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politique gouvernementale sur les vaccins
Auteur : Bigben  
97/312

Date :    05-05-2024 17:00:47


En ratifiant prochainement le "Projet Pandémie" de l'OMS, la France (comme les 194 Etats membres)
--> risque de perdre tout pouvoir décisionnel en la matière,
--> sans que les citoyens y aient expressément consenti par un vote référendaire
--> et sans que les représentants de la nation n’en aient discuté publiquement en toute transparence au Parlement.
Car deux nouveaux textes de "Règlement Sanitaire International" (soumis à signatures gouvernementales)
- transfèrent d'office les grandes décisions sanitaires du niveau national au niveau supranational en cas de nouvelle pandémie
- et rendent les préconisations de l’OMS "contraignantes" , c’est-à-dire obligatoires -- alors que jusqu'à présent cette institution n'émettait que de simples "recommandations" !
- en conférant au Directeur général de l'OMS le droit de décréter "sur la base des informations qu’il reçoit [...] si un événement constitue une urgence de santé publique de portée internationale" ,
- empêchant ainsi les États de choisir, en toute indépendance, les traitements qu’ils estiment les plus adaptés à la situation de leur territoire
- et aussi en contrant la diffusion de "fausses informations" , notamment dans les médias et sur les réseaux sociaux !
- enfin, ce transfert de pouvoirs permet d’élargir la notion d’“urgence sanitaire” aux catastrophes naturelles, aux zoonoses ( = épidémies dans le monde animal) et au climat, via le concept “Une Seule Santé” ...

P.-S. : quand on sait que le budget de fonctionnement de l'OMS n'est pas assuré que par les Etats membres
--> mais aussi par la "Fondation Bill & Melinda Gates" (à hauteur de 10%)
--> ou encore par l' "Alliance Gavi" (pour 8%) ,
--> nous sommes en droit de nous poser quelques questions ! ...
Auteur : Napi  
98/312

Date :    07-05-2024 14:25:29


www.nexus.fr/actualite/vaccin/astrazeneca-effets-indesirables/
06/05/2024


Au Royaume-Uni, AstraZeneca reconnaît certains effets indésirables graves de son vaccin anti-Covid

Poursuivi en justice au Royaume-Uni par une cinquantaine de victimes et parents de victimes d’effets secondaires graves, voire mortels, suite à l’injection de son vaccin anti-Covid, AstraZeneca admet du bout des lèvres que son produit pouvait, « dans de très rares cas », entraîner des risques pour la santé. À condition que les experts prouvent, pour chaque cas pris séparément, le lien de causalité.


◆ Le syndrome de thrombose avec thrombocytopénie

C’est peut-être un début de victoire pour les victimes d’effets indésirables graves du vaccin AstraZeneca ayant porté plainte contre la firme au Royaume-Uni. Le 28 avril dernier, le journal anglais The Telegraph rapportait que le géant pharmaceutique aurait admis pour la première fois, dans un document juridique remis en février à la Haute Cour britannique, que son vaccin contre le Covid pouvait, « dans de très rares cas, provoquer un TTS », un syndrome de thrombose avec thrombocytopénie entraînant des caillots de sang et un faible taux de plaquettes sanguines.

Le fabricant précise cependant que « le mécanisme causal n’est pas connu. En outre, le TTS peut également survenir en l’absence de vaccin. Dans tous les cas individuels, la causalité relèvera de la compétence de l’expert. » Par cette précision, AstraZeneca admet donc que certains cas de TTS puissent être dus à son vaccin, mais refuse d’endosser la responsabilité de tous les cas de TTS survenus après une vaccination avec son produit.

◆ 100 millions de dollars de dommages et intérêts réclamés

Cet aveu est toutefois d’importance pour la cinquantaine de victimes et de parents de victimes qui ont engagé une action collective en justice contre le laboratoire pour blessures graves ou décès suite à l’injection de son vaccin. Les dommages et intérêts réclamés pourraient s’élever jusqu’à 100 millions de dollars pour l’ensemble des requérants. Faisant valoir que le vaccin AstraZeneca était « défectueux » et n’était pas aussi sûr qu’annoncé, ils poursuivent l’entreprise en vertu de la loi britannique de 1987 sur la protection du consommateur.

◆ Une autre maladie identifiée par les scientifiques, mais niée par AstraZeneca

Si c’est la première fois que, sur le plan judiciaire, AstraZeneca reconnaît la possibilité d’un effet secondaire grave provoqué par son vaccin, en l’occurrence le TTS, il est à noter que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) l’avait signalé sur son site en juillet 2021. The Telegraph souligne de son côté que les scientifiques avaient identifié un lien entre le vaccin AstraZeneca et une nouvelle maladie appelée thrombocytopénie et thrombose immunitaires induites par le vaccin (VITT), dès mars 2021. Une pathologie que le fabricant refuse de reconnaître, mais que les avocats des requérants considèrent comme un sous-ensemble du TTS.

Le journal britannique rappelle également que, suite à ces effets secondaires graves identifiés très tôt, un autre vaccin avait été proposé aux personnes de moins 40 ans, pour qui les dommages causés par la maladie étaient moins importants que les risques du vaccin AstraZeneca. Ce produit n’est d’ailleurs guère utilisé aujourd’hui au Royaume-Uni, ni dans la plupart des autres pays (suspendu en France le 15 mars 2021, il a été de nouveau autorisé trois jours plus tard, uniquement pour les personnes de 55 ans et plus, mais sans grand succès auprès de la population et des médecins).

◆ Une balance bénéfices/risques qui reste positive, selon le fabricant

Les arguments de défense d’AstraZeneca ressemblent étonnamment à ceux employés par Pfizer dans le cas du footballeur lavallois François-Xavier Fumu Tamuzo, que nous avons rapporté récemment.

Dans sa déclaration déposée à la Haute Cour, AstraZeneca affirme que « la sécurité des patients est [sa] priorité absolue » et que « les autorités de réglementation disposent de normes claires et strictes pour garantir l’utilisation sûre de tous les médicaments, y compris les vaccins ». Donc, si les agences de médicaments autorisent son produit, c’est que tout va bien.

La firme ajoute que « d’après les données des essais cliniques et celles du monde réel, il a été démontré que le vaccin AstraZeneca-Oxford a un profil de sécurité acceptable » et que « les régulateurs du monde entier indiquent constamment que les bénéfices de la vaccination l’emportent sur les risques d’effets secondaires potentiellement extrêmement rares » et mis à jour dans la notice du produit.

◆ L’indemnisation du gouvernement jugée insuffisante par les victimes

The Telegraph rappelle que le gouvernement britannique a signé une « clause d’indemnisation » protégeant le fabricant de l’indemnisation des victimes en cas d’effets indésirables imprévus ou à long terme. C’est donc le gouvernement qui gère son propre système d’indemnisation des victimes.

D’après les chiffres obtenus par The Telegraph, « sur les 163 versements d’indemnisation effectués par le gouvernement britannique en février 2024, au moins 158 sont allés à des personnes ayant reçu le vaccin AstraZeneca ». Mais, toujours selon The Telegraph, les victimes (ou victimes présumées) des vaccins estiment que l’indemnisation du gouvernement, d’un montant de 120 000 dollars, est nettement insuffisante. C’est pourquoi elles poursuivent également AstraZeneca en justice.

◆ En France, le lien entre le vaccin et le décès d’Anthony Rio confirmé

En France, l’une des premières victimes de la vaccination anti-Covid est le jeune étudiant nantais de 24 ans Anthony Rio, décédé d’une thrombose veineuse abdominale en mars 2021, dix jours après avoir reçu sa première dose de vaccin AstraZeneca. Ses parents avaient immédiatement porté plainte contre X pour obtenir la réalisation d’une autopsie. Celle-ci avait conclu à un lien possible entre le décès du jeune homme et l’administration du vaccin.

Dans un article du Figaro du 26 mars dernier, l’avocat de la famille rapporte que cette hypothèse est confirmée par l’avancée de l’enquête pénale, qui est cependant loin d’être finie. Il note également que sur les neuf dossiers étudiés par le Pôle de santé publique du parquet de Paris, où un lien est établi entre la vaccination AstraZeneca et le décès de la personne, tous présentaient le même tableau clinique (schématiquement, une thrombose avec hémorragie), alors que les lots de vaccin utilisés étaient différents. Ce qui signifie soit que plusieurs lots étaient défectueux, soit que c’est le produit en lui-même qui pose problème, dans sa conception ou sa fabrication.

Article par Alexandra Joutel
Auteur : Napi  
99/312

Date :    07-05-2024 19:25:18


www.lindependant.fr/2024/05/07/sante-le-vaccin-anti-covid-dastrazeneca-retire-du-marche-par-la-commission-europeenne-des-ce-mardi-11936463.php
07/05/2024

Santé : Le vaccin anti-Covid d’AstraZeneca retiré du marché par la Commission européenne dès ce mardi


Le laboratoire a reconnu que son vaccin provoquait des thromboses dans des cas "isolés" mais le retire pour une autre raison.


Auteur : Napi  
100/312

Date :    09-05-2024 18:43:42


Toute ressemblance...

youtu.be/dPLSSoZNVEA?si=V85AXc8OrX_f_zS7
09/05/2024 11 min.

PFIZER, FONDATION GATES : DES ESSAIS VACCINAUX CONTROVERSÉS SUR DES FEMMES AFRICAINES ENCEINTES


L’Afrique éternelle terrain de jeux d'expérimentation médicale ? Depuis des décennies, des firmes pharmaceutiques organisent des essais cliniques au mépris de l’éthique : absence de consentement des sujets, information sommaire, contrôle thérapeutique insuffisant, faible bénéfice pour le malade ou la population...
L’Afrique éternelle terrain de jeux d'expérimentation médicale ?
C’est la question que l’on peut continuer à se poser en lisant l’article d’Ariane Denoyel paru dans l’humanité, le titre : “Comment Pfizer va réaliser des essais cliniques sur des femmes africaines enceintes”. Une enquête édifiante sur les méthodes du grand groupe pharmaceutique américain. Un lanceur d’alerte, le Dr Peter Selley a découvert que Pfizer va discrètement tester, en Afrique, un vaccin sur des femmes enceintes à qui il n’a, semble t-il, pas été donné toutes les informations. « Comment justifier d’exposer des femmes enceintes et leur bébé à un risque aussi sérieux pour un bénéfice aussi incertain ? », s’est-il indigné à propos de l’Abrysvo, vaccin également porté par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et la Fondation Bill et Melinda Gates.
Notre journaliste Cyril Lemba en parle avec Ariane Denoyel, journaliste indépendante et autrice de cet article.
Auteur : Napi  
101/312

Date :    11-05-2024 14:24:50


www.thehindu.com/sci-tech/health/covishield-side-effects-doctors-group-urges-govt-to-review-all-covid-vaccines/article68158989.ece
10/05/2024

Effets secondaires de Covishield | Un groupe de médecins exhorte le Centre à revoir tous les vaccins COVID
Lors d’une conférence de presse, les médecins, sous la bannière du mouvement Awaken India (AIM), ont exhorté le gouvernement à revoir la science derrière tous les vaccins COVID



Après que le géant pharmaceutique AstraZeneca a admis devant un tribunal britannique que son vaccin COVID pouvait provoquer des caillots sanguins dans de rares cas, un groupe de médecins a exprimé le 9 mai sa profonde inquiétude quant à la sécurité du vaccin Covishield fabriqué par le Serum Institute of India.


Lors d’une conférence de presse, les médecins, sous la bannière du mouvement Awaken India (AIM), ont exhorté le gouvernement à examiner la science derrière tous les vaccins COVID et à auditer leur commercialisation ainsi que la mise en œuvre d’un mécanisme de surveillance active et de suivi pour s’assurer que les événements indésirables des vaccins sont identifiés le plus tôt possible.

« Le gouvernement a totalement ignoré le nombre croissant de cas de décès tragiques après la vaccination COVID et continue de promouvoir les vaccins COVID comme « sûrs et efficaces », sans enquête scientifique ni épidémiologie », a déclaré le Dr Tarun Kothari, radiologue et militant, lors de la conférence de presse.

Le monde apprend un effet secondaire du vaccin COVID appelé syndrome de thrombose avec thrombocytopénie (TTS), a-t-il déclaré.

Lorsque les vaccins COVID-19 ont été administrés, peu de gens savaient que cela se faisait sans la fin des essais de phase 3. L’administration des vaccins COVID-19 a commencé sans que les fabricants disposent d’informations et de données complètes sur les effets secondaires possibles à court ou à long terme, ou les décès, a déclaré le Dr Sujata Mittal, gynécologue et oncologue.

Il y a déjà une faible sensibilisation aux blessures causées par les vaccins, en particulier en Inde, a-t-elle déclaré.

Des milliers de femmes ont signalé des anomalies de leurs cycles menstruels, ce qui a été confirmé beaucoup plus tard comme un effet secondaire du vaccin dans une étude publiée en septembre 2022, a-t-elle ajouté.

"Le mouvement Awaken India (AIM) recueille des détails sur les décès dus au vaccin COVID couverts par les médias/médias sociaux en Inde et les partage avec diverses hautes autorités du pays depuis 2021, date à laquelle la vaccination a commencé. Le gouvernement n’a pas répondu à nos demandes répétées d’enquêter sur les décès et l’affaiblissement dus aux effets indésirables de la vaccination", a déclaré le Dr Kothari.

L’AIM a exhorté le gouvernement indien à indemniser toutes les victimes des vaccins COVID, y compris les membres de leur famille, par le biais d’un mécanisme qui implique également les fabricants de vaccins.

« Nous exigeons également la mise en place de tribunaux accélérés et de tribunaux de vaccination pour rendre justice rapidement aux blessés vaccinés et à leurs familles », a déclaré le Dr Mittal.

En outre, des mécanismes de surveillance et de suivi actifs doivent être mis en œuvre pour s’assurer que les événements indésirables des vaccins sont identifiés le plus tôt possible et que des protocoles de traitement précoce doivent être créés et largement diffusés afin que des vies puissent être sauvées, a-t-elle déclaré.

« Examiner la science derrière tous les vaccins COVID et auditer leur commercialisation », a déclaré le Dr Kothari.

La société britannique AstraZeneca a commencé le retrait mondial de son vaccin COVID-19, qui a été fourni en Inde sous le nom de « Covishield » en partenariat avec le Serum Institute of India, quelques jours après avoir admis des effets secondaires rares de coagulation sanguine et de baisse du nombre de plaquettes.

Le retrait a été initié en raison d’un surplus de vaccins mis à jour disponibles depuis la pandémie, a déclaré la société dans un communiqué.

En Inde, le partenaire de la société, Serum Institute of India, a déclaré qu’il avait arrêté la fabrication et la fourniture de doses supplémentaires de Covishield depuis décembre 2021 tout en réitérant qu’il avait divulgué tous les effets secondaires rares à très rares, y compris le TTS, dans la notice d’emballage en 2021.

AstraZeneca s’était associé à l’Université d’Oxford pour développer le vaccin COVID-19, qui a été vendu sous le nom de Vaxzevria en Europe.


Auteur : Napi  
102/312

Date :    13-05-2024 13:36:34


bam.news/politique/revues-de-presse/la-slovaquie-exige-une-enquete-sur-von-der-leyen
12/05/2024

La Slovaquie exige une enquête sur von der Leyen


À l'instar de l'action menée à Liège contre la Présidente de la Commission, le Premier ministre slovaque exige une enquête sur les négociations entre Ursula von der Leyen et Pfizer.

Lors de son discours au Parlement slovaque le 25 avril dernier, Robert Fico a demandé aux autorités judiciaires de son pays d'enquêter sur les contrats conclus entre la Commission Européenne et Pfizer. L'action menée à Liège cherche également à obtenir les détails qui auraient été discutés par SMS entre Albert Bourla et Ursula von der Leyen. Les dispositions contractuelles engagent la Slovaquie jusqu'en 2026 alors que des millions de doses périssent dans ses stocks.

Robert Fico, chef des sociaux‑démocrates slovaques, avait été écarté du pouvoir en 2018. Il avait déjà exprimé ses préoccupations concernant les négociations autour d'un vaccin expérimental dès 2021 et son administrations aux enfants de moins de 12 ans. Depuis son retour au pouvoir après les élections fin octobre 2023, il s'efforce de libérer son pays de l'emprise sanitaire de l'OMS. Dès son entrée en fonction en novembre, il a déclaré que la Slovaquie ne signerait pas le nouveau traité pandémique. Maintenant, il tente également de se libérer de paiements dus à Pfizer jusqu'en 2026 et les doses non livrées devraient être payées à hauteur de 50%, ce que la Slovaquie refuse. Il demande aux autorités judiciaires de son pays d'enquêter sur des négociations suspectes de prises d'intérêts. La Slovaquie a déjà déboursé 151 millions de fonds publics pour 6 millions de doses dont 3,8 millions viennent de périmer dans ses stocks. Il déplore à également un nombre de 20.000 décès des suites de la vaccination dans son pays.

Ces informations sont rapportées par Thomas Oysmüller sur le site autrichien d'information tkp.at Der Blog für Science & Politik:
Slowakei‑Premierminister thematisiert "Leyen‑Pfizer‑Verschwörung"

Auteur : Napi  
103/312

Date :    14-05-2024 15:43:54


youtu.be/5rrKM7bWG7I?si=QjQU3ZV7ywAE9fLP
14/05/2024 19 min.

COVID : AstraZeneca retire son vaccin du marché.

Avec Christine Cotton, biostatisticienne, auteure de "Tous vaccinés, tous protégés ? Vaccins Covid-19, chronique d'une catastrophe sanitaire annoncée"



youtu.be/S91pXiodPwQ?si=gouIHcVsNPU2Ka7V
14/05/2024 31 min.

Vaccins retirés du marché : le pire reste à venir ! - Alexandra Henrion Caude

Les vaccins Astra Zeneca et Sanofi retirés du marché : à quoi faut-il s’attendre ?

Avec Alexandra Henrion-Caude, scientifique, chercheur, spécialiste de l’ARN, fondatrice de l'Institut de recherche SimplissimA

Auteur : Napi  
104/312

Date :    15-05-2024 14:28:38


www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/les-soignants-suspendus-pourraient-toucher-de-tres-fortes-indemnites
13/05/2024 54 min.

Les soignants suspendus pourraient toucher des indemnités conséquentes. Entretien avec Me Guyon et la plaignante, Katarina

ENTRETIEN – Nous recevons Katarina, ancienne soignante suspendue, aujourd’hui réintégrée et son avocat Me David Guyon. Dans un devoir de mémoire, elle témoigne sur ces 20 mois de privation d’activité et de salaire. Me David Guyon suit de nombreux soignants suspendus et encourage à entamer une procédure juridique, car selon lui, il est possible de récupérer une partie des salaires non perçus entre septembre 2021 et mai 2023, dates de début et de fin de l’obligation vaccinal anti-covid pour le personnel de santé. David Guyon rappelle que les soignants ont jusqu’au 1er janvier 2025 pour faire leur réclamation et demander le rappel des salaires non versés.




www.letemps.ch/sciences/sante/suisse-va-nouveau-detruire-vaccins-contre-covid19
14/05/2024

La Suisse va à nouveau détruire des vaccins contre le Covid-19
Face à une demande qui s’effondre, la Confédération devra jeter des millions de doses contre le covid


Après la chute du nombre de vaccinations contre le Covid-19, la majorité des vaccins contre ce dernier vont finir à la poubelle, a calculé Le Matin Dimanche, qui a fait le point sur l’état de la demande et des stocks. Le journal recense seulement 62 000 vaccinations de janvier à avril de cette année, loin des millions d’injections des années précédentes.

Selon l’Office fédéral de la santé publique (OFSP), depuis le début de l’épidémie, la Suisse a commandé 61 millions de doses. A ce jour, seulement 17 millions de doses ont été injectées. Selon le média, environ 13 millions sont actuellement stockées au niveau fédéral et face à la faible demande, plus de 12 millions de doses vont sans doute être jetées au rebut. Elles s’ajouteront aux 10,5 millions de doses déjà éliminées au niveau fédéral. Et ce chiffre ne comprend pas les stocks éliminés au niveau cantonal, poursuit Le Matin Dimanche.

Des dons insuffisants
«Sachant que 13,5 millions de doses sont encore en commande pour 2023 et qu’elles ne seront, elles non plus, pratiquement pas utilisées, un constat brutal s’impose: la majorité des vaccins covid suisses va finir à la poubelle», conclut le média.

En octobre 2022, on se souvient que quelque 9 millions de doses du vaccin de Moderna avaient atteint leur date d’expiration et devaient être éliminées, pour un coût d’environ 30 000 francs. A l’époque, on s’attendait à ce que le nombre d’unités à détruire croisse encore, car d’ici février 2023, 5,1 millions de doses supplémentaires allaient devenir périmées.

La Suisse n’est de loin pas le seul pays à avoir dû éliminer des produits périmés, le nombre de fioles détruites s’étant comptées en centaines de millions. Certaines ont pu avant cela être données à des pays en voie de développement. Mais de loin pas toutes.

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