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Date : 18-09-2025 18:14:19
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02/06/2025
Les données d’autopsie : Ce qu’elles révèlent sur les vaccins COVID-19 et la surveillance de la santé publique
Deux études récemment publiées dans Science, Public Health Policy & the Law fournissent des preuves médico-légales essentielles qui renforcent le lien entre la vaccination contre la COVID-19 et une série d’événements indésirables mortels. L’examen systématique dirigé par Hulscher et al. et l’analyse de l’autopsie basée sur le VAERS par Rose représentent ensemble une étape importante dans nos efforts pour comprendre l’innocuité du vaccin COVID-19 par le biais d’une enquête post-mortem. Ces études mettent en évidence à la fois le besoin urgent d’une plus grande transparence dans la science de l’innocuité des vaccins avant leur mise en marché et leur approbation, ainsi que les défaillances systémiques qui ont entravé la collecte de données d’autopsie à l’ère de la COVID-19.
Une tendance dans les décès post-vaccination
La revue systématique Hulscher et al. a examiné 325 cas d’autopsie provenant de 44 études publiées, et a constaté que 73,9 % des décès ont été jugés par des médecins indépendants comme étant directement causés par la vaccination contre la COVID-19 ou liés de manière significative à celle-ci. Les principales causes de décès étaient les suivantes :
– Mort cardiaque subite (35 %)
– Embolie pulmonaire (12,5 %)
– Infarctus du myocarde (12 %)
– Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin (TTIV, 7,9 %)
– Myocardite (7,1 %)
– Syndrome inflammatoire multisystémique (4,6 %)
– Hémorragie cérébrale (3,8 %)
La plupart des décès sont survenus dans les deux semaines suivant la vaccination, la concentration la plus élevée ayant eu lieu au cours de la première semaine. La relation temporelle entre la vaccination et les issues fatales suggère qu’il est urgent de mener une enquête médico-légale plus approfondie.
Cependant, bien que les autopsies de l’étude de Hulscher et al. fournissent des informations inestimables, elles ne sont qu’une partie du tableau. La nouvelle analyse de Rose (2025) des données d’autopsie du VAERS met en évidence un problème encore plus important : la baisse spectaculaire des taux d’autopsie malgré l’augmentation des décès post-vaccinaux.
Les autopsies en voie de disparition : ce que révèle l’étude de Rose
Si une augmentation des décès inattendus fait suite à l’administration d’une intervention médicale, la réponse logique est d’augmenter le nombre d’enquêtes médico-légales. Pourtant, l’analyse de Rose des données d’autopsie du VAERS de 2021 à 2023 démontre le contraire :
– Le nombre absolu de rapports d’autopsie dans le VAERS a augmenté de 1 714 % par rapport aux vaccins contre la grippe.
– Paradoxalement, le taux d’autopsies par décès déclaré a diminué de 77,6 %.
Ce paradoxe suggère que si plus de décès post-vaccinaux ont été signalés, moins d’autopsies ont été effectuées pour déterminer la causalité. L’étude démontre en outre que la majorité des autopsies associées au vaccin COVID-19 ont lié la cause du décès à des événements cardiovasculaires, notamment :
– Myocardite (11 %)
– Arrêt cardiaque (12 %)
– Embolie pulmonaire (16 %)
Il est frappant de constater que, par rapport aux vaccins antigrippaux, les données du VAERS ne contenaient aucun cas d’arrêt cardiaque ou d’embolie pulmonaire comme cause de décès après la vaccination antigrippale. Cet écart renforce les inquiétudes concernant les risques cardiovasculaires uniques associés aux vaccins contre la COVID-19.
Pourquoi cette baisse des taux d’autopsie ?
Les conclusions de Rose soulèvent une question pressante : pourquoi a-t-on pratiqué moins d’autopsies au moment où elles étaient le plus nécessaires ? L’étude met en évidence plusieurs facteurs contributifs :
1. Découragement systématique des autopsies – Pendant la pandémie de COVID-19, les établissements médicaux ont activement découragé les autopsies, invoquant des préoccupations concernant la transmission virale. Cette réticence semble s’être prolongée à l’ère des vaccins, malgré le besoin évident de clarté médico-légale.
2. Lacunes dans les rapports du VAERS – Alors que les autopsies devraient être systématiquement enregistrées dans le VAERS pour les cas de mortalité post-vaccinale, de nombreux rapports ne mentionnent que la « mort » sans détails supplémentaires, ce qui limite leur utilité médico-légale.
3. Réticence des établissements à enquêter sur les décès liés aux vaccins – Compte tenu de l’ampleur et de l’urgence du déploiement des vaccins, les organismes de réglementation ont peut-être hésité à mener des enquêtes médico-légales de grande envergure qui auraient pu susciter des inquiétudes auprès du public.
Cette omission d’effectuer et d’enregistrer les autopsies représente un vide important dans notre compréhension de l’innocuité des vaccins. Si des enquêtes médico-légales systématiques avaient été menées dès le départ, nous aurions peut-être mieux caractérisé ces risques et pris des mesures pour éviter des décès inutiles.
Le besoin urgent d’études d’autopsie systématiques
Les deux études renforcent l’importance cruciale de l’analyse post-mortem dans l’évaluation de l’innocuité des vaccins. Compte tenu des risques cardiovasculaires documentés associés aux vaccins à base d’ARNm, l’absence d’enquêtes médico-légales à grande échelle est particulièrement préoccupante. Des preuves continuent d’émerger que la toxicité de la protéine de pointe, la biodistribution des nanoparticules lipidiques et la dérégulation immunitaire peuvent contribuer à des issues fatales après la vaccination.
Les précédents historiques exigent également une approche plus proactive. Les vaccins précédents, y compris le vaccin contre la grippe porcine de 1976 (lié au syndrome de Guillain-Barré) et le vaccin Rotashield de 1998 (lié à l’intussusception), ont été retirés en réponse à une fraction des rapports d’événements indésirables maintenant associés à la vaccination contre la COVID-19.
L’absence d’examen médico-légal des décès liés au vaccin contre la COVID-19 est anormale et incompatible avec les pratiques de sécurité passées.
Conclusions : un impératif scientifique et éthique
Les conclusions de Hulscher et al. et Rose soulignent collectivement la nécessité d’une réforme de la surveillance de l’innocuité des vaccins et des enquêtes médico-légales. À l’avenir, les mesures suivantes s’imposent :
1. Les décès dans les essais cliniques ne doivent pas être exclus pour les premières expositions chez l’homme.
2. L’autopsie devrait être obligatoire pour tous les décès soudains et inexpliqués après la vaccination.
3. Un examen médico-légal des données d’autopsie du VAERS devrait être effectué pour combler les lacunes existantes en matière de connaissances.
4. Des organismes de surveillance indépendants doivent être mis en place pour assurer la transparence des enquêtes sur la sécurité des vaccins.
Si nous voulons préserver l’intégrité scientifique et la confiance du public, nous devons veiller à ce que chaque décès post-vaccinal fasse l’objet d’un examen minutieux.
Science, Public Health Policy & the Law a rendu un service essentiel en publiant ces études, qui remettent en question les discours dominants sur la sécurité des vaccins. La question est maintenant de savoir si les organismes de réglementation et les institutions médicales agiront sur la base de ces preuves ou continueront à détourner le regard.
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