    07-04-2024 17:00:05


@post précédent : Serge.
Edito de Peter Bannister :
Avons-nous une nouvelle preuve que le vent a commencé à tourner pour le récit officiel de la pandémie de Covid-19 ? Le 21 mars, la Food and Drug Administration (FDA) américaine a accepté de retirer ses messages très influents sur les médias sociaux publiés contre l'utilisation de l'ivermectine pour traiter le Covid-19. Ayant publié un article intitulé « Pourquoi vous ne devriez pas utiliser l'ivermectine pour traiter ou prévenir le COVID-19 » en mars 2021, une augmentation rapide des prescriptions de ce médicament (utilisé à la fois en médecine vétérinaire et humaine) en août 2021 a poussé la FDA à le présenter sur Twitter exclusivement comme un vermifuge pour animaux : « Vous n'êtes pas un cheval. Vous n'êtes pas une vache. Sérieusement, tout le monde. Arrêtez ça. » Visionné 23,7 millions de fois en deux jours, ce tweet a ensuite été renforcé par des propos semblables contre l'ivermectine dans les médias américains et internationaux. Certains (New York Times, Associated Press, The Guardian) ont dû par la suite corriger leurs approximations flagrantes.
En juin 2022, les médecins Mary Talley Bowden, Robert Apter et Paul Marik — un éminent partisan de l'ivermectine contre le Covid-19 — ont intenté une action en justice contre la FDA pour ingérence dans leur pratique de la médecine. L'action a d'abord été rejetée au motif que la FDA bénéficie d'une « immunité souveraine » ; mais en septembre 2023 une cour d'appel de la Nouvelle-Orléans a statué que la FDA avait outrepassé son autorité : « La FDA n'est pas un médecin. Elle a le pouvoir d'informer, d'annoncer et de renseigner, mais pas d'approuver, de dénoncer ou de conseiller ». Le 21 mars, un accord a été conclu selon lequel la FDA a accepté de retirer tous ses messages contre l'ivermectine, les médecins acceptant de renoncer à leur action en justice.
Le même jour, le pharmacologue et ancien fonctionnaire de la FDA David Gortler a témoigné à Washington, au sujet de la campagne de la FDA, devant le sous-comité sur la pandémie de la Chambre des représentants. Utilisant la métaphore de la production de nouvelles voitures, Gortler a comparé la rapidité de l'approbation des injections d'ARNm contre le Covid-19 avec l'opposition aux médicaments connus tels que l'ivermectine. Il décrit les premières comme des voitures montées en « 45 minutes », « étudiées, fabriquées et distribuées aux conducteurs à la vitesse de la lumière (warp speed), ce qui signifie que la moindre erreur dans la conception ultra complexe de la nouvelle voiture signifierait qu'elle pourrait ne pas fonctionner du tout ». Quant aux anciennes voitures, ayant « même reçu un prix Nobel pour leur sécurité et leur fiabilité » (référence au prix décerné en 2015 au découvreur de l'ivermectine Satoshi Omura), « le gouvernement déclare par fiat que la voiture « 45 minutes » est non seulement la meilleure — mais la seule — voiture qu'il faille utiliser sur ses routes, et que les voitures plus anciennes et traditionnelles ne devraient être conduites que par des chevaux et des vaches ». Gortler s'insurge contre le traitement des dissidents scientifiques : « Ne pas se plier aux exigences du gouvernement signifie que je pourrais perdre mon emploi, […] que je serais qualifié d'égoïste et de stupide, et que je serais tourné en dérision en tant que colporteur de fausses informations ». Sa conclusion : « la dialectique scientifique intelligente ne devrait pas seulement être encouragée, elle devrait être exigée. Au lieu de cela, elle a été étouffée. »
La FDA continue à dire que l'efficacité de l'ivermectine contre le Covid-19 n'a pas été démontrée. Toutefois, comme l'a fait remarquer le Dr Pierre Kory, collègue de Paul Marik et auteur du livre "La guerre contre l'ivermectine" , beaucoup soupçonnent l'action de la FDA d'être motivée par le fait que la réutilisation d'un médicament connu et bon marché contre le coronavirus menaçait à la fois le programme de vaccination et les produits coûteux (remdesivir, molnupiravir, Paxlovid) développés par les sociétés pharmaceutiques. Quant à la collaboration étroite entre les autorités sanitaires et les médias en 2021, Kory soulève la question de l'éventuel rôle de coordination de la société de relations publiques Weber Shandwick, qui a travaillé pour le Center for Disease Control (CDC) , mais aussi pour Pfizer-BioNTech et Moderna. En octobre 2022, le sénateur Rand Paul avait déjà signalé ce conflit d'intérêt potentiel par écrit à la directrice du CDC, Rachelle Walensky, notant que le CDC avait accordé un contrat de 55 millions de dollars à Weber en septembre 2020, entre autres pour promouvoir les vaccins. Trois mois plus tard, des recommandations pour les injections de ses clients Pfizer-BioNTech et Moderna ont été transmises au CDC. Rand Paul a écrit que « les Américains attendent et méritent l'impartialité des entités chargées d'émettre des recommandations sur l'utilisation des vaccins COVID-19 ». Le degré réel de cette impartialité reste un sujet de discussion. C'est néanmoins un débat dont les autorités pourraient ne pas sortir indemnes, à voir le recul pris par la FDA sur l'ivermectine.
Auteur : Napi  
80/312

Date :    08-04-2024 17:51:14


P.351 : Merci Patrick !

web.archive.org/web/20240406161335/https:/www.telegraph.co.uk/news/2024/04/06/pfizer-breached-regulatory-code-five-times-watchdog-finds/
06/04/2024

THE TELEGRAPH


Pfizer accusé de « jeter le discrédit » sur l’industrie pharmaceutique après des publications sur les réseaux sociaux de Covid
L’entreprise a enfreint le code réglementaire à cinq reprises, notamment en faisant la promotion de médicaments non homologués


Pfizer a été accusé par l’organisme de surveillance pharmaceutique britannique de « jeter le discrédit » sur l’industrie après que des cadres supérieurs ont utilisé les médias sociaux pour promouvoir un vaccin Covid « non autorisé ».

Il a été constaté que la société a enfreint le code réglementaire à cinq reprises, ce qui comprend également des allégations trompeuses, le non-respect de normes élevées et la promotion de médicaments non homologués.

Une décision de l’organisme de surveillance pharmaceutique, la Prescription Medicines Code of Practice Authority (PMCPA), concerne une plainte concernant un message publié sur X, anciennement connu sous le nom de Twitter, en novembre 2020 par des cadres supérieurs de Pfizer.

La plainte a soulevé des inquiétudes quant à « l’utilisation abusive des médias sociaux par Pfizer pour promouvoir de manière trompeuse et illégale son vaccin Covid », selon la décision.

Ils ont affirmé qu’un tel « mauvais comportement » sur les réseaux sociaux était « encore plus répandu » qu’ils ne le pensaient et « s’étendait jusqu’au sommet de leurs opérations au Royaume-Uni ».

« Médicaments non autorisés diffusés de manière proactive »
La plainte était centrée sur une publication sur les réseaux sociaux sur X par le Dr Berkeley Phillips, directeur médical de Pfizer UK. Il a partagé un message d’un employé de Pfizer aux États-Unis qui disait : « Notre candidat vaccin est efficace à 95 % pour prévenir le Covid-19 et à 94 % chez les personnes de plus de 65 ans. Nous déposerons toutes nos données auprès des autorités sanitaires dans les jours qui suivent. Merci à tous les bénévoles de notre essai et à tous ceux qui luttent sans relâche contre cette pandémie.

Quatre autres employés de Pfizer, dont un collègue « senior », ont publié le même message

La décision de la PMCPA a noté que ce message contenait des informations « limitées » sur l’efficacité du vaccin, aucune information sur l’innocuité et aucune référence à des événements indésirables.

Il a poursuivi en disant que la publication sur les réseaux sociaux a entraîné la diffusion proactive d’un médicament non autorisé sur Twitter aux professionnels de la santé et aux membres du public au Royaume-Uni.

Un porte-parole de Pfizer UK a déclaré que la société « reconnaît et accepte pleinement les problèmes mis en évidence par cette décision de la PMCPA », ajoutant qu’elle était « profondément désolée ».

Ils ont déclaré : « Pfizer UK a une politique complète sur l’utilisation personnelle des médias sociaux en relation avec les activités de Pfizer qui interdit aux collègues d’interagir avec les médias sociaux liés aux médicaments et aux vaccins de Pfizer – soutenue par des briefings et des formations du personnel.

« L’utilisation personnelle des médias sociaux par les employés de l’industrie pharmaceutique britannique dans le cadre des activités de l’entreprise est un domaine difficile pour les sociétés pharmaceutiques, dans lequel nous continuons à prendre toutes les mesures appropriées que l’on peut raisonnablement attendre d’une société pharmaceutique. »

Dans le cadre de sa réponse à la décision, Pfizer a déclaré qu’il avait lancé un examen de l’utilisation des plateformes de médias sociaux par ses employés afin de s’assurer qu’ils se conformaient à leurs propres règles ainsi qu’au code réglementaire.

« Accidentel et non intentionnel »
C’est la sixième fois que Pfizer est réprimandé par le régulateur pour sa promotion du vaccin Covid-19.

Une décision de l’organisme de surveillance, datant de novembre 2022, a révélé que le directeur général de Pfizer avait fait des déclarations « trompeuses » sur les vaccins pour enfants.

À la suite d’une plainte déposée par le groupe de campagne UsForThem, la PMCPA a conclu que Pfizer avait induit le public en erreur, fait des allégations non fondées et omis de présenter l’information de manière équilibrée.

Trois des autres cas de Pfizer étaient liés à des publications sur LinkedIn, l’un concernait des affirmations faites dans un communiqué de presse et l’autre concernait des publications sur X.

Pour la série de violations la plus récente, Pfizer s’est vu facturer des frais administratifs de 34 800 £.

Ben Kingsley, responsable des affaires juridiques chez UsForThem, a déclaré : « Il est étonnant de voir combien de fois les cadres supérieurs de Pfizer ont été reconnus coupables d’infractions réglementaires graves – dans ce cas, y compris l’infraction la plus grave de toutes en vertu du Code de pratique britannique.

« Pourtant, les conséquences pour Pfizer et les personnes concernées continuent d’être dérisoires. Ce système de réglementation sans espoir pour une industrie de la vie et de la mort de plusieurs milliards de dollars est devenu une imposture, qui a un besoin urgent de réforme.

Le Dr Phillips, directeur médical de Pfizer au Royaume-Uni, a déclaré que la publication sur les réseaux sociaux était « accidentelle et involontaire », ajoutant : « Cela dit, nous avons immédiatement accepté la décision de l’affaire et faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour nous assurer que nos employés adhèrent à notre politique stricte en matière de médias sociaux et au code de pratique de l’industrie lorsqu’ils utilisent leurs médias sociaux personnels. »

David Watson, de l’Association de l’industrie pharmaceutique britannique (ABPI), a déclaré que le code de bonnes pratiques, qui est supervisé par la PMCPA, établit « des normes élevées pour les entreprises qui reflètent et vont au-delà de la loi britannique ».

Il a ajouté que les cas qui ont jeté le discrédit sur l’industrie sont annoncés dans la presse médicale, pharmaceutique et infirmière.

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