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CORONAVIRUS
Auteur : Napi 
137/160

Date :    21-04-2024 13:56:55


nypost.com/2024/04/19/us-news/fbi-got-tip-that-fauci-funded-virus-research-at-wuhan-lab-would-leave-no-trace-of-human-manipulation/
19/04/2024

Le FBI a trouvé « alarmant » que la recherche sur les virus financée par Fauci au laboratoire de Wuhan ne laisse aucune trace de « manipulation humaine »



Le FBI a été informé en avril 2020 d’une recherche sur le virus en Chine, financée par l’agence anciennement dirigée par le Dr Anthony Fauci, qui « ne laisserait aucune signature de manipulation humaine délibérée », selon des courriels d’agents du bureau.

Au moins un agent du FBI du bureau de Newark a qualifié la révélation d'« alarmante ».

Un autre agent a qualifié l’information d'« intéressante » et a promis de faire un suivi avec d’autres agents du FBI.

Les cinq pages de courriels ont été obtenues par le groupe de surveillance conservateur Judicial Watch via une demande de la loi sur la liberté de l’information et publiées vendredi.

« Ces documents fumants ont montré que le FBI a rapidement compris que l’agence de Fauci finançait la recherche sur le gain de fonction qui pourrait déguiser le coronavirus résultant en 'naturel' », a déclaré le président de Judicial Watch, Tom Fitton, dans un communiqué.

« Ces nouveaux documents démontrent une fois de plus la nécessité d’une enquête criminelle approfondie sur le scandale de gain de fonction de Fauci », a-t-il ajouté.

Dans un échange d’e-mails du 23 avril 2020, dont l’objet est « Appel de suivi », une personne dont le nom est expurgé transmet des détails et des analyses à plusieurs responsables du bureau du FBI de Newark liés à l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses Subvention de 661 000 $ à EcoHealth Alliance pour la recherche sur le coronavirus des chauves-souris à l’Institut de virologie de Wuhan.

« La raison pour laquelle j’écris est que la stratégie expérimentale proposée dans l’objectif 3 ('technologie des clones infectieux'), si elle était réalisée en utilisant la synthèse de gènes commerciale ou interne pour préparer les clones infectieux, ne laisserait aucune signature de manipulation humaine délibérée », a informé l’individu anonyme au FBI.

La personne qui a envoyé l’e-mail – qui semble avoir déjà été interrogée par des agents du bureau de Newark – a examiné les détails du projet liés à la subvention d’EcoHealth Alliance du NIAD (détails qui sont accessibles au public) et a traduit le jargon en « langage profane » pour que les agents du FBI puissent mieux comprendre, semble-t-il.

« Hé, allez-vous être au bureau demain ? » a écrit un agent alors qu’ils transmettaient la missive à une autre personne du bureau. « Nous venons d’interviewer notre personne de [censuré] et il nous a fourni de nouvelles informations alarmantes. Appelez-moi si vous le pouvez.

« C’est intéressant, je fais un suivi avec l’équipe demain matin », écrit ensuite un agent spécial adjoint anonyme en charge de la sécurité nationale à l’agent spécial en charge du bureau de Newark, Gregory Ehrie.

Ehrie répond : « [Caviardé] Détails quand vous le pouvez. »

Des courriels précédemment obtenus par Judicial Watch indiquent que le FBI a ouvert une « enquête » sur la subvention des National Institutes of Health pour le coronavirus liée à l’Institut de virologie de Wuhan vers mai 2020.

Le FBI a déterminé l’année dernière qu’une fuite accidentelle de laboratoire était l’explication la plus probable de la pandémie de COVID-19.

« Le FBI a évalué depuis un certain temps maintenant que les origines de la pandémie sont très probablement un incident de laboratoire potentiel à Wuhan », a déclaré le directeur du FBI, Christopher Wray, en mars 2023.

Le Post a contacté EcoHealth Alliance pour obtenir des commentaires.

Auteur : Bigben  
138/160

Date :    21-04-2024 17:00:07


Perso, je m'étonne que des "apprentis sorciers" puissent se livrer à ces recherches de "gain de fonction" des virus pathogènes ( = accroître leur virulence) ...
P.-S. : sauf que l'on sait que, sur une cinquantaine de labos bactériologiques P4 (prétendument ultra-sécurisés... comme celui de Wuhan) existant et opérationnels dans le monde (sur tous les continents, excepté l'Amérique latine) ,
--> 11 sont sous gouvernance... militaire étatique (et 2 d'ordre privé) !

N.B. : et avoir nommé " Mr Covid" , aux USA (pour contrecarrer la pandémie) le... Dr Anthony Fauci (directeur de l'Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID) et membre de la cellule de crise de l'administration Trump sur le coronavirus, dénommée "White House Coronavirus Task Force" ) ,
--> n'est-ce pas risquer de faire "entrer le loup dans la bergerie" ?!? ...
/ /
Auteur : Bigben  
139/160

Date :    21-04-2024 18:38:17


(suite) ... et la "tragi-comédie" se poursuit, comme si de rien n'était :
www.planet.fr/societe-retour-du-covid-19-quel-est-ce-nouveau-variant-xdk-qui-circule-en-france.2963095.29336.html
Auteur : Napi 
140/160

Date :    22-04-2024 13:56:14


www.covid-factuel.fr/2024/04/21/covid-faites-ce-que-je-dis-mais-pas-ce-que-je-fais/
21/04/2024

« Dicunt enim et non faciunt », que l’on retrouve dans l’Évangile de Saint Matthieu, est devenu proverbe français puis doctrine politique française, de gauche comme de droite : « faites ce que je dis, mais pas ce que je fais ». C’est malheureusement une règle politique bien française, qu’appliquent la plupart des élus, et Dieu sait qu’il y en a ( 567 222 ) ! La politique du covid n’a pas dérogé à la règle.

On se souvient de la ruée des hommes politiques à l’IHU de Marseille lorsqu’ils tombaient malades en 2020, pour ignorer ensuite ceux qui les avaient traités. Le summum aura été Sabrina Agresti-Roubache, secrétaire d’État, soignée en mars 2020, qui avait fait un témoignage très élogieux sur l’hydroxychloroquine et le professeur Raoult sur BFMTV le 23 mars 2020 : «Je ne suis pas médecin […] mais moi, en tout cas, j’ai vu mon état avant et mon état après. Ça n’a rien à voir ». On l’a vue en 2023 prendre la tête de la bataille pour faire passer « l’Article 4 » du projet de loi visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires, permettant de mettre à l’amende voire en prison ceux qui ne sont pas dans la ligne gouvernementale s’ils ne se taisent pas. Les français ne doivent pas savoir qu’il peut y avoir d’autres alternatives aux directives gouvernementales, directives dont s’excluent les élus.

Les députés et sénateurs se sont exemptés de l’obligation vaccinale de manière indirecte. En effet lors de l’examen du texte sur le pass vaccinal, un amendement (N°226) obligeant à le présenter pour entrer dans l’hémicycle a été rejeté par les députés le 5 janvier 2022, puis non présenté au Sénat. Sur France Inter, on a pu admirer la position très roublarde du Président du Sénat : « La loi est la même pour tous, députés, sénateurs et autres citoyens,.. Le pass sanitaire est exigé au Sénat pour toutes les activités pour lesquelles la loi le prévoit, il est donc exigé de tous, y compris des sénateurs, pour l’accès au restaurant, aux visites du Palais du Luxembourg ou aux colloques. Néanmoins, comme dans les entreprises, qui ne sont pas soumises par la loi à cette obligation, il n’est pas demandé de pass sanitaire à l’entrée du Sénat pour ses membres, ses agents ou les personnes auditionnées. Il en va de même pour l’accès à l’hémicycle ». Conclusion : c’est obligatoire, mais non vacciné, vous pouvez avoir accès à notre restaurant et partout, car on vous ne demandera pas votre pass, ce n’est pas obligatoire ! Par contre pour le Français qui voulait aller à son restaurant, pass obligatoire, sinon dehors. Faites ce que je vote, mais pas ce que je fais.

Le 5 février 2021 lorsqu’une de ses anciennes Ministres demande en début de soirée au Président Macron si elle peut lui transmettre par voie directe une lettre que nous avions concocté avec des confrères pour défendre les traitements précoces, la réponse sur son WhatsApp est immédiate, dans le quart d’heure : « Formidable. Je crois beaucoup à cela vraiment depuis longtemps mais « le système » y croit trop peu c’est fou. Je m’en saisis. Merci. Je vous embrasse ». Rien n’en sortira, il laissera les traitements précoces aux hospitaliers et aux élus, rien pour les français.

Agnès Buzyn, ex ministre démissionnaire en début de crise, la mairie de Paris étant plus importante que la santé des français, raconte sans scrupule, honnêtement (et bêtement) que sa mère a eu droit à l’hydroxychloroquine, passant alors du stade de mourante à ressuscitée, que ses patients à l’hôpital du Percy étaient tous sous hydroxychloroquine et qu’elle renouvelait les prescriptions. Ceci ne l’empêchait pas d’affirmer que pour les Français, ce traitement ne devait pas être prescrit. Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais.

Il en va de même pour notre bonimenteur professionnel, le bon docteur Olivier Véran. Son confrère grenoblois et neurologue comme lui (et un de mes anciens correspondants) touché par le virus se fait prescrire de l’hydroxychloroquine, mais avant de le prendre, il demande son avis à son collègue ministre, qui lui donne le feu vert « à titre compassionnel ». Les Français n’auront pas droit à la même compassion car le jour même (ou le lendemain, je n’étais pas là), il signait un décret interdisant la distribution de ce produit par les pharmacies pour les autres Français. Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais.

Quant à un certain traitement antibiotique qui a été pris au plus haut niveau à l’Elysée, au moins par une personne après s’être renseignée auprès d’une consoeur convoquée par l’Ordre des médecins, c’est devenu un secret de polichinelle.

Que dire aussi de cet ancien ministre, très au courant de l’efficacité de l’ivermectine, qui téléphone à un confrère ami pour en avoir au cas où. Ledit confrère lui ayant répondu qu’il n’avait pas pour habitude de prescrire sans avoir vu les patients, et qu’il le verrait volontiers en consultation, ne l’a jamais vu arriver. Il a dû trouver une autre bonne âme. Coïncidence, au même moment, j’étais sollicité pour écrire un projet d’article que cet ancien ministre aurait accepté de passer en « tribune libre » dans un grand quotidien. Mission accomplie, mais il n’y a eu aucune suite. Ces traitements sont réservés à certains et ne doivent pas être divulgués. Prenez du Doliprane, mais pas ce que moi-même je prends.

Tous ces honnêtes gens, soucieux de notre santé, ont-ils tous été vaccinés ? J’ai des doutes. Peu de gens l’avaient remarqué à l’époque, mais au tout début des vaccinations, monsieur Albert Bourla, PDG de Pfizer, avait voulu rendre une visite en Israël, pays pionnier qui avait démarré le premier et à grande échelle une grande campagne nationale de vaccination. C’était la moindre des choses d’aller les saluer. Il y a eu un hic : le déplacement prévu a dû être différé car il n’était pas à jour de sa vaccination, il ne pouvait donc rentrer sur le territoire israélien en vertu des lois de l’époque.

On aurait pu penser que le PDG de Pfizer aurait donné l’exemple en se faisant vacciner le premier pour montrer que son vaccin était sans danger, eh bien non, il n’était pas vacciné ! Avait-il quelques craintes ? Voulait-il voir préalablement ce que cela donnait sur les autres ? Il faut dire que par la suite il a donné de sa personne pour montrer que le vaccin était inefficace puisqu’il a attrapé le covid plus souvent que d’autres, et qu’il a même voulu montrer l’efficacité de son Paxlovid en faisant un rebond infectieux nécessitant une seconde dose de Paxlovid ! Maintenant était-il vraiment vacciné ? J’ai des doutes, mais lui seul le sait.

Quant à nos chefs d’État là encore j’ai des doutes, mais j’ai aussi une explication qui justifie cette dérogation. Vous savez qu’un président et un vice-président ne monteront jamais dans le même avion, de même qu’en France vous ne verrez jamais le président de la République et le président du Sénat faire de même. Les services de sécurité veillent, pour qu’en cas d’accident, l’État ne soit pas décapité. Il y a plein de mesures de ce type, et d’empêchements imposés aux chefs d’État par mesure de précaution. Il me paraît impossible de faire courir un risque vital en permettant à un président, quel qu’il soit, de prendre un traitement non encore éprouvé, dont personne ne connaît les risques. Pour moi, ce n’est pas une excuse mais une chose normale. Autrefois les rois avaient des goûteurs pour s’assurer qu’il n’y avait pas de poison dans les plats, aujourd’hui pour les traitements, les « goûteurs » sont les citoyens. Maintenant ai-je raison ou ai-je tort ? Secret défense.

Nous assistons à ces pratiques dans tous les domaines sans exception. Les passe-droits et les problèmes financiers sont monnaie courante chez nous. On l’a vu encore récemment, alors qu’il nous faut trouver 10 milliards (pour combler 160 milliards de dettes !) qui seront pris entre autres sur les remboursements de médicaments et les prestations chômage, la note sera pour les français. En revanche, députés et sénateurs, eux, viennent de se voter une augmentation significative, et à l’Elysée, on ne réduit pas le train de vie, on fait bombance avec une commande de 11 000 bouteilles de champagne (et l’on n’a pas la note des autres boissons et spiritueux !). Serrez votre ceinture, moi je desserre la mienne.

Il semble que ce comportement, assez méprisant à l’égard des citoyens, plus courant dans les royaumes et dictatures, soit une spécialité française dans les démocraties occidentales. Il est vrai que certains pensent encore que nous devons assumer une descendance de Louis XIV, avec des présidents vivant dans un palais de 365 pièces, avec une garde républicaine forte de 480 chevaux et 40 musiciens, uniquement pour l’apparat, et en cuisine une brigade de 30 personnes dirigée par un MOF. Et quand ils convoquent le parlement, c’est sous les ors de Versailles. Nous sommes bien loin d’Angela Merkel avec son 4 pièces et de sa soupe de pommes de terre, ou du général, qui payait de sa poche quand il invitait.

En Suède on ne badine pas non plus avec l’argent public. Il y a 10 ans, une ministre avait pris quelques libertés avec sa carte bleue, en achetant entre autres 2 barres de Toblerone, qui ont conduit à sa démission. Quant aux USA, si on peut trouver leur système parfois délirant, c’est au moins avec leur propre argent, pas celui des contribuables. Chez nous, c’est plus simple, « ça ne coûte rien, c’est l’État qui paye », et tout cela dirigé par des personnes qui confondent servir l’État et se servir de l’État.


Docteur Gérard Maudrux
Auteur : EBONYMAY  
141/160

Date :    22-04-2024 18:32:05


C'est curieux quand même tous les détracteurs (pour faire simple) du vaccin à ARN messager contre le covid que tu cites sont d'extrême droite
Comment ça se fait ?
Auteur : Bigben  
142/160

Date :    22-04-2024 18:39:05


Auteur : Bigben  
143/160

Date :    22-04-2024 19:07:07


@post 143 : et toi, ma chère Fabienne,
--> comment ça se fait que tu sois d'extrême gauche ? ...
( = question aussi bête que la tienne)
P.-S. : par ailleurs, curieusement,
--> aucune réaction de ta part à mes posts 140 & 141 (simplement informatifs, et guère polémiques) ! ...
/
Auteur : Napi 
144/160

Date :    22-04-2024 21:55:46



@Fabienne P.143

As-tu des arguments scientifiques en faveur des vaccins à ARN messager ?




À LIRE ABSLOLUMENT

www.limpertinentmedia.com/post/voici-ce-que-r%C3%A9v%C3%A8lent-les-covid-files-suisses?utm_campaign=5a6fa21f-1643-4117-b0b1-55de94394873&utm_source=so&utm_medium=mail&cid=ab536bef-976a-4d81-a03b-b92b43079764
21/04/2024

Voici ce que révèlent les «Covid files» suisses
L'affaire récente des RKI files en Allemagne a révélé quelques secrets juteux de distorsions politiques. Ceux-ci ont eu de lourdes conséquences sur la confiance des Allemands et font l’objet d’une intense couverture médiatique, tant mainstream que sur les réseaux sociaux. Quid de la Suisse? L’Impertinent s’est penché sur les 1661 pages des procès-verbaux de la Task Force Covid de l’Office fédéral de la santé publique, remis en ligne le 4 avril dernier. Influence médiatique omniprésente, entrave à la liberté thérapeutique, discrimination abusive, stratégie de la peur… Voici ce que nous avons découvert.

[...]

Où est passé la liberté thérapeutique?

Rappelez-vous: en janvier 2021, l’Hôpital Riviera-Chablais faisait interdire l’hydroxychloroquine. L’ivermectine subira le même sort un peu plus tard. Les médecins et pharmaciens cantonaux ont prévenu les généralistes qu’ils ne «recommandaient pas» ces traitements dans le cadre du Covid. Des médecins qui en prescrivaient à l’époque étaient dénoncés aux autorités et les pharmaciens refusaient bien souvent tout simplement d’honorer les ordonnances.

[...]

Le danger venait des personnes vaccinées


Plus surprenant encore, le 29 septembre 2021, le procès-verbal révèle la crainte de la Task Force «que l'obligation de certificat entraîne plus (et non moins) d'hospitalisations». Elle prévoit que «les personnes vaccinées contamineront désormais davantage de personnes non vaccinées dans les restaurants, les cinémas et les grandes manifestations, puisque les distances et l'obligation de porter un masque ne s'y appliquent plus.»



Tandis que les personnes non vaccinées étaient désignées comme des dangers publics, l’OFSP craignait en réalité que ce soit les vaccinés qui propagent le plus la maladie. Rendant, du même coup, complètement caduc le concept de Pass Covid. Pourtant, il sera bien mis en place.

[...]


En conclusion


La Suisse ayant été un peu plus modérée que la plupart de ses voisins durant cette crise, notamment en restant plus pragmatique, les révélations de ces documents semblent moins percutantes qu’en Allemagne, à première vue. Mais en y regardant de plus près, deux points au moins pourraient entraîner d’éventuelles conséquences juridiques:
La dissension concernant l’off-label use entre les déclarations de l’OFSP et celles des médecins cantonaux. Ce point pourrait avoir eu des conséquences lourdes, voire avoir entraîné des décès.
L’introduction politique du certificat Covid qui a entraîné la discrimination des non vaccinés, alors qu’il ressort de ces procès-verbaux qu’ils savaient pertinemment que la contamination pourrait alors venir des vaccinés.
Et si l’on prend du recul après cette longue recherche, que l’on se rappelle les années précédentes, il en ressort le sentiment d’une agitation et activité énormes qui ont découlé juste de l’absence de traitements dès les premiers symptômes.
Ces procès-verbaux semblent venus «d’une autre planète», celle où l’on ne sait pas soigner les infections respiratoires comme on l’a toujours fait. Ni le personnel administratif, ni les sociétés médicales, ni les politiques, ni bien des médecins.
Tous ont souffert concernant les traitements de ce que l’on appelle le biais de la tache aveugle, également connu sous le nom de biais de l'angle mort de polarisation. Cela fait référence à une tendance à ne pas reconnaître ses propres biais cognitifs et à se croire objectif et impartial.
Cela signifie que l’on est souvent aveugles aux influences que nos propres préjugés et croyances peuvent avoir sur nos jugements et nos décisions. En d'autres termes, on remarque facilement les biais chez les autres, mais on a du mal à les voir en nous-mêmes. Cela peut conduire à des erreurs de raisonnement et à des décisions injustes ou irrationnelles.


[/b] [b]Si l’on avait fait ce que l’on a toujours fait pour les infections respiratoires, simplement soigner tôt, recourir aux généralistes, etc. en plus de protéger juste les personnes vulnérables, on aurait économisé bien des vies, épargné les gens, l’économie et dépensé bien moins de milliards.


Ce qui ressort également est l’évolution constante des positions, notamment sur le port du masque, la fermeture des écoles… un tâtonnement constant, souvent influencé par les nombreuses revues de presse. Si bien qu’on en arrive parfois à se demander qui informe qui, les autorités ou les médias?
Sans parler de la longueur d’avance du Blick – expliquée par les Coronaleaks – qui semble surprendre même au sein de l’OFSP. Peut-être nos autorités pourraient-elles se soucier davantage des citoyens que des journalistes lors de la prochaine crise.
En somme, cet article démontre, à tout le moins, la nécessité d’une enquête plus approfondie sur la gestion de cette pandémie.

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